"Notre objectif est d’être utiles aux voyageurs et à l’économie mondiale, dans laquelle le tourisme pèse beaucoup, afin de prévenir ou, du moins, d’atténuer les répercussions de ce qui reste à ce jour une épidémie limitée", a affirmé Geoffrey Lipman, conseiller spécial auprès de l’OMT. Il représentera l’Organisation à la Conférence internationale d’annonces de dons sur la grippe aviaire et la pandémie de grippe humaine, qui se tiendra à Beijing les 17 et 18 janvier, parrainée par la République populaire de Chine, la Commission européenne et la Banque mondiale.
"Grâce à nos contacts avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et avec d’autres organisations s’occupant du tourisme, nous surveillons continuellement la situation pour que la communauté touristique soit parfaitement prête en cas de plus grande propagation de l’épidémie", a ajouté le Secrétaire général de l’OMT, Francesco Frangialli.
"Il est certes signalé de nouveaux cas de grippe aviaire chez des êtres humains mais nous en sommes encore au "stade 3", où il n’est pas détecté de transmission de personne à personne. Aucun touriste n’a été contaminé et nous pensons que la situation actuelle ne justifie aucune forme de restriction ou de dissuasion en matière de voyages d’agrément ou d’affaires, quelle que soit la destination."
Suivre strictement les recommandations des autorités sanitaires
"Toutefois, comme cela est demandé aux habitants des zones touchées, nous conseillons vivement à tous les touristes de suivre strictement les recommandations des autorités sanitaires et vétérinaires nationales et locales et, surtout, d’éviter les élevages de volailles et tout autre contact avec des oiseaux, que ce soit avant le départ ou pendant le voyage."
"Qu’il s’agisse de la Turquie ou de n’importe quel autre pays, il serait tout à fait prématuré de parler de crise dans le secteur du tourisme, a insisté M. Frangialli. Les voyagistes ont déjà préparé des plans d’urgence pour le cas où la situation s’aggraverait.
Il n’y a aucune raison de ne pas leur faire confiance. Néanmoins, nous conseillons à chacun dans le secteur du tourisme de suivre les recommandations de l’OMT comme de l’OMS et de se tenir en permanence sur ses gardes. Si les choses prennent jamais un tour plus sérieux, nous serons prêts, en coopération avec les autorités sanitaires et d’autres organisations du secteur, à diffuser de nouvelles recommandations et de nouveaux principes directeurs."
À sa seizième session, à Dakar, au Sénégal, l’Assemblée générale de l’OMT a approuvé un crédit provisionnel de 250 000 €, en plus des ressources budgétaires ordinaires, pour faire face cette année aux besoins éventuels que créerait la grippe aviaire.
Internet : www.world-tourism.org
"Grâce à nos contacts avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et avec d’autres organisations s’occupant du tourisme, nous surveillons continuellement la situation pour que la communauté touristique soit parfaitement prête en cas de plus grande propagation de l’épidémie", a ajouté le Secrétaire général de l’OMT, Francesco Frangialli.
"Il est certes signalé de nouveaux cas de grippe aviaire chez des êtres humains mais nous en sommes encore au "stade 3", où il n’est pas détecté de transmission de personne à personne. Aucun touriste n’a été contaminé et nous pensons que la situation actuelle ne justifie aucune forme de restriction ou de dissuasion en matière de voyages d’agrément ou d’affaires, quelle que soit la destination."
Suivre strictement les recommandations des autorités sanitaires
"Toutefois, comme cela est demandé aux habitants des zones touchées, nous conseillons vivement à tous les touristes de suivre strictement les recommandations des autorités sanitaires et vétérinaires nationales et locales et, surtout, d’éviter les élevages de volailles et tout autre contact avec des oiseaux, que ce soit avant le départ ou pendant le voyage."
"Qu’il s’agisse de la Turquie ou de n’importe quel autre pays, il serait tout à fait prématuré de parler de crise dans le secteur du tourisme, a insisté M. Frangialli. Les voyagistes ont déjà préparé des plans d’urgence pour le cas où la situation s’aggraverait.
Il n’y a aucune raison de ne pas leur faire confiance. Néanmoins, nous conseillons à chacun dans le secteur du tourisme de suivre les recommandations de l’OMT comme de l’OMS et de se tenir en permanence sur ses gardes. Si les choses prennent jamais un tour plus sérieux, nous serons prêts, en coopération avec les autorités sanitaires et d’autres organisations du secteur, à diffuser de nouvelles recommandations et de nouveaux principes directeurs."
À sa seizième session, à Dakar, au Sénégal, l’Assemblée générale de l’OMT a approuvé un crédit provisionnel de 250 000 €, en plus des ressources budgétaires ordinaires, pour faire face cette année aux besoins éventuels que créerait la grippe aviaire.
Internet : www.world-tourism.org