
Alors que le mouvement des "tradwives" prend de l'ampleur, comment en est-on arrivé là ? Dans un contexte rétrograde et réactionnaire, il convient de prendre en compte le peu de progrès réalisés dans le monde du travail... - DR : DepositPhotos.com, rogistok
Évoquons d’abord le contexte sociétal : pendant que la France fait un pas en avant majeur, n’oublions pas que notre pays est déchiré en même temps par des mises en accusation de plus en plus nombreuses de femmes victimes de harcèlement et de viol, et cela par des célébrités portées aux nues par les médias.
Les féminicides s’accumulent et les inégalités économiques subsistent.
Non, le mouvement MeToo n’a pas encore remporté complément la partie et devra sans doute mettre plus de temps que prévu pour afficher une victoire définitive sur le mal être féminin.
Car, les mentalités évoluent mais évoluent lentement. Sans compter le fait que parfois, elles stagnent et surtout reculent, emportées par un fort mouvement de balancier qui, quand il va trop loin dans le sens du progrès, accomplit tel un boomerang le chemin inverse.
En anglais, on appelle cela « le backlash ». En français, on peut parler de « retour de bâton ».
Un phénomène bien réel, observable dans tous les secteurs, à une échelle plus ou moins développée. D’une part, on a les avant-gardes progressistes. De l’autre, on a les conservateurs frileux, terrifiés par l’avenir, qui font marche arrière.
Et les femmes font souvent les frais de cette récession.
Les féminicides s’accumulent et les inégalités économiques subsistent.
Non, le mouvement MeToo n’a pas encore remporté complément la partie et devra sans doute mettre plus de temps que prévu pour afficher une victoire définitive sur le mal être féminin.
Car, les mentalités évoluent mais évoluent lentement. Sans compter le fait que parfois, elles stagnent et surtout reculent, emportées par un fort mouvement de balancier qui, quand il va trop loin dans le sens du progrès, accomplit tel un boomerang le chemin inverse.
En anglais, on appelle cela « le backlash ». En français, on peut parler de « retour de bâton ».
Un phénomène bien réel, observable dans tous les secteurs, à une échelle plus ou moins développée. D’une part, on a les avant-gardes progressistes. De l’autre, on a les conservateurs frileux, terrifiés par l’avenir, qui font marche arrière.
Et les femmes font souvent les frais de cette récession.
Pour 11,09€ TTC par mois*
profitez d'un contenu exclusif
*Soit 1 règlement de 133€ TTC par an
Vous êtes étudiant, cliquez ici
Vos données sont protégées et strictement destinées à l’usage interne de TourMaG.com.