En écoutant les compagnies, toutes expliquent à l’envi que cette méthode leur permet d’améliorer leur volume de trafic. C’est à l’évidence faux car tous les clients se répartissent sur l’ensemble des transporteurs et ce qui est gagné sur
Pourquoi donc des sociétés aussi honorables que les transporteurs nationaux se livrent-ils à de tels excès ?
C’est me dit-on pour gagner des parts de marché. Si moi, Iberia, je mets mon code sur les vols tractés par British Airways, cela va artificiellement augmenter mon réseau et par conséquent améliorer mon impact sur le marché.
Est-ce si sûr ? Toutes les grandes compagnies ayant la même pratique, on ne voit pas où est le gain.
En écoutant les responsables de ces transporteurs, tous expliquent à l’envi que cette méthode leur permet d’améliorer leur volume de trafic.
C’est à l’évidence faux car tous les clients se répartissent sur l’ensemble des transporteurs et ce qui est gagné sur un marché est forcément perdu sur un autre.
Reste que cette pratique se fait au détriment des clients et les agents de voyages. Ce sont eux qui subissent les effets des « code shares ».
Les agents de voyages car ils ne peuvent souvent pas connaître le produit qu’ils vendent et dont ils sont responsables vis-à-vis de leurs clients et ces derniers car ils croient en toute bonne foi acheter un produit qui ne peur sera pas délivré.
C’est me dit-on pour gagner des parts de marché. Si moi, Iberia, je mets mon code sur les vols tractés par British Airways, cela va artificiellement augmenter mon réseau et par conséquent améliorer mon impact sur le marché.
Est-ce si sûr ? Toutes les grandes compagnies ayant la même pratique, on ne voit pas où est le gain.
En écoutant les responsables de ces transporteurs, tous expliquent à l’envi que cette méthode leur permet d’améliorer leur volume de trafic.
C’est à l’évidence faux car tous les clients se répartissent sur l’ensemble des transporteurs et ce qui est gagné sur un marché est forcément perdu sur un autre.
Reste que cette pratique se fait au détriment des clients et les agents de voyages. Ce sont eux qui subissent les effets des « code shares ».
Les agents de voyages car ils ne peuvent souvent pas connaître le produit qu’ils vendent et dont ils sont responsables vis-à-vis de leurs clients et ces derniers car ils croient en toute bonne foi acheter un produit qui ne peur sera pas délivré.
Page 2 - Des escales en trompe-l'oeil
Page 3 - Cette tromperie des « code shares » doit cesser
Page 4 - Les Cies feraient bien d’arrêter... avant d'y obligées !
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