L’ancienne dirigeante de Jet tours avait porté l’affaire devant les Prud’hommes en septembre dernier.
En résumé, Laurence Berman estimait que le Club Med ne l’ayant pas invitée à la réflexion sur la stratégie du groupe qui envisageait de se séparer de Jet tours, il y avait dès lors, une modification suffisamment importante de son contrat de travail pour la considérer comme une rupture pure et simple.
Elle avait donc claqué la porte, quittant son poste du jour au lendemain tout en réclamant au Club Med des indemnités de départ qu’elle aurait pu espérer dans le cas d’un licenciement.
D’où cette démarche devant les prud’hommes pour obtenir une requalification de son départ en licenciement.
En résumé, Laurence Berman estimait que le Club Med ne l’ayant pas invitée à la réflexion sur la stratégie du groupe qui envisageait de se séparer de Jet tours, il y avait dès lors, une modification suffisamment importante de son contrat de travail pour la considérer comme une rupture pure et simple.
Elle avait donc claqué la porte, quittant son poste du jour au lendemain tout en réclamant au Club Med des indemnités de départ qu’elle aurait pu espérer dans le cas d’un licenciement.
D’où cette démarche devant les prud’hommes pour obtenir une requalification de son départ en licenciement.
La plaignante devrait faire appel
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Le jugement rendu le 19 octobre dernier par les Prud’hommes n’est pas allé dans le sens de la plaignante, estimant qu’elle avait bien été associée à la réflexion stratégique et que ses fonctions n’étaient pas fondamentalement modifiées.
L’ancienne patronne de Jet tours s’est donc vue condamnée à verser au Club Med près de 60 000 euros représentant le montant de trois mois de salaire pour préavis non effectué.
Mais les Prud’hommes n’ont pas accordé non plus l’euro symbolique de dommages et intérêts réclamés, en contre-partie, par son employeur.
Laurence Berman avait un mois pour faire appel de cette décision des Prud‘hommes. C’est donc aujourd’hui le dernier jour. Devant une condamnation aussi lourde, le Club Med s’attend à ce que la plaignante aille jusqu’au bout de sa démarche et qu’elle poursuive l’affaire devant les tribunaux.
L’ancienne patronne de Jet tours s’est donc vue condamnée à verser au Club Med près de 60 000 euros représentant le montant de trois mois de salaire pour préavis non effectué.
Mais les Prud’hommes n’ont pas accordé non plus l’euro symbolique de dommages et intérêts réclamés, en contre-partie, par son employeur.
Laurence Berman avait un mois pour faire appel de cette décision des Prud‘hommes. C’est donc aujourd’hui le dernier jour. Devant une condamnation aussi lourde, le Club Med s’attend à ce que la plaignante aille jusqu’au bout de sa démarche et qu’elle poursuive l’affaire devant les tribunaux.