Charming Italia subit la concurrence de Raffællo et de Donatello
Dominique Tanaka, general manager de Transeurope, confirme : « Il est exact que nous étudions actuellement le maintien de notre système de réservation à Bruxelles. Au début du siècle nous avions ouvert un bureau à Bruxelles. Nous souhaitions grâce à celui-ci améliorer notre pénétration du marché francophone belge ».
En effet, fin des années 90, la répartition du chiffre d’affaires du spécialiste belge des city-Trip se partageait en 65 % sur la Région Flamande et 35 % sur la Région Wallonne et Bruxelles. En implantant une réservation autonome dédiée au marché francophone, le voyagiste espérait, grâce à une augmentation sensible des ventes dans la partie francophone du royaume, pouvoir équilibrer ses opérations.
Succès des brochures « Charming »
Après quatre à cinq années, l’expérience a montré que malgré une hausse très forte du chiffre d’affaires dans tout le pays, le différentiel reste toujours de mise. Selon Dominique Tanaka, il aurait même augmenté en faveur du marché néerlandophone. En cause, semble-t-il, la production « Charming » du groupe.
Transeurope a, en effet, il y a quelques années mis en place une politique de diversification de son offre. Jusqu’à cette époque, ce voyagiste ne proposait que des voyages urbains. Devant la concurrence de plus en plus forte des deux grands opérateurs qui s’étaient lancé avec force sur le marché des city-Trip, Transeurope avait donc décidé d’innover.
Avec plusieurs nouvelles brochures, l’opérateur entendait couvrir la demande de séjour en hôtels de charme et de caractère. Trois destinations : Italie, France et Espagne.
La résa part mais l’implantation commerciale reste
Or il apparaît que ces offres ont surtout plu au marché du Nord du pays. Logique, lorsqu’on sait que sur le marché francophone, dans le cas de l’Italie, par exemple, Charming Italia subit la concurrence de Raffællo et de Donatello.
À noter cependant que lors des derniers Travel Award, pour l’attribution du meilleur TO de niche, ni Donatello, ni Raffællo n’ont été cités par les AGV aussi bien néerlandophones que francophones.
Mais attention, les responsables du voyagiste insistent sur le fait que s’ils étudient le transfert du service réservation et call-center, par contre le service commercial restera en place. Ce qui prouve qu’il s’agit bien là d’une simple réorganisation des services et non d’une restructuration.
En effet, fin des années 90, la répartition du chiffre d’affaires du spécialiste belge des city-Trip se partageait en 65 % sur la Région Flamande et 35 % sur la Région Wallonne et Bruxelles. En implantant une réservation autonome dédiée au marché francophone, le voyagiste espérait, grâce à une augmentation sensible des ventes dans la partie francophone du royaume, pouvoir équilibrer ses opérations.
Succès des brochures « Charming »
Après quatre à cinq années, l’expérience a montré que malgré une hausse très forte du chiffre d’affaires dans tout le pays, le différentiel reste toujours de mise. Selon Dominique Tanaka, il aurait même augmenté en faveur du marché néerlandophone. En cause, semble-t-il, la production « Charming » du groupe.
Transeurope a, en effet, il y a quelques années mis en place une politique de diversification de son offre. Jusqu’à cette époque, ce voyagiste ne proposait que des voyages urbains. Devant la concurrence de plus en plus forte des deux grands opérateurs qui s’étaient lancé avec force sur le marché des city-Trip, Transeurope avait donc décidé d’innover.
Avec plusieurs nouvelles brochures, l’opérateur entendait couvrir la demande de séjour en hôtels de charme et de caractère. Trois destinations : Italie, France et Espagne.
La résa part mais l’implantation commerciale reste
Or il apparaît que ces offres ont surtout plu au marché du Nord du pays. Logique, lorsqu’on sait que sur le marché francophone, dans le cas de l’Italie, par exemple, Charming Italia subit la concurrence de Raffællo et de Donatello.
À noter cependant que lors des derniers Travel Award, pour l’attribution du meilleur TO de niche, ni Donatello, ni Raffællo n’ont été cités par les AGV aussi bien néerlandophones que francophones.
Mais attention, les responsables du voyagiste insistent sur le fait que s’ils étudient le transfert du service réservation et call-center, par contre le service commercial restera en place. Ce qui prouve qu’il s’agit bien là d’une simple réorganisation des services et non d’une restructuration.