
Michel Rivet, Vice-Président de LÉVÉNEMENT a présenté, vendredi 11 avril 2025, un baromètre sur les attentes des clients d’agences de communication événementielle, réalisé auprès de 120 annonceurs - Photo : Pascal Versaci
Les résultats du baromètre réalisé auprès de 120 annonceurs par LÉVÉNEMENT, organisation professionnelle des agences de communication événementielle, confirment la place de la communication événementielle dans la stratégie des entreprises.
86% des clients interrogés la considèrent comme un catalyseur de transformation pour leur organisation, tandis que 64% estiment qu’elle joue un rôle central dans la construction de leur marque.
Une reconnaissance forte, qui souligne l’importance croissante de ce levier dans un monde où l’expérience et l’engagement sont devenus des valeurs clés.
86% des clients interrogés la considèrent comme un catalyseur de transformation pour leur organisation, tandis que 64% estiment qu’elle joue un rôle central dans la construction de leur marque.
Une reconnaissance forte, qui souligne l’importance croissante de ce levier dans un monde où l’expérience et l’engagement sont devenus des valeurs clés.
Appels d’offres : une pratique à réinventer
Parmi les enseignements majeurs de l’étude, 58% des clients reconnaissent lancer des appels d’offres avant tout pour répondre à des contraintes internes, et non par réelle nécessité stratégique.
Une mécanique qui, selon Michel Rivet, vice-président de LÉVÉNEMENT en charge de l'écosystème, mérite d’être remise à plat. « Il existe aujourd’hui une vraie prise de conscience chez les annonceurs : les appels d’offres systématiques représentent un coût non seulement pour les agences, mais aussi en temps et en énergie pour eux-mêmes. »
Le coût d’un appel d’offres pour une agence n’est plus ignoré : 56% des clients estiment qu’il dépasse les 10 000€, 22% vont jusqu’à évoquer un coût supérieur à 25 000€.
Cette prise de conscience ouvre la voie à une réflexion sur une meilleure régulation du processus, et pourquoi pas, une rémunération plus juste du travail fourni en amont.
Une mécanique qui, selon Michel Rivet, vice-président de LÉVÉNEMENT en charge de l'écosystème, mérite d’être remise à plat. « Il existe aujourd’hui une vraie prise de conscience chez les annonceurs : les appels d’offres systématiques représentent un coût non seulement pour les agences, mais aussi en temps et en énergie pour eux-mêmes. »
Le coût d’un appel d’offres pour une agence n’est plus ignoré : 56% des clients estiment qu’il dépasse les 10 000€, 22% vont jusqu’à évoquer un coût supérieur à 25 000€.
Cette prise de conscience ouvre la voie à une réflexion sur une meilleure régulation du processus, et pourquoi pas, une rémunération plus juste du travail fourni en amont.
Vers des appels d’offres plus sobres et plus justes
Pour alléger le processus, 65% des clients se disent prêts à accepter une note stratégique synthétique dès la première phase de consultation.
Un virage vers plus d’agilité que salue Michel Rivet : « Ce qui compte avant tout, c’est d’avoir bien compris le brief et trouvé le bon concept.
Trop de livrables sont aujourd’hui surdimensionnés. Il faut oser la simplicité, à condition d’assumer la juste valeur du travail demandé. »
Autre signe d’ouverture : 92% des répondants accepteraient de rémunérer l’excédent de temps passé sur les projets, et 64% se disent favorables à une facturation au temps réel une fois la collaboration engagée.
Lire aussi : Tourisme d'affaires : Rennes confirme son attractivité en 2024 et 2025 !
Un virage vers plus d’agilité que salue Michel Rivet : « Ce qui compte avant tout, c’est d’avoir bien compris le brief et trouvé le bon concept.
Trop de livrables sont aujourd’hui surdimensionnés. Il faut oser la simplicité, à condition d’assumer la juste valeur du travail demandé. »
Autre signe d’ouverture : 92% des répondants accepteraient de rémunérer l’excédent de temps passé sur les projets, et 64% se disent favorables à une facturation au temps réel une fois la collaboration engagée.
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Stabilité recherchée : le retour des contrats longs
L’étude révèle également une envie forte de construire des relations durables avec les agences. 62% des clients qui privilégient les contrats longs le font pour bénéficier de plus de continuité et de stabilité.
A contrario, 58% de ceux qui fonctionnent par projet expliquent que cette pratique leur est imposée par des contraintes internes, et non par conviction.
Un changement de paradigme semble s’amorcer : moins de compétition systématique, plus de collaboration dans la durée.
Comme le résume un répondant : « Changer d’agence à chaque appel d’offres, c’est perdre du temps et de l’énergie. La valeur d’un partenariat long terme est bien plus grande. »
Lire aussi : Narbonne : Cap Soleil pousse les murs réceptif et MICE
A contrario, 58% de ceux qui fonctionnent par projet expliquent que cette pratique leur est imposée par des contraintes internes, et non par conviction.
Un changement de paradigme semble s’amorcer : moins de compétition systématique, plus de collaboration dans la durée.
Comme le résume un répondant : « Changer d’agence à chaque appel d’offres, c’est perdre du temps et de l’énergie. La valeur d’un partenariat long terme est bien plus grande. »
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