Ce mardi 22 mars 2016, la Fédération nationale de l'aviation marchande (FNAM) et l'Union des aéroports français (UAF) dressent le bilan des deux jours de grève des contrôleurs aériens français les 20 et 21 mars 2016.
Le mouvement a concerné les aéroports de Paris-Orly, Marseille, Lyon, Nice et Beauvais.
L'UAF et la FNAM comptent plus de 600 vols supprimés sur les aéroports parisiens dont 450 sur Paris-Orly, ce qui représente environ 40 % du programme du site pour les deux jours.
Pour les aéroports régionaux, plus de 500 vols ont été annulés dimanche et lundi. Ce qui représente de 18 % à 37 % des départs prévus.
Entre janvier 2013 et mars 2016, la FNAM et l'UAF comptabilisent 13 jours de grève des contrôleurs aériens français.
L'UAF précise que ce nouveau mouvement "occasionne une perte financière importante pour les plate-formes et un coup porté à l'économie des territoires qu'elles desservent ainsi qu'une forte dégradation de la qualité de services aux passagers, avec des retards pouvant aller jusqu'à plus de 6 heures".
La FNAM et l'UAF qualifient cette "énième grave" d'"inacceptable".
Le mouvement a concerné les aéroports de Paris-Orly, Marseille, Lyon, Nice et Beauvais.
L'UAF et la FNAM comptent plus de 600 vols supprimés sur les aéroports parisiens dont 450 sur Paris-Orly, ce qui représente environ 40 % du programme du site pour les deux jours.
Pour les aéroports régionaux, plus de 500 vols ont été annulés dimanche et lundi. Ce qui représente de 18 % à 37 % des départs prévus.
Entre janvier 2013 et mars 2016, la FNAM et l'UAF comptabilisent 13 jours de grève des contrôleurs aériens français.
L'UAF précise que ce nouveau mouvement "occasionne une perte financière importante pour les plate-formes et un coup porté à l'économie des territoires qu'elles desservent ainsi qu'une forte dégradation de la qualité de services aux passagers, avec des retards pouvant aller jusqu'à plus de 6 heures".
La FNAM et l'UAF qualifient cette "énième grave" d'"inacceptable".