Le PSE doit être validé et appliquée pour valider la reprise de la SNCM par Patrick ROcca - Photo : SNCM
L'ensemble des syndicats de la SNCM devraient signer, ce mardi 1er décembre 2015, le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) prévu dans le cadre de la reprise de la compagnie maritime, selon Marsactu.fr.
Le journal en ligne cite un courrier adressé aux salariés par, Olivier Diehl, le président du directoire du groupe. Il leur y explique que la grève menée actuellement par les marins de la SNCM pourrait conduire à la non-validation de la transaction si elle venait à se poursuivre.
Selon lui, cela pourrait conduire à la liquidation sans reprise de la SNCM.
Les marins de la compagnie ont débuté leur mouvement samedi 21 novembre 2015, au lendemain de l'annonce du repreneur du groupe, en redressement judiciaire, par le tribunal de commerce de Marseille : Patrick Rocca.
L'offre de celui-ci prévoit notamment la suppression de 583 emplois sur un effectif total de près de 1 500 personnes.
Le journal en ligne cite un courrier adressé aux salariés par, Olivier Diehl, le président du directoire du groupe. Il leur y explique que la grève menée actuellement par les marins de la SNCM pourrait conduire à la non-validation de la transaction si elle venait à se poursuivre.
Selon lui, cela pourrait conduire à la liquidation sans reprise de la SNCM.
Les marins de la compagnie ont débuté leur mouvement samedi 21 novembre 2015, au lendemain de l'annonce du repreneur du groupe, en redressement judiciaire, par le tribunal de commerce de Marseille : Patrick Rocca.
L'offre de celui-ci prévoit notamment la suppression de 583 emplois sur un effectif total de près de 1 500 personnes.
"Discontinuité" des entreprises
Les grévistes entendent également obtenir de la Commission européenne l'assurance que la nouvelle société créée à la suite de ce rachat ne devra pas s'acquitter des 440 millions d'euros réclamés par l'Union européenne au titre du remboursement d'aides publiques jugées illicites.
Pour cela, il est indispensable que la discontinuité entre les deux entreprises soit établie.
Un courrier envoyé le 27 novembre 2015 à Alain Vidalies, secrétaire d'Etat en charge des Transports, Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence, va dans ce sens.
Elle y écrit, entre autres, que "l'analyse de [ses] services (...) définissant les conditions permettant de constater une discontinuité entre la SNCM et le repreneur des actifs en cause, demeure valable."
L'intégralité de la lettre est disponible en téléchargeant la pièce-jointe ci-dessous.
Pour cela, il est indispensable que la discontinuité entre les deux entreprises soit établie.
Un courrier envoyé le 27 novembre 2015 à Alain Vidalies, secrétaire d'Etat en charge des Transports, Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence, va dans ce sens.
Elle y écrit, entre autres, que "l'analyse de [ses] services (...) définissant les conditions permettant de constater une discontinuité entre la SNCM et le repreneur des actifs en cause, demeure valable."
L'intégralité de la lettre est disponible en téléchargeant la pièce-jointe ci-dessous.
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