"Ryanair a présenté ses excuses par écrit auprès du bureau de Monsieur Sarkozy car le but n’avait jamais été de blessé les personnes concernées [et] s’est engagé à ne plus diffuser la publicité controversée (ou toute autre publicité du même style). Ryanair a proposé de faire un don de 5 000€ à l’association caritative du choix du Président Sarkozy en témoignage de leur bonne foi.
Hier soir cependant, Ryanair a reçu une assignation en justice en référé de la part du Président Sarkozy et de Mademoiselle Bruni. Le Président Sarkozy demande un euro symbolique de dommages et intérêts. Mademoiselle Bruni, réclame 500 000 euros. Les avocats de [la compagnie aérienne] vont préciser aujourd’hui devant la Cour de Justice qu’ils acceptent de payer un euro symbolique au Président Sarkozy et vont renouveler leur proposition de faire don de 5 000€ à l’association caritative de son choix. Ryanair a un grand respect le Président Sarkozy et les hautes fonctions qu’il occupe.
Les avocats [de la compagnie low cost] feront la même proposition à Mademoiselle Bruni : un euro symbolique et un don de 5 000€ à l’association caritative de son choix. Ryanair n’est pas d’accord d’offrir un tel dédommagement de 500 000€ à Mademoiselle Bruni. De plus, Mademoiselle Bruni s’affiche publiquement avec le Président Sarkozy et sa relation est ultra médiatisée dans le monde entier. Elle n’a fait aucune objection face à la publication de milliers de clichés de son couple qui ont été publiés dans environ 55 000 journaux ou magazines ces dernières semaines. La compagnie aérienne Ryanair, quant à elle, n’a diffusé sa publicité que dans un seul quotidien."
Peter Sherrard, Directeur de la Communication de Ryanair a par ailleurs déclaré : "Nous avons immédiatement et sincèrement présenté nos excuses au Président Sarkozy et Mademoiselle Bruni pour la publication dans le Parisien de la publicité. Nous avons tenté avec humour d’utiliser positivement cette relation publique et très médiatisée. Toutefois Ryanair n'a aucune intention de céder aux exigences et à la pression de Mademoiselle Bruni. Nous nous opposons fermement à verser 500 000€ à une personne qui est engagée dans une des relations de couple les plus médiatisée au monde ces dernières semaines."
Hier soir cependant, Ryanair a reçu une assignation en justice en référé de la part du Président Sarkozy et de Mademoiselle Bruni. Le Président Sarkozy demande un euro symbolique de dommages et intérêts. Mademoiselle Bruni, réclame 500 000 euros. Les avocats de [la compagnie aérienne] vont préciser aujourd’hui devant la Cour de Justice qu’ils acceptent de payer un euro symbolique au Président Sarkozy et vont renouveler leur proposition de faire don de 5 000€ à l’association caritative de son choix. Ryanair a un grand respect le Président Sarkozy et les hautes fonctions qu’il occupe.
Les avocats [de la compagnie low cost] feront la même proposition à Mademoiselle Bruni : un euro symbolique et un don de 5 000€ à l’association caritative de son choix. Ryanair n’est pas d’accord d’offrir un tel dédommagement de 500 000€ à Mademoiselle Bruni. De plus, Mademoiselle Bruni s’affiche publiquement avec le Président Sarkozy et sa relation est ultra médiatisée dans le monde entier. Elle n’a fait aucune objection face à la publication de milliers de clichés de son couple qui ont été publiés dans environ 55 000 journaux ou magazines ces dernières semaines. La compagnie aérienne Ryanair, quant à elle, n’a diffusé sa publicité que dans un seul quotidien."
Peter Sherrard, Directeur de la Communication de Ryanair a par ailleurs déclaré : "Nous avons immédiatement et sincèrement présenté nos excuses au Président Sarkozy et Mademoiselle Bruni pour la publication dans le Parisien de la publicité. Nous avons tenté avec humour d’utiliser positivement cette relation publique et très médiatisée. Toutefois Ryanair n'a aucune intention de céder aux exigences et à la pression de Mademoiselle Bruni. Nous nous opposons fermement à verser 500 000€ à une personne qui est engagée dans une des relations de couple les plus médiatisée au monde ces dernières semaines."