Coronavirus en Thaïlande : les informations à savoir
Retrouvez notre guide sur la Thaïlande
Sommaire :
Les premiers cas de coronavirus en Thaïlande et la réaction du gouvernement
Une fixation claire des gestes barrières
Est-il possible d’aller en Thaïlande en ce moment ?
Le deuxième semestre de 2020 : une recrudescence des cas
La fermeture des lieux de loisir
Les mesures face aux voyages
L’état de la vaccination sur le sol thaïlandais
Sommaire :
Les premiers cas de coronavirus en Thaïlande et la réaction du gouvernement
Une fixation claire des gestes barrières
Est-il possible d’aller en Thaïlande en ce moment ?
Le deuxième semestre de 2020 : une recrudescence des cas
La fermeture des lieux de loisir
Les mesures face aux voyages
L’état de la vaccination sur le sol thaïlandais
Les premiers cas de coronavirus en Thaïlande et la réaction du gouvernement
Les autorités thaïlandaises ont pris certaines mesures pour contre-attaquer le virus. La Thaïlande a la réputation d’être l’un des États les mieux armés pour faire face aux éventuelles catastrophes naturelles. C’est en janvier 2020 que les premiers cas du virus sont apparus dans le pays.
D’ailleurs, c’était un ressortissant chinois qui portait ce virus lors de son scannage à l’aéroport de Bangkok. Face à cette nouvelle, le gouvernement a réagi efficacement en ordonnant une analyse systématique de tous les voyageurs ayant quitté la Chine.
Les mesures vont alors suivre face à ce cas identifié. Ces derniers ont présenté un certificat qui atteste qu’ils n’étaient pas porteurs de la maladie. De même, le gouvernement chinois appuyait la lutte de la Thaïlande en faisant une interdiction claire aux agences locales. Il s’agissait d’interdire l’organisation à l’étranger, de séjours pour les touristes chinois.
Au fur et à mesure que l’épidémie prenait de l’ampleur à travers le monde, la Thaïlande va renforcer les contrôles. Celles-ci étaient plus à l’égard des ressortissants étrangers entrés dans le pays. Pendant environ 60 jours, des Thaïlandais qui portaient le virus ou ressentaient les symptômes se sont volontairement rendus dans des soins de santé. C’était pour une prise en charge immédiate.
Cette coopération rapide entre autorités et population dans le Royaume a favorisé un contrôle véloce de la crise sanitaire. Malgré la forte montée de la crise vers le 15 mars 2020, la Thaïlande est restée l’un des pays les moins atteints. C’était le cas en dépit de leur population élevée (1 000 000 d’habitants atteints).
D’ailleurs, c’était un ressortissant chinois qui portait ce virus lors de son scannage à l’aéroport de Bangkok. Face à cette nouvelle, le gouvernement a réagi efficacement en ordonnant une analyse systématique de tous les voyageurs ayant quitté la Chine.
Les mesures vont alors suivre face à ce cas identifié. Ces derniers ont présenté un certificat qui atteste qu’ils n’étaient pas porteurs de la maladie. De même, le gouvernement chinois appuyait la lutte de la Thaïlande en faisant une interdiction claire aux agences locales. Il s’agissait d’interdire l’organisation à l’étranger, de séjours pour les touristes chinois.
Au fur et à mesure que l’épidémie prenait de l’ampleur à travers le monde, la Thaïlande va renforcer les contrôles. Celles-ci étaient plus à l’égard des ressortissants étrangers entrés dans le pays. Pendant environ 60 jours, des Thaïlandais qui portaient le virus ou ressentaient les symptômes se sont volontairement rendus dans des soins de santé. C’était pour une prise en charge immédiate.
Cette coopération rapide entre autorités et population dans le Royaume a favorisé un contrôle véloce de la crise sanitaire. Malgré la forte montée de la crise vers le 15 mars 2020, la Thaïlande est restée l’un des pays les moins atteints. C’était le cas en dépit de leur population élevée (1 000 000 d’habitants atteints).
Une fixation claire des gestes barrières
À la fin du mois de mars, les mesures sanitaires sont clairement fixées par le gouvernement afin de réduire le risque de contamination. La limitation des déplacements inter provinces entre en vigueur, la fermeture des lieux de loisir est effective. La dégustation sur place dans les restaurants était interdite. De même, l’île de pha ngan interdit d’accueillir les manifestations festives. Ces mesures étaient alors strictement suivies par la population si bien que déjà en début mai 2020, la réouverture de certains lieux commerciaux était autorisée.
A lire aussi : Le tourisme en Thaïlande, l’essentiel
Petitement, entre mai et le 1er juillet 2020, tous les centres de loisirs, les bars, les restaurants et centres touristiques ont pu faire leur réouverture. Toutefois, la distanciation sociale est restée en vigueur. Le port du masque obligatoire et la désinfection au gel imposée sont toujours restés d’actualité. Il y a aussi le contrôle des températures aux entrées des centres commerciaux et des marchés. À Chiang Mai par exemple, la vie redevenait normale, mais l’absence de touristes a fait que certains lieux sont restés fermés. La raison est que ce sont principalement les touristes qui les animaient.
Notons également qu’une application fut installée dans tous les centres. C’était pour faciliter l’enregistrement de tous les utilisateurs du centre. Ensuite, en cas de détection d’un cas de Coronavirus, les utilisateurs pouvaient facilement être contactés.
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Petitement, entre mai et le 1er juillet 2020, tous les centres de loisirs, les bars, les restaurants et centres touristiques ont pu faire leur réouverture. Toutefois, la distanciation sociale est restée en vigueur. Le port du masque obligatoire et la désinfection au gel imposée sont toujours restés d’actualité. Il y a aussi le contrôle des températures aux entrées des centres commerciaux et des marchés. À Chiang Mai par exemple, la vie redevenait normale, mais l’absence de touristes a fait que certains lieux sont restés fermés. La raison est que ce sont principalement les touristes qui les animaient.
Notons également qu’une application fut installée dans tous les centres. C’était pour faciliter l’enregistrement de tous les utilisateurs du centre. Ensuite, en cas de détection d’un cas de Coronavirus, les utilisateurs pouvaient facilement être contactés.
Est-il possible d’aller en Thaïlande en ce moment ?
Le deuxième semestre de 2020 : une recrudescence des cas
Avec le deuxième semestre, la Thaïlande a connu une recrudescence des cas de contamination. Cela est d’abord parti de l’identification d’un cas sur une jeune dame à Chiang Mai. Elle était en provenance de la Birmanie, un pays voisin de la Thaïlande. Ce sujet est entré en Thaïlande clandestinement.
Cette pratique clandestine visait à contourner la mise en quarantaine obligatoire pour quelconque arrivée en Thaïlande. Cet état de choses a conduit à une recrudescence des cas de Covid-19. Depuis cet épisode d’entrées clandestines sur le territoire, de nombreux individus ont été identifiés être à risques. Ils ont alors été placés directement en quarantaine pour couper court à une source locale de contamination. C’est d’ailleurs une option qui a été très efficace. Néanmoins, les personnes frauduleusement entrées sur le territoire écoperont d’une lourde amende.
Vers la fin de 2020, il fut identifié un foyer épidémique dans le nord du pays. Les analyses ont démontré qu’environ cent employés du grand marché de produits de la mer étaient infectés. L’isolation de la zone a été immédiate. Par la suite, l’épidémie a gagné du terrain puisque près de 57 provinces étaient atteintes. 28 de ces provinces ont été identifiées comme des zones à fort risque.
C’est en février 2021 que le gouvernement a pu reprendre le contrôle de la situation. Ce fut grâce à tout l’arsenal de contrôle et de restriction liée à l’exigence des mesures sanitaires. À partir du 1er avril 2021, une autre vague de l’épidémie va refaire surface. Les bars de nuit en étaient inévitablement la cause. Après analyse, il paraîtrait qu’il s’agirait du variant anglais. Ce furent les premiers cas dans le pays.
Cette pratique clandestine visait à contourner la mise en quarantaine obligatoire pour quelconque arrivée en Thaïlande. Cet état de choses a conduit à une recrudescence des cas de Covid-19. Depuis cet épisode d’entrées clandestines sur le territoire, de nombreux individus ont été identifiés être à risques. Ils ont alors été placés directement en quarantaine pour couper court à une source locale de contamination. C’est d’ailleurs une option qui a été très efficace. Néanmoins, les personnes frauduleusement entrées sur le territoire écoperont d’une lourde amende.
Vers la fin de 2020, il fut identifié un foyer épidémique dans le nord du pays. Les analyses ont démontré qu’environ cent employés du grand marché de produits de la mer étaient infectés. L’isolation de la zone a été immédiate. Par la suite, l’épidémie a gagné du terrain puisque près de 57 provinces étaient atteintes. 28 de ces provinces ont été identifiées comme des zones à fort risque.
C’est en février 2021 que le gouvernement a pu reprendre le contrôle de la situation. Ce fut grâce à tout l’arsenal de contrôle et de restriction liée à l’exigence des mesures sanitaires. À partir du 1er avril 2021, une autre vague de l’épidémie va refaire surface. Les bars de nuit en étaient inévitablement la cause. Après analyse, il paraîtrait qu’il s’agirait du variant anglais. Ce furent les premiers cas dans le pays.
La fermeture des lieux de loisir
Le 10 avril, le gouvernement a ordonné la fermeture de tous les lieux de divertissement dans près de 41 provinces. Cette fermeture a duré jusqu’au 23 avril. Le masque est ainsi rendu obligatoire en public sur toute l’étendue du territoire. Au début du mois de mai, la situation revenait à la normale. Sauf que dans le capital, il n’y a pas de grand changement. On y retrouvait de nombreux foyers touchés de même que dans les provinces avoisinantes. Les sources sont alors identifiées. Il s’agissait :
● des usines
● des prisons
● des camps de travailleurs de la construction.
Un nouveau variant indien avait flambé la dispersion du virus. À partir de la mi-juillet, les 10 000 cas sont franchis par jour. Le gouvernement s’est alors vu dans l’obligation de prendre de nouvelles mesures restrictives. C’était surtout à Bangkok et dans certaines provinces voisines. Ainsi, un couvre-feu fut instauré entre 21 heures et 4 heures. Quand bien même les mesures sont prises, l’épidémie est très complexe à canaliser. La succession des variants a fait donc augmenter le nombre de cas par jour. Cela dure jusqu’en décembre avec des cas graves et des décès.
Suite à cela, il y avait une virulence moins grave que les autres variantes précédant Omicron. La solution qui a alors été envisagée était le vaccin qui était d’ailleurs déjà en vigueur dans de nombreuses autres nations.
● des usines
● des prisons
● des camps de travailleurs de la construction.
Un nouveau variant indien avait flambé la dispersion du virus. À partir de la mi-juillet, les 10 000 cas sont franchis par jour. Le gouvernement s’est alors vu dans l’obligation de prendre de nouvelles mesures restrictives. C’était surtout à Bangkok et dans certaines provinces voisines. Ainsi, un couvre-feu fut instauré entre 21 heures et 4 heures. Quand bien même les mesures sont prises, l’épidémie est très complexe à canaliser. La succession des variants a fait donc augmenter le nombre de cas par jour. Cela dure jusqu’en décembre avec des cas graves et des décès.
Suite à cela, il y avait une virulence moins grave que les autres variantes précédant Omicron. La solution qui a alors été envisagée était le vaccin qui était d’ailleurs déjà en vigueur dans de nombreuses autres nations.
Les mesures face aux voyages
À l’intérieur du pays, les voyages sont organisés méthodiquement. Dans les dossiers de voyage des voyageurs, il est souvent retrouvé le masque chirurgical, le gel désinfectant. Il est recommandé par les autorités thaïlandaises de se laver constamment les mains. Ces nouvelles approches sont appelées les mesures sanitaires. De même, la distanciation sociale à l’intérieur des transports en commun est réglementée.
Concernant les voyages à l’étranger en partant de la Thaïlande, certains vols ont été annulés. Le nombre de vols internationaux a été revu considérablement à la baisse. Les compagnies aériennes dont les vols ont été annulés ont bien fait le suivi de leur client et les ont même dédommagés.
Plusieurs autres États par contre exigent la présentation d’un certificat de vaccination. À présent, le programme test qui était en vigueur en Thaïlande a été suspendu et la vie a repris son cours normal.
Rappelons que pour effectuer un voyage, le vaccin doit être fait environ 14 jours avant le voyage. Aussi, pour les ressortissants étrangers, ils sont tenus de faire une demande de visa. Par contre, les ressortissants français et ceux monégasques ne sont pas tenus de faire une demande de visa. C’est valable lorsque la durée de leur séjour est inférieure ou égale à 30 jours. Quand même, ils avaient l’obligation de fournir en anglais, une assurance médicale qui servait de couverture de frais médicaux. Le document est valable pendant toute la durée de leur séjour. Rappelons que cette assurance coûtait environ 19 000 euros. La compagnie aérienne choisie vous orientera pour les demandes de visa. Elle accompagne aussi pour tout le processus pour une entrée dans le pays.
Concernant les voyages à l’étranger en partant de la Thaïlande, certains vols ont été annulés. Le nombre de vols internationaux a été revu considérablement à la baisse. Les compagnies aériennes dont les vols ont été annulés ont bien fait le suivi de leur client et les ont même dédommagés.
Plusieurs autres États par contre exigent la présentation d’un certificat de vaccination. À présent, le programme test qui était en vigueur en Thaïlande a été suspendu et la vie a repris son cours normal.
Rappelons que pour effectuer un voyage, le vaccin doit être fait environ 14 jours avant le voyage. Aussi, pour les ressortissants étrangers, ils sont tenus de faire une demande de visa. Par contre, les ressortissants français et ceux monégasques ne sont pas tenus de faire une demande de visa. C’est valable lorsque la durée de leur séjour est inférieure ou égale à 30 jours. Quand même, ils avaient l’obligation de fournir en anglais, une assurance médicale qui servait de couverture de frais médicaux. Le document est valable pendant toute la durée de leur séjour. Rappelons que cette assurance coûtait environ 19 000 euros. La compagnie aérienne choisie vous orientera pour les demandes de visa. Elle accompagne aussi pour tout le processus pour une entrée dans le pays.
L’état de la vaccination sur le sol thaïlandais
La population thaïlandaise a bien suivi le rythme pour faire face à la contamination avec le vaccin sauf pour les mineurs de moins de 18 ans. À la date du 22 avril 2022, 73 % de la population a déjà subi deux doses du vaccin tandis que 36 % en ont déjà reçu 3. Cela a donc favorisé le relâchement des mesures barrières et de nombreux centres, marchés et entreprises rouvriraient leur porte. Depuis l’imposition du vaccin pour contourner la transmission du virus, par jour, des milliers de vaccins sont administrés. Les chiffres varient entre 44501 et 44652 vaccins par jour dans les centres du Royaume.
Ainsi, de manière générale, la Thaïlande est l’un des pays ayant au mieux géré la crise sanitaire relative au coronavirus. De même, c’est l’un des États ayant rendu la tâche assez simple pour tous les voyageurs allant de la Thaïlande ou arrivant en Thaïlande.
Ainsi, de manière générale, la Thaïlande est l’un des pays ayant au mieux géré la crise sanitaire relative au coronavirus. De même, c’est l’un des États ayant rendu la tâche assez simple pour tous les voyageurs allant de la Thaïlande ou arrivant en Thaïlande.
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