Un tracé des routes aériennes ancien
A quoi sert de faire partir un appareil de Dublin pour la Grèce si les contrôles aériens français, suisse, slovène, serbe, macédonien et grec ne peuvent pas le prendre en charge ?
Ou si simplement l’un d’entre eux est à saturation soit parce qu’il manque de personnel, ou que ses installations sont obsolètes ou plus simplement parce que l’un des centres de contrôles est en grève, ce qui arrive tout de même fréquemment dans certains pays ?
Toutes ces contraintes sont certes très pénalisantes, mais se rajoute à cette situation un tracé des routes aériennes ancien et qui a énormément de peine à se moderniser.
De nouvelles possibilités de localisation des avions sont disponibles, les satellites sont d’une grande fiabilité, les appareils sont équipés des derniers ordinateurs et pourtant le contrôle aérien continue à utiliser des procédures datant de plusieurs dizaines d’années.
Elles ont fait leur preuve, c’est évident, mais il y a sans doute mieux à faire. Sauf que toute innovation se heurte aux habitudes et à une routine confortable.
Les compagnies aériennes demandent avec insistance une amélioration des tracés, sans pour autant que les ingénieurs des diverses aviations civiles leur donnent satisfaction.
A vrai dire, les contraintes économiques ne sont pas leur préoccupation première. Il est par contre possible que les pressions écologiques soient plus efficaces pour faire bouger ces administrations.
Ou si simplement l’un d’entre eux est à saturation soit parce qu’il manque de personnel, ou que ses installations sont obsolètes ou plus simplement parce que l’un des centres de contrôles est en grève, ce qui arrive tout de même fréquemment dans certains pays ?
Toutes ces contraintes sont certes très pénalisantes, mais se rajoute à cette situation un tracé des routes aériennes ancien et qui a énormément de peine à se moderniser.
De nouvelles possibilités de localisation des avions sont disponibles, les satellites sont d’une grande fiabilité, les appareils sont équipés des derniers ordinateurs et pourtant le contrôle aérien continue à utiliser des procédures datant de plusieurs dizaines d’années.
Elles ont fait leur preuve, c’est évident, mais il y a sans doute mieux à faire. Sauf que toute innovation se heurte aux habitudes et à une routine confortable.
Les compagnies aériennes demandent avec insistance une amélioration des tracés, sans pour autant que les ingénieurs des diverses aviations civiles leur donnent satisfaction.
A vrai dire, les contraintes économiques ne sont pas leur préoccupation première. Il est par contre possible que les pressions écologiques soient plus efficaces pour faire bouger ces administrations.