Chez Salaün on aime conserver la mémoire de l'entreprise et on n'hésite pas à retaper les symboles maison... /photo JdL
Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas mis les pieds au pays de Bigouden.
La Convention Salaün, qui se tenait ce week-end à Bénodet, m'a permis de vérifier que cette région est toujours aussi belle, qu'il y bruine toujours autant sur la mer jolie et que l'on y a toujours le sens de la fête et la convivialité.
Au risque parfois de terminer un peu… rond !
Seul inconvénient, pour aller de Paris à Quimper, ce bon président de Salaün, Salaün, celui qui a la corpulence un peu… ronde, n'avait rien trouvé de mieux que d'organiser ce déplacement avec Hop (hop, hourra, la low-cost d'Air France).
Ben, c'est bizarre cette compagnie. Moi, qui déteste porter un sac, me disant qu'à Quimper, l'aéroport doit être de taille humaine, j'ai donc, courageusement, voulu placer mon bagage en soute.
Funeste erreur. Pour les pauvres (les sans dents) comme moi, il en coûte 30 euros !
En revanche, malgré l'avion à hélice qui augmente la durée du voyage de vingt minutes environ, l'équipage sous contrat Airlinair (oui, me raconte l'hôtesse super sympa de ce vol, chez Hop, on a des contrats "différenciés", selon que l'on soit Brit Air, Régional ou… Airlinair !
Pour nous, c'est pas grave, on avait le strict minimum…) on nous sert quasi à volonté quelques petits gâteaux et boissons de toutes sortes, vin compris.
Et gratos, bien sûr !
Bon. Mais comme Air France est un grand partenaire de Salaün Voyages, faut faire avec...
Cette digression passée, il est quand même réjouissant de constater qu'en France, nous avons encore des entreprises de tourisme qui vont bien.
Et qui, tout en subissant quand même la crise importante qui secoue notre économie depuis quelques années, dégagent encore du profit !
La Convention Salaün, qui se tenait ce week-end à Bénodet, m'a permis de vérifier que cette région est toujours aussi belle, qu'il y bruine toujours autant sur la mer jolie et que l'on y a toujours le sens de la fête et la convivialité.
Au risque parfois de terminer un peu… rond !
Seul inconvénient, pour aller de Paris à Quimper, ce bon président de Salaün, Salaün, celui qui a la corpulence un peu… ronde, n'avait rien trouvé de mieux que d'organiser ce déplacement avec Hop (hop, hourra, la low-cost d'Air France).
Ben, c'est bizarre cette compagnie. Moi, qui déteste porter un sac, me disant qu'à Quimper, l'aéroport doit être de taille humaine, j'ai donc, courageusement, voulu placer mon bagage en soute.
Funeste erreur. Pour les pauvres (les sans dents) comme moi, il en coûte 30 euros !
En revanche, malgré l'avion à hélice qui augmente la durée du voyage de vingt minutes environ, l'équipage sous contrat Airlinair (oui, me raconte l'hôtesse super sympa de ce vol, chez Hop, on a des contrats "différenciés", selon que l'on soit Brit Air, Régional ou… Airlinair !
Pour nous, c'est pas grave, on avait le strict minimum…) on nous sert quasi à volonté quelques petits gâteaux et boissons de toutes sortes, vin compris.
Et gratos, bien sûr !
Bon. Mais comme Air France est un grand partenaire de Salaün Voyages, faut faire avec...
Cette digression passée, il est quand même réjouissant de constater qu'en France, nous avons encore des entreprises de tourisme qui vont bien.
Et qui, tout en subissant quand même la crise importante qui secoue notre économie depuis quelques années, dégagent encore du profit !
Et que le père Salaün, en gestionnaire avisé, n'a pas besoin de fonds de pension étrangers (pas même de chinoas), ce sont ses ronds à lui et pas question de faire n'importe quoi.
Et c'est quand même intéressant ce qu'il a construit, lui, cet autocariste (faut jamais dire autobus), fils d'autocariste, passionné (mais pas rangé) des voitures et surtout de leurs moteurs (sans négliger les belles carrosseries).
Autocariste, certes et ce véhicule est souvent au cœur des produits du catalogue.
Ben oui, parce que Salaün c'est aussi un tour-opérateur. Un TO de "circuits", parce que sa clientèle, c'est souvent la France des campagnes, la France du terroir, profonde, la France des gens d'un certain âge.
Et comme le bonhomme est malin, sous ses airs rondouillards, il offre à sa clientèle les produits qu'elle veut.
Et, comme le senior retraité de nos régions dispose souvent de moyens "corrects", le prix est aussi calculé en fonction du pouvoir d'achat.
Et, là, on ne brade jamais !
Le plus étonnant, c'est que le Groupe Salaün, c'est devenu une vraie usine à gaz, sans aucune connotation péjorative : chez eux, tout est fabriqué maison, y compris les quelque 10 millions de brochures éditées chaque année !
J'avoue avoir été bluffé durant cette Convention, pendant laquelle chaque service, chaque agence est montée sur la scène.
Et que les salariés qui défilaient montraient la mine réjouie de ceux qui, non seulement accomplissent un boulot qu'ils aiment… mais qui le montrent aussi !
Même les fournisseurs du Groupe, contrairement à beaucoup de Congrès (enfin, ceux auxquels je suis invité) semblent heureux de travailler avec Salaün.
Et, je vais vous le dire tout rond : voir une entreprise de tourisme qui ne pense qu'au développement et qui le fait… Ça fait plaisir !
Et vive la Bretagne…
Et c'est quand même intéressant ce qu'il a construit, lui, cet autocariste (faut jamais dire autobus), fils d'autocariste, passionné (mais pas rangé) des voitures et surtout de leurs moteurs (sans négliger les belles carrosseries).
Autocariste, certes et ce véhicule est souvent au cœur des produits du catalogue.
Ben oui, parce que Salaün c'est aussi un tour-opérateur. Un TO de "circuits", parce que sa clientèle, c'est souvent la France des campagnes, la France du terroir, profonde, la France des gens d'un certain âge.
Et comme le bonhomme est malin, sous ses airs rondouillards, il offre à sa clientèle les produits qu'elle veut.
Et, comme le senior retraité de nos régions dispose souvent de moyens "corrects", le prix est aussi calculé en fonction du pouvoir d'achat.
Et, là, on ne brade jamais !
Le plus étonnant, c'est que le Groupe Salaün, c'est devenu une vraie usine à gaz, sans aucune connotation péjorative : chez eux, tout est fabriqué maison, y compris les quelque 10 millions de brochures éditées chaque année !
J'avoue avoir été bluffé durant cette Convention, pendant laquelle chaque service, chaque agence est montée sur la scène.
Et que les salariés qui défilaient montraient la mine réjouie de ceux qui, non seulement accomplissent un boulot qu'ils aiment… mais qui le montrent aussi !
Même les fournisseurs du Groupe, contrairement à beaucoup de Congrès (enfin, ceux auxquels je suis invité) semblent heureux de travailler avec Salaün.
Et, je vais vous le dire tout rond : voir une entreprise de tourisme qui ne pense qu'au développement et qui le fait… Ça fait plaisir !
Et vive la Bretagne…
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