Le Salon E-Commerce Paris se tiendra du 23 au 25 septembre - DR
L’e-commerce est l’un des marchés des plus porteurs aujourd’hui.
Il a rapporté 12 milliards d’euros en 2013 et ne cesse de progresser depuis 2006.
Au sein de ce milieu, le tourisme arrive en tête des services les plus vendus en ligne.
Le tourisme est un secteur très présent sur Internet, et plus particulièrement sur l’e-marché.
Selon la Fédération française du E-Commerce et de la Vente à Distance (FEVAD), institut référent du secteur, 77% des internautes acheteurs de prestations touristiques réservent leurs vacances via Internet.
Il est donc logique que le tourisme soit évoqué au salon E-Commerce Paris.
Il a rapporté 12 milliards d’euros en 2013 et ne cesse de progresser depuis 2006.
Au sein de ce milieu, le tourisme arrive en tête des services les plus vendus en ligne.
Le tourisme est un secteur très présent sur Internet, et plus particulièrement sur l’e-marché.
Selon la Fédération française du E-Commerce et de la Vente à Distance (FEVAD), institut référent du secteur, 77% des internautes acheteurs de prestations touristiques réservent leurs vacances via Internet.
Il est donc logique que le tourisme soit évoqué au salon E-Commerce Paris.
Le tourisme et le salon
Jérôme Letu-Montois, directeur du pôle E-business de Comexposium et organisateur du salon, nous a expliqué la place importante que le tourisme prend sur le marché du e-commerce.
« Le tourisme est numéro 1 sur le marché. 62% des internautes réservent leurs vacances en ligne. Sur la mobilité, il arrive second. C’est le secteur qui connait la plus grande expansion dans l’e-commerce ».
Le salon ne comporte pas de « pôle tourisme ». Cependant, de nombreux développeurs de solutions e-commerce, présents sur le salon, travaillent avec des acteurs du tourisme.
De plus, un autre salon a lieu en parallèle de l’évènement, l’IFTM Top Résa. De nombreux visiteurs se rendent aux deux événements.
« La concordance des dates entre les deux salons s’avère être intéressante pour nous.
E-commerce Paris s’adresse à un public très large et nous savons que les acteurs du tourisme peuvent ainsi passer par notre salon », déclare Jérôme Letu-Montois.
« Le tourisme est numéro 1 sur le marché. 62% des internautes réservent leurs vacances en ligne. Sur la mobilité, il arrive second. C’est le secteur qui connait la plus grande expansion dans l’e-commerce ».
Le salon ne comporte pas de « pôle tourisme ». Cependant, de nombreux développeurs de solutions e-commerce, présents sur le salon, travaillent avec des acteurs du tourisme.
De plus, un autre salon a lieu en parallèle de l’évènement, l’IFTM Top Résa. De nombreux visiteurs se rendent aux deux événements.
« La concordance des dates entre les deux salons s’avère être intéressante pour nous.
E-commerce Paris s’adresse à un public très large et nous savons que les acteurs du tourisme peuvent ainsi passer par notre salon », déclare Jérôme Letu-Montois.
Les stratégies cross-canal
Jérôme Letu-Montois, directeur du pôle E- business Comexposium et organisateur du salon - DR
Le salon est orienté vers le cross-canal. Les activités proposées expliqueront aux professionnels l’importance du offline et du online dans le marché d’aujourd’hui.
« Tous les professionnels sans exception doivent intégrer le cross-canal à leur stratégie globale : être présent sur tous les canaux possibles. Il ne faut plus différencier le offline et le online, mais jouer sur les deux tableaux.
La présence sur le web est aujourd’hui primordiale. Les clients doivent pouvoir accéder 24h/24 aux services proposés par l’entreprise », clarifie Jérôme Letu-Montois.
« Le online ne va pas tuer le offline. Au contraire, les passerelles se font pour créer une alliance et une complémentarité en terme d’accompagnement du consommateur dans son achat ».
De nos jours, les clients sont sur-informés lorsqu’ils se présentent dans un magasin ou dans une agence de voyages.
Le cross-canal offre une palette d’outils dont les professionnels doivent se servir pour apporter des informations complémentaires à leurs clients.
« Si un client vient en agence, c’est souvent pour être rassuré. Lorsqu’il achète un voyage dans un pays inconnu, il cherchera d’abord des informations sur Internet et viendra ensuite, demander des conseils en agence.
Il faut qu’elles soient capables de l’accompagner dans ses recherches. C’est pourquoi il est important de pouvoir jouer sur cette interactivité », explique l’organisateur du salon.
« Tous les professionnels sans exception doivent intégrer le cross-canal à leur stratégie globale : être présent sur tous les canaux possibles. Il ne faut plus différencier le offline et le online, mais jouer sur les deux tableaux.
La présence sur le web est aujourd’hui primordiale. Les clients doivent pouvoir accéder 24h/24 aux services proposés par l’entreprise », clarifie Jérôme Letu-Montois.
« Le online ne va pas tuer le offline. Au contraire, les passerelles se font pour créer une alliance et une complémentarité en terme d’accompagnement du consommateur dans son achat ».
De nos jours, les clients sont sur-informés lorsqu’ils se présentent dans un magasin ou dans une agence de voyages.
Le cross-canal offre une palette d’outils dont les professionnels doivent se servir pour apporter des informations complémentaires à leurs clients.
« Si un client vient en agence, c’est souvent pour être rassuré. Lorsqu’il achète un voyage dans un pays inconnu, il cherchera d’abord des informations sur Internet et viendra ensuite, demander des conseils en agence.
Il faut qu’elles soient capables de l’accompagner dans ses recherches. C’est pourquoi il est important de pouvoir jouer sur cette interactivité », explique l’organisateur du salon.
Le tourisme à l’international ?
Le fil rouge d’E-commerce cette année est l’internationalisation. De nombreux ateliers, keynotes et plénières auront comme thème de fond ce fil conducteur.
« Le but de l’internationalisation est d’ouvrir ses frontières. Pour le tourisme, imaginons qu’une agence de voyages veut vendre ses prestations à l’étranger.
Comment procéder ? Qu’elles sont les contraintes légales ? Comment développer son agence hors frontières ? Nos partenaires seront présents pour répondre aux interrogations », continue le directeur du pôle e-business de Comexposium.
Après la théorie, vient la pratique. Une fois les clés en main, les acteurs du tourisme pourront appliquer ce qu’ils ont appris.
Mais, pour répondre aux demandes de leurs clients, la technologie doit entrer au sein de l’agence.
« Le but de l’internationalisation est d’ouvrir ses frontières. Pour le tourisme, imaginons qu’une agence de voyages veut vendre ses prestations à l’étranger.
Comment procéder ? Qu’elles sont les contraintes légales ? Comment développer son agence hors frontières ? Nos partenaires seront présents pour répondre aux interrogations », continue le directeur du pôle e-business de Comexposium.
Après la théorie, vient la pratique. Une fois les clés en main, les acteurs du tourisme pourront appliquer ce qu’ils ont appris.
Mais, pour répondre aux demandes de leurs clients, la technologie doit entrer au sein de l’agence.
L’Innovation Store by Cegid, la galerie des nouvelles technologies
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Pour cette 11ème édition, le salon a intégré l’Innovation Store by Cegid, un « magasin » du futur avec les dernières innovations technologiques. Les nouveautés, la personnalisation client, la gestion des stocks… y seront exposés.
« Nous n’avons pas rendu l’accès en libre-service volontairement.
Le but de l’Innovation Store by Cegid est que nos visiteurs puissent comprendre chaque produit exposé et son utilisation.
C’est pourquoi, des groupes de 15 personnes pourront visiter ce « Store » toutes les 45 minutes, accompagnés d’un guide », explique Jérôme Letu-Montois.
A savoir, l’achat de produit n’est pas possible directement depuis le stand et un pré-enregistrement est nécessaire depuis le site internet pour la visite.
« Nous n’avons pas rendu l’accès en libre-service volontairement.
Le but de l’Innovation Store by Cegid est que nos visiteurs puissent comprendre chaque produit exposé et son utilisation.
C’est pourquoi, des groupes de 15 personnes pourront visiter ce « Store » toutes les 45 minutes, accompagnés d’un guide », explique Jérôme Letu-Montois.
A savoir, l’achat de produit n’est pas possible directement depuis le stand et un pré-enregistrement est nécessaire depuis le site internet pour la visite.
Un pôle consacré à l’emploi sur E-commerce Paris
Alors que malheureusement le chômage ne cesse de croître en France, certains secteurs sont eux, en forte demande de nouveaux talents.
L’e-commerce est l’un d’entre eux : à la fin de l’année 2013, le e-commerce représentait 87 000 emplois en France.
La FEVAD tablerait sur une croissance d’environ 15% pour atteindre, fin 2014, 100 000 emplois.
Pour preuve, 70% des sites Internet référencés par la FEVAD ont annoncé vouloir recruter en 2014.
Lors de l’évènement, un « Espace Carrière » est prévu, en partenariat avec Emploi-e-commerce.com pour rencontrer les recruteurs du secteur. 150 postes seront à pourvoir.
L’e-commerce est l’un d’entre eux : à la fin de l’année 2013, le e-commerce représentait 87 000 emplois en France.
La FEVAD tablerait sur une croissance d’environ 15% pour atteindre, fin 2014, 100 000 emplois.
Pour preuve, 70% des sites Internet référencés par la FEVAD ont annoncé vouloir recruter en 2014.
Lors de l’évènement, un « Espace Carrière » est prévu, en partenariat avec Emploi-e-commerce.com pour rencontrer les recruteurs du secteur. 150 postes seront à pourvoir.