Impossible de manquer la Jordanie lors du dernier salon Destinations Nature. Les journalistes et TO ont été accueillis dans une grande tente, semblable à celle qu’utilisent les hommes du désert.
Quant aux visiteurs, ils étaient attirés sur son stand par de superbes et immenses clichés de Petra et la Mer Morte.
Mais au-delà de ses trésors culturels, déjà très connus par les voyageurs, la Jordanie était surtout présente pour son offre nature très variée, écologique et solidaire.
Peu de visiteurs savent par exemple que le pays possède de verdoyantes forêts au nord, propices à la randonnée. Sept réserves naturelles sont disséminées à travers le territoire, où l’on peut admirer une grande biodiversité.
Quant aux visiteurs, ils étaient attirés sur son stand par de superbes et immenses clichés de Petra et la Mer Morte.
Mais au-delà de ses trésors culturels, déjà très connus par les voyageurs, la Jordanie était surtout présente pour son offre nature très variée, écologique et solidaire.
Peu de visiteurs savent par exemple que le pays possède de verdoyantes forêts au nord, propices à la randonnée. Sept réserves naturelles sont disséminées à travers le territoire, où l’on peut admirer une grande biodiversité.
Une population intégrée au développement
Les séjours nature sont une niche sur laquelle le royaume tente de se positionner depuis près de 15 ans. Preuve de cet engagement, la RSCN- society, un organisme indépendant qui gère 6 des 7 parcs nationaux depuis 1966.
Son slogan est révélateur de sa politique de développement local : Helping Nature, Helping people. (Aider la nature, aider les populations). En effet, les réserves se trouvent sur le territoire de populations très pauvres.
Pour les aider, une partie des revenus touristiques leur sont directement reversés. Les femmes sont par exemple employées à la réalisation d’artisanat traditionnel, revendu ensuite aux visiteurs.
On peut facilement mesurer l’impact de cette politique. La réserve de Dona par exemple emploie 140 personnes et fait vivre indirectement 900 individus.
Coté hébergements, l’idée de préservation de l’environnement commence à faire son chemin. On peut citer en exemple l’ecolodge Feynan, situé dans la réserve de Dana. Totalement isolé du monde, l’établissement éclaire ses 26 chambres à la bougie et le reste de l’électricité est fournie par le solaire. L’eau, qui provient d’une source proche, est totalement recyclée.
Un bel exemple de préservation des ressources naturelles, quand on sait que la Jordanie est le 4e pays le plus pauvre en ressources hydrique au monde.
Son slogan est révélateur de sa politique de développement local : Helping Nature, Helping people. (Aider la nature, aider les populations). En effet, les réserves se trouvent sur le territoire de populations très pauvres.
Pour les aider, une partie des revenus touristiques leur sont directement reversés. Les femmes sont par exemple employées à la réalisation d’artisanat traditionnel, revendu ensuite aux visiteurs.
On peut facilement mesurer l’impact de cette politique. La réserve de Dona par exemple emploie 140 personnes et fait vivre indirectement 900 individus.
Coté hébergements, l’idée de préservation de l’environnement commence à faire son chemin. On peut citer en exemple l’ecolodge Feynan, situé dans la réserve de Dana. Totalement isolé du monde, l’établissement éclaire ses 26 chambres à la bougie et le reste de l’électricité est fournie par le solaire. L’eau, qui provient d’une source proche, est totalement recyclée.
Un bel exemple de préservation des ressources naturelles, quand on sait que la Jordanie est le 4e pays le plus pauvre en ressources hydrique au monde.