L’homme qui a vu Lhomme... sait ce que vaut la peine d’être vécu !
C’était il y a un peu plus de dix ans. Bus&Car, la revue sacrée des PME de l’autocar, venait de tirer son portrait et bizarrement, je n’avais jamais croisé son chemin.
Alors je l’ai contacté par internet pour suggérer une rencontre, sans motif autre que celui de faire sa connaissance et de satisfaire ma curiosité. On s’était donné rendez-vous dans un restaurant à Paris, pas loin du Bon Marché.
Et les deux bavards épicuriens firent la fermeture du restaurant, il ne devait être pas loin de 16h… C’est ainsi que l’homme a vu Lhomme. C’est ainsi que l’enfant de Domrémy-la-Pucelle a rencontré son grand frère d’Orléans.
C’est ainsi qu’est née une amitié, et une affaire.
C’était il y a un peu plus de dix ans. Bus&Car, la revue sacrée des PME de l’autocar, venait de tirer son portrait et bizarrement, je n’avais jamais croisé son chemin.
Alors je l’ai contacté par internet pour suggérer une rencontre, sans motif autre que celui de faire sa connaissance et de satisfaire ma curiosité. On s’était donné rendez-vous dans un restaurant à Paris, pas loin du Bon Marché.
Et les deux bavards épicuriens firent la fermeture du restaurant, il ne devait être pas loin de 16h… C’est ainsi que l’homme a vu Lhomme. C’est ainsi que l’enfant de Domrémy-la-Pucelle a rencontré son grand frère d’Orléans.
C’est ainsi qu’est née une amitié, et une affaire.
"Il y a des rencontres qui changent une vie"
Quand, quelques mois plus tard, Laurent Lhomme me rappelle pour me dire qu’il va quitter les Cars Dunois et qu’il cherche quelqu’un pour l’aider à racheter une grosse agence sur Orléans, je n’hésite pas une seconde.
Il y a des rencontres qui changent une vie.
Et des opportunités à ne pas rater. Laurent fonctionne à l’intuition, comme moi, et nous étions sur la même longueur d’onde.
Fin 2015, nous rachetons ensemble une première agence. De cette affaire est née une amitié durable, qui survécut à toutes les épreuves que nous avons subies, de la reprise difficile de deux agences Thomas Cook fin 2019 à la longue traversée du désert pendant la crise sanitaire.
Et tout le reste…
Laurent a reçu une formation d’historien.
Et cette passion l’a guidée toute sa vie aux quatre coins du monde. Eternel baroudeur, toujours par monts et par vaux, traversant la France pour un salon, prenant l’avion comme d’autres le métro, Laurent fait partie de ces gens qui ont donné ses lettres de noblesse à notre métier.
Un dévouement sans faille à ses clients, une notion poussée d’un service parfait, l’amour de notre métier.
Il y a des rencontres qui changent une vie.
Et des opportunités à ne pas rater. Laurent fonctionne à l’intuition, comme moi, et nous étions sur la même longueur d’onde.
Fin 2015, nous rachetons ensemble une première agence. De cette affaire est née une amitié durable, qui survécut à toutes les épreuves que nous avons subies, de la reprise difficile de deux agences Thomas Cook fin 2019 à la longue traversée du désert pendant la crise sanitaire.
Et tout le reste…
Laurent a reçu une formation d’historien.
Et cette passion l’a guidée toute sa vie aux quatre coins du monde. Eternel baroudeur, toujours par monts et par vaux, traversant la France pour un salon, prenant l’avion comme d’autres le métro, Laurent fait partie de ces gens qui ont donné ses lettres de noblesse à notre métier.
Un dévouement sans faille à ses clients, une notion poussée d’un service parfait, l’amour de notre métier.
"L’homme jovial et généreux, le bon vivant..."
Autres articles
Un guide qui vous faisait aimer le voyage.
Quelques années plus tôt, j’aurais aisément imaginé Laurent ministre, sous la IIIème voire la IVème République.
L’homme jovial et généreux, le bon vivant – ô comme cette expression te caractérise à jamais dans nos cœurs, mon ami ! - toujours partant pour un bon moment en bonne compagnie : Laurent aurait excellé dans la visite du Salon de l’Agriculture, où se mélangent avec fierté la gastronomie et le patrimoine de nos terroirs.
Il n’aura certainement pas démérité lors de ses visites au regretté Mitcar sous l’une des multiples casquettes qu’il a fièrement arborées.
Car Laurent est un être hybride, partagé entre l’univers des agences et le petit monde de l’autocar, qu’il connaissait par cœur, de la PME au grand groupe, chacun avec ses défauts et ses qualités.
C’est cette expertise qui l’a conduit à siéger au redouté « comité des risques » de l’APST, la Vestale de notre profession.
Laurent s’adapte à presque toutes les situations. Son air bonhomme et sa vive intelligence, son amour sans borne de la justice – ou plutôt son abhorration de l’injustice -, le font apprécier de tous.
Et c’est largement mérité !
Quelques années plus tôt, j’aurais aisément imaginé Laurent ministre, sous la IIIème voire la IVème République.
L’homme jovial et généreux, le bon vivant – ô comme cette expression te caractérise à jamais dans nos cœurs, mon ami ! - toujours partant pour un bon moment en bonne compagnie : Laurent aurait excellé dans la visite du Salon de l’Agriculture, où se mélangent avec fierté la gastronomie et le patrimoine de nos terroirs.
Il n’aura certainement pas démérité lors de ses visites au regretté Mitcar sous l’une des multiples casquettes qu’il a fièrement arborées.
Car Laurent est un être hybride, partagé entre l’univers des agences et le petit monde de l’autocar, qu’il connaissait par cœur, de la PME au grand groupe, chacun avec ses défauts et ses qualités.
C’est cette expertise qui l’a conduit à siéger au redouté « comité des risques » de l’APST, la Vestale de notre profession.
Laurent s’adapte à presque toutes les situations. Son air bonhomme et sa vive intelligence, son amour sans borne de la justice – ou plutôt son abhorration de l’injustice -, le font apprécier de tous.
Et c’est largement mérité !
"L’homme au bon cœur, l’homme au grand cœur, l’homme au cœur fragile..."
L’humanisme de Laurent n’a d’égal que sa générosité.
Toujours prêt à rendre service, dût-il lui en coûter cher, donnant de son temps sans compter, et certainement au détriment de sa première famille.
Mais parfois aussi de sa deuxième famille, son équipe d’Orléans à laquelle, je sais combien il était attaché, quand Laurent, tel Don Quichotte, part en croisade pour défendre les causes délicates sinon perdues : je revois encore Laurent, lors de nos Universités successives, faire l’apologie de l’Iran ou tenter de convaincre nos vendeurs d’envoyer nos clients passer leurs vacances dans l’Aveyron… (c’est très bien l’Aveyron – l’Iran aussi, d’ailleurs, merveilleuse destination -, mais c’est super dur à vendre quand on est un agent de voyages « traditionnel ». Vivement le congrès des EDV !)
Laurent était l’homme de tous les projets.
Il ne disait jamais non. Tout récemment, il était venu dans les Vosges missionné par l’association Soleil Evasion (Cap France) pour auditer la reprise d’un hôtel à Vittel.
L’occasion d’une soirée animée et passionnée, bien arrosée aussi, à la maison… Que de bons souvenirs avec ce cœur noble, l’homme au bon cœur, l’homme au grand cœur, l’homme au cœur fragile, finalement…
Laurent, mon cher Laurent, dans notre profession qui se prend si souvent au sérieux, où les relations ont parfois du mal à quitter la surface, tu étais l’exception qui confirme la règle. Avec toi, les sentiments étaient vrais, sincères, profonds. Je me souviens qu’on a mis du temps (des années !) à se tutoyer, c’est certainement la marque des amitiés authentiques…
Joyeux comme un agent de voyages qui cueille le jour, tu savais garder les roues sur terre comme un autocariste.
Maintenant, Laurent… A toi la parole ! Raconte-nous ton dernier voyage. C’est comment là-haut ? Est-ce aussi beau qu’à Ispahan ? Est-ce que les gens sont aussi sympas que dans l’Aveyron ? As-tu croisé Jeanne d’Arc ?...
Toujours prêt à rendre service, dût-il lui en coûter cher, donnant de son temps sans compter, et certainement au détriment de sa première famille.
Mais parfois aussi de sa deuxième famille, son équipe d’Orléans à laquelle, je sais combien il était attaché, quand Laurent, tel Don Quichotte, part en croisade pour défendre les causes délicates sinon perdues : je revois encore Laurent, lors de nos Universités successives, faire l’apologie de l’Iran ou tenter de convaincre nos vendeurs d’envoyer nos clients passer leurs vacances dans l’Aveyron… (c’est très bien l’Aveyron – l’Iran aussi, d’ailleurs, merveilleuse destination -, mais c’est super dur à vendre quand on est un agent de voyages « traditionnel ». Vivement le congrès des EDV !)
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Joyeux comme un agent de voyages qui cueille le jour, tu savais garder les roues sur terre comme un autocariste.
Maintenant, Laurent… A toi la parole ! Raconte-nous ton dernier voyage. C’est comment là-haut ? Est-ce aussi beau qu’à Ispahan ? Est-ce que les gens sont aussi sympas que dans l’Aveyron ? As-tu croisé Jeanne d’Arc ?...