Comme pour l'ESTA pour les Etats-Unis, une fois l'ETIAS en place, les ressortissants de pays tiers exemptés de l'obligation de visa qui se rendront dans l'espace Schengen devront s'enregistrer et obtenir une autorisation avant leur voyage - Depositphotos.com paulgrecaud
Le projet d'ESTA européen avant.
Dans un communiqué de presse la Commission s'est félicité d'un accord entre le Parlement européen, le Conseil et la Commission "pour rendre le futur système européen d'information et d'autorisation concernant les voyages (ETIAS) interopérable avec les autres systèmes d'information de l'UE."
"Il s'agit d'une étape importante en vue de la mise en service du système d'ici à la fin de 2022", souligne la Commission.
L'accord intervenu porte sur trois règlements fixant les conditions d'accès aux systèmes d'information que l'ETIAS interrogera dans le cadre de ses vérifications automatisées.
Comme pour l'ESTA pour les Etats-Unis, une fois l'ETIAS en place, les ressortissants de pays tiers exemptés de l'obligation de visa qui se rendront dans l'espace Schengen devront s'enregistrer et obtenir une autorisation avant leur voyage.
"Il ne faudra que quelques minutes" promet la Commission pour remplir une demande en ligne qui, dans la grande majorité des cas - probablement plus de 95 % estime l'Europe- donnera lieu à une approbation automatique.
Dans un communiqué de presse la Commission s'est félicité d'un accord entre le Parlement européen, le Conseil et la Commission "pour rendre le futur système européen d'information et d'autorisation concernant les voyages (ETIAS) interopérable avec les autres systèmes d'information de l'UE."
"Il s'agit d'une étape importante en vue de la mise en service du système d'ici à la fin de 2022", souligne la Commission.
L'accord intervenu porte sur trois règlements fixant les conditions d'accès aux systèmes d'information que l'ETIAS interrogera dans le cadre de ses vérifications automatisées.
Comme pour l'ESTA pour les Etats-Unis, une fois l'ETIAS en place, les ressortissants de pays tiers exemptés de l'obligation de visa qui se rendront dans l'espace Schengen devront s'enregistrer et obtenir une autorisation avant leur voyage.
"Il ne faudra que quelques minutes" promet la Commission pour remplir une demande en ligne qui, dans la grande majorité des cas - probablement plus de 95 % estime l'Europe- donnera lieu à une approbation automatique.
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L'autorisation ETIAS sera payante et coûtera 7 euros, "ces droits n'étant payés qu'une fois, et elle sera valable pendant trois ans et pour des entrées multiples."
La Commission précise que l'ETIAS n'apportera pas de changement à la liste des pays tiers dont les ressortissants sont soumis à l'obligation de visa. Il n'introduira pas non plus de nouvelle obligation de visa pour les ressortissants des pays qui en sont exemptés.
"Grâce à ce système, des vérifications concernant les voyageurs seront effectuées, avant leur déplacement, par recoupements dans les systèmes d'information de l'UE en matière de frontières, de sécurité et de migration, ce qui permettra d'identifier à l'avance les personnes susceptibles de présenter un risque pour la sécurité ou la santé, ainsi que de vérifier le respect des règles en matière de migration" justifie l'Europe pour expliquer la mise en place du système.
La Commission précise que l'ETIAS n'apportera pas de changement à la liste des pays tiers dont les ressortissants sont soumis à l'obligation de visa. Il n'introduira pas non plus de nouvelle obligation de visa pour les ressortissants des pays qui en sont exemptés.
"Grâce à ce système, des vérifications concernant les voyageurs seront effectuées, avant leur déplacement, par recoupements dans les systèmes d'information de l'UE en matière de frontières, de sécurité et de migration, ce qui permettra d'identifier à l'avance les personnes susceptibles de présenter un risque pour la sécurité ou la santé, ainsi que de vérifier le respect des règles en matière de migration" justifie l'Europe pour expliquer la mise en place du système.