Didier Trock, directeur de CLIO : « Ce pays recèle un patrimoine archéologique et artistique tout a fait exceptionnel qui en fait une destination privilégiée pour les amateurs de beaux voyages culturels »
Pour le marché français la Turquie est une destination incontournable.
Pays vaste et contrasté elle mériterait même plusieurs voyages. Les tour-opérateurs le constatent : les meilleurs clients de la Turquie sont ceux qui y sont déjà allés. Ils y retournent toujours !
La France a son « major », Marmara, qui a commencé à développer son modèle économique avec la Turquie et dont la part de marché des voyages à forfait sur cette destination approche les 70 %.
Elle a ses grands généralistes qui réservent dans leurs brochures une place à la Turquie. Il serait hasardeux d'extraire d'une production une telle destination de proximité à la fois balnéaire et culturelle offrant, qui plus est, l'un des meilleurs rapports qualité-prix du moment.
Enfin une poignée de spécialistes pointus s'adressant à une clientèle ciblée (voyages culturels, golf) ont aussi fait leur place sur le marché français. TourMaG.com est allé à leur rencontre.
Pays vaste et contrasté elle mériterait même plusieurs voyages. Les tour-opérateurs le constatent : les meilleurs clients de la Turquie sont ceux qui y sont déjà allés. Ils y retournent toujours !
La France a son « major », Marmara, qui a commencé à développer son modèle économique avec la Turquie et dont la part de marché des voyages à forfait sur cette destination approche les 70 %.
Elle a ses grands généralistes qui réservent dans leurs brochures une place à la Turquie. Il serait hasardeux d'extraire d'une production une telle destination de proximité à la fois balnéaire et culturelle offrant, qui plus est, l'un des meilleurs rapports qualité-prix du moment.
Enfin une poignée de spécialistes pointus s'adressant à une clientèle ciblée (voyages culturels, golf) ont aussi fait leur place sur le marché français. TourMaG.com est allé à leur rencontre.
Rasim Guvendi : « Panacher les voyages et privilégier les hôtels boutique »
Voici 5 ans Rasim Guvendi créait Mondo Terra, une « TPE » spécialisée dans les groupes et individuels voyageant à la carte. L'entreprise emploie à Paris 4 personnes lui compris.
Dans sa palette de destinations il a donné à la Turquie une place prioritaire. C'est son pays et son coup de coeur permanent.
Mais comme il veut se garder des effets provoqués sur le marché par tel ou tel conflit géopolitique ou risque sanitaire, il programme aussi la Tunisie, le Maroc et l'Egypte.
Pour prendre sa place sur le marché français il a investi à destination en créant des filiales réceptives chargées d'accueillir les clients et surtout de négocier les prix sur place auprès des hôteliers.
« Pour dominer le produit il faut être très bon en achat » explique Rasim Guvendi qui a fait le choix de vendre exclusivement par les réseaux de distribution. Il est référencé parmi les réceptifs étrangers du réseau Tourcom.
Mondo Terra vend une production « à la carte » et travaille essentiellement avec les compagnies régulières, Lufthansa au départ de Marseille et Turkish Airlines ailleurs. Il prévoit pour 2010 des départs de plateformes secondaires pour les groupes et durant les vacances scolaires sauf juillet et août.
Toujours pour 2010 il répertorie les plus beaux hôtels boutiques du pays - anciennes maisons ottomanes de notables, petits palais métamorphosés en hôtels de charme - pour les réunir en un guide. Il assurera les réservations.
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Dans sa palette de destinations il a donné à la Turquie une place prioritaire. C'est son pays et son coup de coeur permanent.
Mais comme il veut se garder des effets provoqués sur le marché par tel ou tel conflit géopolitique ou risque sanitaire, il programme aussi la Tunisie, le Maroc et l'Egypte.
Pour prendre sa place sur le marché français il a investi à destination en créant des filiales réceptives chargées d'accueillir les clients et surtout de négocier les prix sur place auprès des hôteliers.
« Pour dominer le produit il faut être très bon en achat » explique Rasim Guvendi qui a fait le choix de vendre exclusivement par les réseaux de distribution. Il est référencé parmi les réceptifs étrangers du réseau Tourcom.
Mondo Terra vend une production « à la carte » et travaille essentiellement avec les compagnies régulières, Lufthansa au départ de Marseille et Turkish Airlines ailleurs. Il prévoit pour 2010 des départs de plateformes secondaires pour les groupes et durant les vacances scolaires sauf juillet et août.
Toujours pour 2010 il répertorie les plus beaux hôtels boutiques du pays - anciennes maisons ottomanes de notables, petits palais métamorphosés en hôtels de charme - pour les réunir en un guide. Il assurera les réservations.
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Le conseil et le coup de coeur de Rasim Guvendi
« Il faut panacher les voyages en programmant trois jours en Cappadoce ou 3 jours à Istanbul avec un séjour balnéaire et privilégier les petits hôtels de charme aux grands hôtels de chaînes internationales.
Mes coups de coeur sont nombreux : un lever de soleil en Cappadoce depuis la nacelle d'une montgolfière est une expérience inoubliable... le Pont de Galata au coucher du soleil, le va et vient des bateau, les pêcheurs... ».
Mes coups de coeur sont nombreux : un lever de soleil en Cappadoce depuis la nacelle d'une montgolfière est une expérience inoubliable... le Pont de Galata au coucher du soleil, le va et vient des bateau, les pêcheurs... ».
Georges Vialard : « La Turquie a souffert de la concurrence d'autres pays »
Fram a connu des hauts et des bas avec la Turquie. Le TO fut même l'un des pionniers à la fin des années 80 avant de se marginaliser. Il a même eu son Framissima, à Cesme, vendu en 2008.
Georges Vialard, directeur de la production Fram explique : « Une pléiade d'opérateurs turcs aujourd'hui oubliés sont venus déréguler le marché en cassant les prix. La destination a souffert de la concurrence.
D'autres destinations se sont révélées et ont développé une communication efficace en proposant des produits plus adaptés à la clientèle française». A propos du Framissima vendu ?
« Il ne ne correspondait plus à la demande du marché français. Nous nous tournons aujourd'hui vers le sud et les régions de Bodrum et Antalya avec une hôtellerie labellisée. »
La Turquie n'est pas l'un des axes forts de Fram. Le TO la considère toutefois incontournable et reste vigilant sur un marché qui évolue. Son objectif est d'y retourner en développant sa production, notamment sur les côtes égéenne sud et méditerranéenne qui jouissent d'un climat favorable, offrent les plus belles plages et donnent la possibilité de faire du golf et des croisières en goélettes.
En 2009 Fram programme à Bodrum et Antalya des établissements labellisés francophones, Club Olé et Frameco, où des pilotes vacances « maison » assurent l'accueil et l'animation. La programmation s'ouvre aussi à des hôtels plus classiques.
Malgré la conjoncture, la Turquie de Fram se maintient correctement par rapport à 2008 sans décrochage particulier par rapport à d'autres destinations. Le TO co-affrète durant la haute saison, d'avril à octobre, au départ de Paris et des régions.
Georges Vialard, directeur de la production Fram explique : « Une pléiade d'opérateurs turcs aujourd'hui oubliés sont venus déréguler le marché en cassant les prix. La destination a souffert de la concurrence.
D'autres destinations se sont révélées et ont développé une communication efficace en proposant des produits plus adaptés à la clientèle française». A propos du Framissima vendu ?
« Il ne ne correspondait plus à la demande du marché français. Nous nous tournons aujourd'hui vers le sud et les régions de Bodrum et Antalya avec une hôtellerie labellisée. »
La Turquie n'est pas l'un des axes forts de Fram. Le TO la considère toutefois incontournable et reste vigilant sur un marché qui évolue. Son objectif est d'y retourner en développant sa production, notamment sur les côtes égéenne sud et méditerranéenne qui jouissent d'un climat favorable, offrent les plus belles plages et donnent la possibilité de faire du golf et des croisières en goélettes.
En 2009 Fram programme à Bodrum et Antalya des établissements labellisés francophones, Club Olé et Frameco, où des pilotes vacances « maison » assurent l'accueil et l'animation. La programmation s'ouvre aussi à des hôtels plus classiques.
Malgré la conjoncture, la Turquie de Fram se maintient correctement par rapport à 2008 sans décrochage particulier par rapport à d'autres destinations. Le TO co-affrète durant la haute saison, d'avril à octobre, au départ de Paris et des régions.
Le conseil et le coup de coeur de Georges Vialard
« Le pays est vaste et passionnant. Il faut le visiter en prenant son temps. Mon conseil est de prendre deux semaines pour le découvrir sans brûler les étapes.
Je garde mon coup de coeur pour Istanbul, la ville toute entière est passionnante. C'est à la fois une ville d'art et d'histoire et une métropole moderne. Beaucoup de voyageurs n'y accordent que deux ou trois jours. Pour moi elle vaut une semaine complète. »
Je garde mon coup de coeur pour Istanbul, la ville toute entière est passionnante. C'est à la fois une ville d'art et d'histoire et une métropole moderne. Beaucoup de voyageurs n'y accordent que deux ou trois jours. Pour moi elle vaut une semaine complète. »
Jean-Pierre Pochon : « LaTurquie peut devenir la 1ère destination ''golf '' du Bassin Méditerranéen »
La Turquie a fait le choix de développer une offre « golf » et s'en donne les moyens. La seule région de Antalya propose , sur une distance d'une cinquantaine de kilomètres, 16 parcours de 18 trous. Il y en a 2 à Bodrum et 2 à Istanbul.
« Tous les joueurs, quel que soit leur niveau de jeu, trouveront de quoi satisfaire leur passion, rappelle Jean-Pierre Pochon, directeur de Grand Elan Voyages, spécialiste golf.
Les hôtels le plus souvent situés en bord de mer offrent, à classement identique, des prestations qui n’ont rien à envier et qui sont même supérieures à celles de la plupart des autres hôtels du Bassin Méditerranéen.
Le prix moyen des séjours est intéressant, moins élevé qu'au Maroc, qu'au Portugal ou qu'en Espagne. Pour moins de 1 000 euros on peut avoir un séjour en 5* all inclusive avec vols réguliers et 3 green fees sur 3 parcours différents » ajoute-t-il.
Certains parcours sont signés par les meilleurs architectes (Peter Dye, David Jones ou Michel Gayon) ou de grands joueurs comme Nick Faldo ou Colin Montgomerie. Le spécialiste l'affirme : la Turquie deviendra très vite la première destination « golf » du Bassin Méditerranéen surtout si, comme prévu, l'offre sur Bodrum se développe également.
Choix des parcours - pour beaucoup intégrés dans de superbes resorts - gentillesse de l'accueil turc, propreté générale du pays « par rapport à certains pays du Bassin Méditerranéen », euro accepté partout et développement des centres de thalassothérapie intégrés dans les hôtels qui donnent aux non golfeurs une activité des plus agréables... font partie de l'argumentaire du spécialiste du golf.
Quelques regrets toutefois : « L'information n'est pas encore suffisante. Peu de golfeurs savent que cette destination est particulièrement intéressante pour eux et le Français est un peu « frileux », il reste classique dans ses choix sans chercher à découvrir. La publicité faite par la Turquie commence à porter ses fruits. »
Il reste enfin le problème de l'aérien avec l'absence de vols réguliers directs vers Antalya au départ de la France. Il faut passer par Istanbul. Seuls les vols charters sont directs, une solution souvent refusée par les golfeurs.
Et d'espérer que Turkish Airlines proposera bientôt des vols directs au départ de Paris. Elan Voyages ne communique jamais ses chiffres de ventes. Il confirme tout de même que sur la Turquie sa progression est régulière. Elle serait même de l'ordre de + 25 % par an.
« Tous les joueurs, quel que soit leur niveau de jeu, trouveront de quoi satisfaire leur passion, rappelle Jean-Pierre Pochon, directeur de Grand Elan Voyages, spécialiste golf.
Les hôtels le plus souvent situés en bord de mer offrent, à classement identique, des prestations qui n’ont rien à envier et qui sont même supérieures à celles de la plupart des autres hôtels du Bassin Méditerranéen.
Le prix moyen des séjours est intéressant, moins élevé qu'au Maroc, qu'au Portugal ou qu'en Espagne. Pour moins de 1 000 euros on peut avoir un séjour en 5* all inclusive avec vols réguliers et 3 green fees sur 3 parcours différents » ajoute-t-il.
Certains parcours sont signés par les meilleurs architectes (Peter Dye, David Jones ou Michel Gayon) ou de grands joueurs comme Nick Faldo ou Colin Montgomerie. Le spécialiste l'affirme : la Turquie deviendra très vite la première destination « golf » du Bassin Méditerranéen surtout si, comme prévu, l'offre sur Bodrum se développe également.
Choix des parcours - pour beaucoup intégrés dans de superbes resorts - gentillesse de l'accueil turc, propreté générale du pays « par rapport à certains pays du Bassin Méditerranéen », euro accepté partout et développement des centres de thalassothérapie intégrés dans les hôtels qui donnent aux non golfeurs une activité des plus agréables... font partie de l'argumentaire du spécialiste du golf.
Quelques regrets toutefois : « L'information n'est pas encore suffisante. Peu de golfeurs savent que cette destination est particulièrement intéressante pour eux et le Français est un peu « frileux », il reste classique dans ses choix sans chercher à découvrir. La publicité faite par la Turquie commence à porter ses fruits. »
Il reste enfin le problème de l'aérien avec l'absence de vols réguliers directs vers Antalya au départ de la France. Il faut passer par Istanbul. Seuls les vols charters sont directs, une solution souvent refusée par les golfeurs.
Et d'espérer que Turkish Airlines proposera bientôt des vols directs au départ de Paris. Elan Voyages ne communique jamais ses chiffres de ventes. Il confirme tout de même que sur la Turquie sa progression est régulière. Elle serait même de l'ordre de + 25 % par an.
Les conseils et bonnes adresses de Jean-Pierre Pochon
« Les hôtels Gloria et notamment le Gloria Golf Resort, pour ses prestations et le cadre mais surtout pour son ambiance « so british and golfy ».
Le Papillon AYSHA avec son accueil plus francophone et qui donne entière satisfaction à nos clients notamment pour les groupes. Parmi les anciens parcours je conseille le National et parmi les nouveaux le Montgomerie et le Cornelia Faldo. ».
Le Papillon AYSHA avec son accueil plus francophone et qui donne entière satisfaction à nos clients notamment pour les groupes. Parmi les anciens parcours je conseille le National et parmi les nouveaux le Montgomerie et le Cornelia Faldo. ».
Didier Trock : pour les amateurs de beaux voyages culturels
« Des accompagnateurs conférenciers cultivés et indépendants d'esprit ». Considéré comme un must en matière d'organisateur de beaux voyages culturels Clio est né en 1976 comme association loi 1901 en programmant la Méditerranée orientale en général, la Turquie en particulier.
Depuis cette période l'entreprise qui obtenait sa licence d'agence de voyage en 1985, a toujours réservé à la Turquie une place importante dans sa programmation.
« Ce pays recèle un patrimoine archéologique et artistique tout a fait exceptionnel qui en fait une destination privilégiée pour les amateurs de beaux voyages culturels » justifie Didier Trock, directeur.
Clio a éliminé tout balnéaire de son offre. A l'exception d'un séjour à Istanbul, il ne programme que des circuits classiques ou thématiques. Il se différencie par la qualité et le savoir de ses guides.
Conférenciers historiens et archéologues ils accompagnent les groupes (23 personnes maximum) dès le départ de Paris et sont « la » signature du voyagiste.
« En raison de la complexité de l’histoire de l’Asie Mineure et aux conflits toujours sous-jacents qui opposent les Turcs et leurs voisins, il est préférable que celui qui vous guidera à travers les arcanes de cette région puisse le faire en toute indépendance d’esprit et en dehors de tout schéma stéréotypé » explique Didier Trock.
« Après un ralentissement nous enregistrons depuis 4 ou 5 ans une forte reprise » affirme de son côté Valérie Sobotka. Un best seller ? « Notre circuit la Turquie Orientale. Il est de nouveau possible aujourd’hui de partir sans risque à la découverte des régions orientales de la Turquie.
Ce voyage permet de découvrir des régions encore méconnues aux confins de l'Arménie, de la Géorgie, de la Mer Noire. Il est le plus passionnant des voyages Clio ».
Un best seller chez Clio se traduit par un trafic bien modeste au vu des généralistes mais il a l'intérêt d'ouvrir des voies.
Depuis cette période l'entreprise qui obtenait sa licence d'agence de voyage en 1985, a toujours réservé à la Turquie une place importante dans sa programmation.
« Ce pays recèle un patrimoine archéologique et artistique tout a fait exceptionnel qui en fait une destination privilégiée pour les amateurs de beaux voyages culturels » justifie Didier Trock, directeur.
Clio a éliminé tout balnéaire de son offre. A l'exception d'un séjour à Istanbul, il ne programme que des circuits classiques ou thématiques. Il se différencie par la qualité et le savoir de ses guides.
Conférenciers historiens et archéologues ils accompagnent les groupes (23 personnes maximum) dès le départ de Paris et sont « la » signature du voyagiste.
« En raison de la complexité de l’histoire de l’Asie Mineure et aux conflits toujours sous-jacents qui opposent les Turcs et leurs voisins, il est préférable que celui qui vous guidera à travers les arcanes de cette région puisse le faire en toute indépendance d’esprit et en dehors de tout schéma stéréotypé » explique Didier Trock.
« Après un ralentissement nous enregistrons depuis 4 ou 5 ans une forte reprise » affirme de son côté Valérie Sobotka. Un best seller ? « Notre circuit la Turquie Orientale. Il est de nouveau possible aujourd’hui de partir sans risque à la découverte des régions orientales de la Turquie.
Ce voyage permet de découvrir des régions encore méconnues aux confins de l'Arménie, de la Géorgie, de la Mer Noire. Il est le plus passionnant des voyages Clio ».
Un best seller chez Clio se traduit par un trafic bien modeste au vu des généralistes mais il a l'intérêt d'ouvrir des voies.
Le conseil et le coup de coeur de Valérie Sobotka
« La Turquie est un territoire très vaste et très riche au plan culturel. Il n’est pas possible d’envisager sérieusement sa visite en un seul voyage. Faire notre circuit « Guerre de Troie » en visitant Ephèse et Pergame avec Jacques des Courtils, professeur d'archéologie à l'université de Bordeaux est un moment exceptionnel. »
Marmara la puissance d'achat d'un major « Faire aimer la Turquie au plus grand nombre de Français »
Marmara doit à la Turquie son envol sur le marché français. C'est en effet avec cette destination que Hervé Vighier a développé son modèle économique. La Turquie c'est la jeunesse de ce patron discret.
Il y est né par hasard, y a fait ses études au fameux Lycée Saint Joseph située sur la rive asiatique. Il ne s'en est jamais détaché. Il avait commencé sa carrière comme banquier avant de reprendre Marmara, au départ un simple réceptif turc. « Je voulais faire aimer la Turquie aux Français » dit-il aujourd'hui. On connaît la suite...
La Turquie représentait en 2008 19 % de la clientèle de Marmara. Toujours en 2008, la part de marché « Turquie » de Marmara flirtait avec les 70 % sur l'activité « forfaits ».
Selon le Baromètre annuel 2008 du CETO le trafic TO vers la Turquie (forfaits + vols secs) représentait 302 000 clients. Marmara en avait fait voyager 206 000 (le numéro 2 ne dépassait pas les 30 000) et tout laisse à penser que ce taux sera maintenu en 2009.
L'essentiel des ventes va aux séjours balnéaires (80 %), les circuits et croisières en goélettes représentent 15 % et les escapades à Istanbul, programmées essentiellement durant la saison automne/hiver, 5 %.
La force de Marmara ce sont ses affrètements aériens et ses engagements hôtelier maintenus, en quasi totalité, toute l'année. Il met en effet en place 39 vols affrétés par semaine à destination de la Turquie dont 60 % au départ des régions. Il est présent sur les 4 aéroports majeurs du pays : Antalya, Istanbul, Bodrum (avec sa plateforme de goélette) et Izmir
Il s'engage aussi sur le terrestre : 5 hôtels et Clubs Marmara, 6 hôtels 5* prestige, 5 circuits culturels, 3 croisières en Goélettes et divers hôtels 3 et 4* sur lesquels il prend des risques ce qui lui permet de proposer des tarifs en phase avec la crise c'est à dire attractifs et bien en deçà de ses concurrents.
« Notre antériorité, notre notoriété dans ce pays, font que nous travaillons avec les meilleurs guides, animateurs, réceptifs francophones disponibles. Ils ont, avec nous, la garantie de travailler toute l'année et chaque année » ajoute Florian Vighier, directeur du Tour Operating.
Il y est né par hasard, y a fait ses études au fameux Lycée Saint Joseph située sur la rive asiatique. Il ne s'en est jamais détaché. Il avait commencé sa carrière comme banquier avant de reprendre Marmara, au départ un simple réceptif turc. « Je voulais faire aimer la Turquie aux Français » dit-il aujourd'hui. On connaît la suite...
La Turquie représentait en 2008 19 % de la clientèle de Marmara. Toujours en 2008, la part de marché « Turquie » de Marmara flirtait avec les 70 % sur l'activité « forfaits ».
Selon le Baromètre annuel 2008 du CETO le trafic TO vers la Turquie (forfaits + vols secs) représentait 302 000 clients. Marmara en avait fait voyager 206 000 (le numéro 2 ne dépassait pas les 30 000) et tout laisse à penser que ce taux sera maintenu en 2009.
L'essentiel des ventes va aux séjours balnéaires (80 %), les circuits et croisières en goélettes représentent 15 % et les escapades à Istanbul, programmées essentiellement durant la saison automne/hiver, 5 %.
La force de Marmara ce sont ses affrètements aériens et ses engagements hôtelier maintenus, en quasi totalité, toute l'année. Il met en effet en place 39 vols affrétés par semaine à destination de la Turquie dont 60 % au départ des régions. Il est présent sur les 4 aéroports majeurs du pays : Antalya, Istanbul, Bodrum (avec sa plateforme de goélette) et Izmir
Il s'engage aussi sur le terrestre : 5 hôtels et Clubs Marmara, 6 hôtels 5* prestige, 5 circuits culturels, 3 croisières en Goélettes et divers hôtels 3 et 4* sur lesquels il prend des risques ce qui lui permet de proposer des tarifs en phase avec la crise c'est à dire attractifs et bien en deçà de ses concurrents.
« Notre antériorité, notre notoriété dans ce pays, font que nous travaillons avec les meilleurs guides, animateurs, réceptifs francophones disponibles. Ils ont, avec nous, la garantie de travailler toute l'année et chaque année » ajoute Florian Vighier, directeur du Tour Operating.
Le conseil et le coup de coeur Florian Vighier
« Notre Club Marmara Kimeros, un magnifique 5* situé dans un cadre inoubliable entre mer et et montagne à Antalya. Il est de plus le meilleur exemple de l'excellent rapport qualité /prix de Marmara ».