L'éruption du 18 décembre 2023 en Islande est terminée, mais d'autres éruptions pourraient avoir lieu Depositphotos.com Auteur cleop6atra
L'Islande terre de glace est aussi une terre de feu !
Après l'éruption volcanique de Fagradalsfjall en juillet dernier, le pays a fait face à une nouvelle fois à éruption volcanique au sud de Reykjavik, la capitale de l’Islande le 18 décembre 2023.
Situé sur la péninsule de Reykjanes, elle a commencé à quelques kilomètres au nord de Grindavik. Une fissure géante de 3 km s'était alors formé et la population de zone a été évacué.
Le trafic aérien à destination et en provenance de l’Islande a toujours fonctionné normalement.
Après l'éruption volcanique de Fagradalsfjall en juillet dernier, le pays a fait face à une nouvelle fois à éruption volcanique au sud de Reykjavik, la capitale de l’Islande le 18 décembre 2023.
Situé sur la péninsule de Reykjanes, elle a commencé à quelques kilomètres au nord de Grindavik. Une fissure géante de 3 km s'était alors formé et la population de zone a été évacué.
Le trafic aérien à destination et en provenance de l’Islande a toujours fonctionné normalement.
Islande : l'éruption considérée comme terminée
Désormais plus de 3 semaines, les services météorologiques islandais ont annoncé que l'éruption volcanique qui s'est déclenchée le 18 décembre est considérée comme "terminée".
Le site "Conseils aux Voyageurs" du Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères précise : "Pour autant, l’activité sismique reste significative, et les spécialistes n’excluent pas une nouvelle éruption, qui, selon certains scénarios, pourrait être plus proche de la ville de Grindavik. La circulation dans la région fait toujours l’objet de restrictions."
Compte tenu de cette mise en garde, le MEAE conseille de "continuer à éviter la zone concernée, et suivre rigoureusement les recommandations et instructions des autorités islandaises compétentes". Plusieurs sites peuvent être consultés énumérés par le Quai d'Orsay.
Ce dernier recommande fortement aux Français en déplacement en Islande de s‘inscrire sur le Fil d’Ariane.
Le site "Conseils aux Voyageurs" du Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères précise : "Pour autant, l’activité sismique reste significative, et les spécialistes n’excluent pas une nouvelle éruption, qui, selon certains scénarios, pourrait être plus proche de la ville de Grindavik. La circulation dans la région fait toujours l’objet de restrictions."
Compte tenu de cette mise en garde, le MEAE conseille de "continuer à éviter la zone concernée, et suivre rigoureusement les recommandations et instructions des autorités islandaises compétentes". Plusieurs sites peuvent être consultés énumérés par le Quai d'Orsay.
Ce dernier recommande fortement aux Français en déplacement en Islande de s‘inscrire sur le Fil d’Ariane.
Des éruptions qui restent dans les mémoires
Les éruptions volcaniques sont bien évidement suivies de près par les autorités locales mais également par tous les professionnels du tourisme qui se souviennent du réveil d' Eyjafjallajökull en 2010.
Cette éruption, qui a duré un mois, reste dans les mémoires après paralysée une grande partie du trafic aérien européen.
D'autres éruptions volcaniques en Islande ont également marqué les esprits. D'après VulcanoDiscovery.com, l'éruption du volcan Grímsvötn en 2011 a été la plus importante depuis celle du Laki en 1783, projetant des cendres à plus de 10 km d'altitude.
En 2014, le volcan Bárðarbunga a connu une éruption qui a duré six mois, la plus longue enregistrée en Islande depuis celle du Laki en 1783, avec des cendres éjectées jusqu'à 8 km d'altitude.
Cette éruption, qui a duré un mois, reste dans les mémoires après paralysée une grande partie du trafic aérien européen.
D'autres éruptions volcaniques en Islande ont également marqué les esprits. D'après VulcanoDiscovery.com, l'éruption du volcan Grímsvötn en 2011 a été la plus importante depuis celle du Laki en 1783, projetant des cendres à plus de 10 km d'altitude.
En 2014, le volcan Bárðarbunga a connu une éruption qui a duré six mois, la plus longue enregistrée en Islande depuis celle du Laki en 1783, avec des cendres éjectées jusqu'à 8 km d'altitude.