Dans un communiqué daté du 3 décembre 2012, le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) France ALPA explique avoir retenu "trois points essentiels" du jugement en appel sur l'accident du Concorde survenu le 25 juillet 2000.
Le syndicat se dit tout d'abord "satisfait" que la Cour ait souligné le comportement exemplaire de l'équipage. Il en profite également pour saluer la mémoire de cette équipage ainsi que celle des passagers disparus au cours du crash.
L'organisation retient également le fait que le tribunal ait relevé la défaillance des autorités de contrôle et de suivi de l'appareil. Elle met ici en cause de le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) considéré comme le "précurseur du crash fatal de juillet 2000".
Troisième point souligné par le SNPL : la reconnaissance par la Cour des fautes commises par la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC).
Il conclue en se félicitant "que les critiques qu'il a formulées à de nombreuses reprises à l'encontre des autorités responsables du suivi des incidents (BEA) et du suivi de navigabilité de l'appareil (DGAC) aient été reprises par la Cour."
Le syndicat estime que ces organismes ont joué un rôle, par leur "passivité", dans la survenance de l'accident du Concorde. C'est pourquoi il considère "indispensable et urgent que le fonctionnement de ces organismes évolue rapidement afin de faire progresser la sécurité du transport aérien."
Le syndicat se dit tout d'abord "satisfait" que la Cour ait souligné le comportement exemplaire de l'équipage. Il en profite également pour saluer la mémoire de cette équipage ainsi que celle des passagers disparus au cours du crash.
L'organisation retient également le fait que le tribunal ait relevé la défaillance des autorités de contrôle et de suivi de l'appareil. Elle met ici en cause de le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) considéré comme le "précurseur du crash fatal de juillet 2000".
Troisième point souligné par le SNPL : la reconnaissance par la Cour des fautes commises par la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC).
Il conclue en se félicitant "que les critiques qu'il a formulées à de nombreuses reprises à l'encontre des autorités responsables du suivi des incidents (BEA) et du suivi de navigabilité de l'appareil (DGAC) aient été reprises par la Cour."
Le syndicat estime que ces organismes ont joué un rôle, par leur "passivité", dans la survenance de l'accident du Concorde. C'est pourquoi il considère "indispensable et urgent que le fonctionnement de ces organismes évolue rapidement afin de faire progresser la sécurité du transport aérien."