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Une fois n’est pas coutume, commençons par les réactions de fin de journée ont été plus que positive. « C’est la première fois que je suis confrontée avec des collègues provenant de Belgique, de Hollande et d’Allemagne », explique cette responsable d’un réseau d’AGV française.
Norbert Slacher, product manager du premier GIE allemand Schmetterling avec plus de 2.500 AGV : « Forum super intéressant, il m’a convaincu que nous devons dépasser les limités de nos frontières.
Il faut absolument répéter cette expérience tous les deux ans. » Jan VanSteen, président de l’ECTAA : « Réunion des plus instructives qui permet à chacun d’entre nous de percevoir nos différences non de manière théorique mais de terrain ».
Ce qui a été souligné
En fait, en ce qui concerne le niveau des commissions qui varient facialement assez fortement, force est de reconnaître que finalement les marges avant impôts sont relativement équivalentes entre chacun des pays. Il faut en effet tenir compte, par exemple du niveau de responsabilité des AGV vis-à-vis des clients qui sont fort différentes d’un pays à un autre.
Par contre, un point semble être la hantise de tous les participants : le niveau de formation du personnel. « On nous demande de services de haute valeur ajoutée mais notre personnel est souvent mal formé par les écoles » est un leitmotiv de tous les intervenants.
En ce qui concerne les nouvelles technologies, pour de nombreux participants, il ne faut pas les regarder avec craintes mais au contraire comme étant des plus values commerciales. Janie Bousquet directrice générale des AGV Grand Large et administratrice jusqu’il y a peu du réseau Selectour : « Euram avec son programme DIMO prouve que la technologie peut vraiment nous aider à vendre. »
Les grands groupes, les participants français ont pour la plupart d’entre eux été frappés par les conséquences de la domination des grands groupes sur les marchés belge, hollandais et allemand. « J’ai été frappée par la véritable crainte et la paralysie que provoque TUI et Thomas Cook en Belgique. En fait, à entendre les belges présents, ces deux groupes contrôlent littéralement le pays ».
Les conclusions
Bien que ce ne soit pas l’objet d’un tel forum, il est apparu que certaines lignes de force se dégageaient. Parmi celles-ci, il était souhaité, en dehors d’une amélioration nette de la formation fournie par les écoles officielles, une harmonisation des conditions de travail au niveau européen.
Entendez par là, une réglementation unique pour tous. Quant aux nouvelles technologies, l’application optimale de celles-ci dépend à la formation du personnel à l’adaptation des législations et surtout à la fin des pressions de certains groupes envers elles.
« En ce qui concerne le dynamic packaging, je suis persuadé que les grands TO vont tout faire pour empêcher les AGV de mettre en place ces offres. C’est logique, car ce type de service va libérer les AGV des TO. », nous a expliqué l’un des participants.
Norbert Slacher, product manager du premier GIE allemand Schmetterling avec plus de 2.500 AGV : « Forum super intéressant, il m’a convaincu que nous devons dépasser les limités de nos frontières.
Il faut absolument répéter cette expérience tous les deux ans. » Jan VanSteen, président de l’ECTAA : « Réunion des plus instructives qui permet à chacun d’entre nous de percevoir nos différences non de manière théorique mais de terrain ».
Ce qui a été souligné
En fait, en ce qui concerne le niveau des commissions qui varient facialement assez fortement, force est de reconnaître que finalement les marges avant impôts sont relativement équivalentes entre chacun des pays. Il faut en effet tenir compte, par exemple du niveau de responsabilité des AGV vis-à-vis des clients qui sont fort différentes d’un pays à un autre.
Par contre, un point semble être la hantise de tous les participants : le niveau de formation du personnel. « On nous demande de services de haute valeur ajoutée mais notre personnel est souvent mal formé par les écoles » est un leitmotiv de tous les intervenants.
En ce qui concerne les nouvelles technologies, pour de nombreux participants, il ne faut pas les regarder avec craintes mais au contraire comme étant des plus values commerciales. Janie Bousquet directrice générale des AGV Grand Large et administratrice jusqu’il y a peu du réseau Selectour : « Euram avec son programme DIMO prouve que la technologie peut vraiment nous aider à vendre. »
Les grands groupes, les participants français ont pour la plupart d’entre eux été frappés par les conséquences de la domination des grands groupes sur les marchés belge, hollandais et allemand. « J’ai été frappée par la véritable crainte et la paralysie que provoque TUI et Thomas Cook en Belgique. En fait, à entendre les belges présents, ces deux groupes contrôlent littéralement le pays ».
Les conclusions
Bien que ce ne soit pas l’objet d’un tel forum, il est apparu que certaines lignes de force se dégageaient. Parmi celles-ci, il était souhaité, en dehors d’une amélioration nette de la formation fournie par les écoles officielles, une harmonisation des conditions de travail au niveau européen.
Entendez par là, une réglementation unique pour tous. Quant aux nouvelles technologies, l’application optimale de celles-ci dépend à la formation du personnel à l’adaptation des législations et surtout à la fin des pressions de certains groupes envers elles.
« En ce qui concerne le dynamic packaging, je suis persuadé que les grands TO vont tout faire pour empêcher les AGV de mettre en place ces offres. C’est logique, car ce type de service va libérer les AGV des TO. », nous a expliqué l’un des participants.