Ville de 480 000 habitants de la préfecture d'Okayama, Kurashiki se situe à mi-chemin entre Hiroshima et Osaka. On y accède facilement avec un train de banlieue depuis Okayama, elle-même desservie par le Shinkansen (train à grande vitesse japonais).
Les affaires culturelles du pays ont donné la certification « Japan Heritage » à la ville. C'est donc bien ici que l'on peut comprendre une partie de l'histoire, de la culture et des traditions Nippones.
Grâce à sa situation géographique et son accès facile par la rivière Takahashi, la ville est vite devenue un carrefour du commerce maritime. La cité prospéra sous l'ère Edo (1603-1868) lorsque de nombreux marchands s'y sont installés.
Les affaires culturelles du pays ont donné la certification « Japan Heritage » à la ville. C'est donc bien ici que l'on peut comprendre une partie de l'histoire, de la culture et des traditions Nippones.
Grâce à sa situation géographique et son accès facile par la rivière Takahashi, la ville est vite devenue un carrefour du commerce maritime. La cité prospéra sous l'ère Edo (1603-1868) lorsque de nombreux marchands s'y sont installés.
Kurashiki Bikan : centre historique, culturel et point d'attraction touristique majeur.
La rivière Kurashiki fut quand à elle utilisée comme canal, et beaucoup de commerçants ont installé leur négoce et leur entrepôt le long de ses rives. Les rues furent pavées pour faciliter l’accès aux charrettes.
Aujourd'hui il est plaisant de déambuler le long des murs blancs des maisons de riches marchands ou de se laisser flotter à l'ombre des sols pleureurs. L'atmosphère d'antan pousse souvent locaux et touristes à porter Kimonos ou Yukatas pour le plaisir de tous.
Le quartier regorge de sites à visiter comme Ivy Square, d'anciens entrepôts de coton brut, le jardin Shinkei-en ou les résidences de la famille Ôhashi et de la famille Inoue par exemple.
Pour plonger un peu plus dans son histoire, sa culture, le quartier dispose de nombreux musées : le musée des merveilles Momotarô, le musée des jouets japonais, le musée d'art populaire, le musée archéologique ou encore le musée Ohara consacré à l' art occidental et à l' art moderne.
Pour une immersion totale, certains établissements comme le Ryokan, situé dans la maison d'un ancien marchand de sucre, proposent des repas et hébergements dans un cadre hors du temps.
Aujourd'hui il est plaisant de déambuler le long des murs blancs des maisons de riches marchands ou de se laisser flotter à l'ombre des sols pleureurs. L'atmosphère d'antan pousse souvent locaux et touristes à porter Kimonos ou Yukatas pour le plaisir de tous.
Le quartier regorge de sites à visiter comme Ivy Square, d'anciens entrepôts de coton brut, le jardin Shinkei-en ou les résidences de la famille Ôhashi et de la famille Inoue par exemple.
Pour plonger un peu plus dans son histoire, sa culture, le quartier dispose de nombreux musées : le musée des merveilles Momotarô, le musée des jouets japonais, le musée d'art populaire, le musée archéologique ou encore le musée Ohara consacré à l' art occidental et à l' art moderne.
Pour une immersion totale, certains établissements comme le Ryokan, situé dans la maison d'un ancien marchand de sucre, proposent des repas et hébergements dans un cadre hors du temps.
Kojima : spécialité textile, capitale du jean
Sous l'ère Edo les autorités décident de gagner de la surface cultivable sur la mer intérieure de Seto. Ces nouvelles terres s'avèrent beaucoup trop salées pour la culture du riz et très vite c'est le coton, plante bien plus résistante à ce type de sol qui la remplacera. La région devient le principal producteur du pays et se spécialise donc dans sa transformation.
Kojima localité située au sud de l'agglomération devient progressivement connue au niveau national, pour la fabrication des chaussettes traditionnelles Tabi ainsi que des cordes pour les manches de Katana, durant les ères Meiji et Taisho (1868-1926).
Puis durant l'ère Shōwa (1926-1989) c'est au tour de l'uniforme d'écolier de remplir les carnets de commandes des manufacturiers. La demande est telle que Kojima est surnommée « La ville des uniformes d'écoliers ». Dans les années 60, la production commence à décliner. En 1965 la Maruo Clothing Company (aujourd'hui Big John) lance le premier jean à destination des particuliers au Japon sous la marque Canton. Durant les années qui suivirent, les industriels du textile changèrent leurs lignes de production pour passer des uniformes aux jeans, et Kojima changea également de surnom, pour devenir « La ville des jeans ».
Kojima localité située au sud de l'agglomération devient progressivement connue au niveau national, pour la fabrication des chaussettes traditionnelles Tabi ainsi que des cordes pour les manches de Katana, durant les ères Meiji et Taisho (1868-1926).
Puis durant l'ère Shōwa (1926-1989) c'est au tour de l'uniforme d'écolier de remplir les carnets de commandes des manufacturiers. La demande est telle que Kojima est surnommée « La ville des uniformes d'écoliers ». Dans les années 60, la production commence à décliner. En 1965 la Maruo Clothing Company (aujourd'hui Big John) lance le premier jean à destination des particuliers au Japon sous la marque Canton. Durant les années qui suivirent, les industriels du textile changèrent leurs lignes de production pour passer des uniformes aux jeans, et Kojima changea également de surnom, pour devenir « La ville des jeans ».