Daniela Mihalic Durica, directrice France de l’office du tourisme de Croatie, a tenu à introduire sa présentation par l’intervention de Jürgen Bachmann, vice-président du SETO.
Celui-ci se veut, se voulait, assez optimiste sur la situation du tourisme en Europe.
« Il faut considérer qu’il y a seulement quelques semaines, plusieurs facteurs essentiels permettaient d’envisager une saison estivale assez extraordinaire », analyse-t-il.
« D’abord chacun ressent dans les conversations une extraordinaire envie des Français, et plus généralement des Européens, de voyager. C’est un élément essentiel à exploiter. Par ailleurs, la plupart des destinations européennes ont levé ou allégé considérablement les mesures sanitaires restrictives, ce qui doit faciliter les déplacements ».
Mais il ajoute aussitôt que « trois nuages flottent sur ces conditions positives à une bonne saison. La crainte d’une extension du conflit ukrainien affecte la décision des touristes à se projeter en dehors de leur propre pays. Les conséquences du conflit se font déjà sentir sur la poussée inflationniste qui touche aussi bien l’énergie que les produits alimentaires.
Dès lors, le pouvoir d’achat sera remis en question avec des arbitrages à opérer entre l’essentiel et les loisirs ».
A plus long terme, Jürgen Bachmann craint que la montée inexorable des taux d’intérêt affecte aussi l’investissement des entreprises, en général, et du tourisme, en particulier, pour préparer les programmations à venir et l’innovation.
Celui-ci se veut, se voulait, assez optimiste sur la situation du tourisme en Europe.
« Il faut considérer qu’il y a seulement quelques semaines, plusieurs facteurs essentiels permettaient d’envisager une saison estivale assez extraordinaire », analyse-t-il.
« D’abord chacun ressent dans les conversations une extraordinaire envie des Français, et plus généralement des Européens, de voyager. C’est un élément essentiel à exploiter. Par ailleurs, la plupart des destinations européennes ont levé ou allégé considérablement les mesures sanitaires restrictives, ce qui doit faciliter les déplacements ».
Mais il ajoute aussitôt que « trois nuages flottent sur ces conditions positives à une bonne saison. La crainte d’une extension du conflit ukrainien affecte la décision des touristes à se projeter en dehors de leur propre pays. Les conséquences du conflit se font déjà sentir sur la poussée inflationniste qui touche aussi bien l’énergie que les produits alimentaires.
Dès lors, le pouvoir d’achat sera remis en question avec des arbitrages à opérer entre l’essentiel et les loisirs ».
A plus long terme, Jürgen Bachmann craint que la montée inexorable des taux d’intérêt affecte aussi l’investissement des entreprises, en général, et du tourisme, en particulier, pour préparer les programmations à venir et l’innovation.
Contexte perturbé mais bilan encourageant
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C’est dans ce contexte perturbé que la Croatie se présente comme une destination de proximité, ensoleillée et culturelle, qui devrait tirer son épingle du jeu comme elle l’a fait dans le contexte Covid des années passées.
La directrice de l’OT rappelle la bonne progression en l’espace de deux ans.
En 2021, ce sont près de 14 millions de touristes étrangers qui ont franchi ses frontières, totalisant 84 millions de nuitées, soit 77% du score réalisé en 2019.
400 000 Français font partie de cet ensemble de visiteurs, soit 170% de mieux qu’en 2020 quand tout s’est écroulé et 60% du score historique de 201I, avec quelque 600 000 visiteurs.
La directrice de l’OT rappelle la bonne progression en l’espace de deux ans.
En 2021, ce sont près de 14 millions de touristes étrangers qui ont franchi ses frontières, totalisant 84 millions de nuitées, soit 77% du score réalisé en 2019.
400 000 Français font partie de cet ensemble de visiteurs, soit 170% de mieux qu’en 2020 quand tout s’est écroulé et 60% du score historique de 201I, avec quelque 600 000 visiteurs.
La Croatie met 4 provinces à l'honneur
Que penser de la prochaine performance 2022.
Le secret espoir de revenir à niveau de 2019 ou de s’en approcher est chahuté par l’actualité. Pourtant la destination Croatie ne perd pas espoir.
Elle est présente au Salon Mondial du Tourisme avec quatre « provinces » qui veulent davantage se faire connaître que la région de Dubrovnik habituelle : Zagreb la capitale aussi surnommée la Ville des musées ; Zadar en Dalmatie et ses parcs nationaux ; Sibenik avec des sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco ; et la région de Split, connue pour son héritage romain et ses plages.
Chacune de ces destinations est venue avec son catalogue de nouveautés dont de nombreux nouveaux établissements hôteliers, représentant des enseignes internationales.
Lire aussi :
- Daniela Mihalic Durica réélue directrice de l’ONT Croatie à Paris
- Croatie : les Français entrent dans le TOP 10 des marchés émetteurs
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Elle est présente au Salon Mondial du Tourisme avec quatre « provinces » qui veulent davantage se faire connaître que la région de Dubrovnik habituelle : Zagreb la capitale aussi surnommée la Ville des musées ; Zadar en Dalmatie et ses parcs nationaux ; Sibenik avec des sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco ; et la région de Split, connue pour son héritage romain et ses plages.
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