© Azamara Cruises
Pour se distinguer sur leur marché, les croisiéristes ne peuvent pas compter sur une classification ou des normes telles qu’il en existe parmi les établissements hôteliers.
« Ce qui nous oblige à être très clairs sur notre positionnement et ce qui nous rend différents » explique Emmanuel Joly, directeur de Cruisepro, l’Agent Général d’Azamara en France.
Des croisières de style «hôtel-boutique »
Pour se distinguer parmi les acteurs de la croisière de luxe, Azamara se positionne dans une catégorie de croisières de style «hôtel-boutique», avec des navires pouvant accueillir moins de 700 passagers, et se spécialise dans «l’immersion dans la destination ». Une recette simple mais qui marche et qui fait de plus en plus d’adeptes, aussi sur le marché Français.
Le croisiériste, vendu il y a quelques années par le Groupe Royal Caribbean au fonds d’investissement new-yorkais Sycamore Partners, compte une flotte de quatre navires identiques. L’Azamara Onward est le dernier à avoir bénéficié d’un lifting d’ampleur. Pour sortir « comme neuf » l’Azamara Onward des chantiers en 2022, 55 millions de dollars d’investissement auront été nécessaires, et le mettre au niveau de ses « sister ships », le Quest, le Journey et le Pursuit. Passer chaque navire, « en cale sèche tous les cinq ans à peu près, nous permet de maintenir nos standards de qualité et une vraie homogénéité au sein de la flotte, mais aussi de continuer à investir sur les enjeux les plus importants comme la protection de l’environnement » précise Emmanuel Joly.
Une flotte et des propositions qui séduisent une clientèle en provenance majoritairement d’Amérique du Nord, avec une part croissante d’européens. L’offre à bord, piscine, spa, salle de fitness, bars et cinq restaurants, séduit principalement « des baby-boomers toujours actifs », en quête de croisières « relax » mais toujours prêts à découvrir en profondeur les destinations proposées.
Le croisiériste, vendu il y a quelques années par le Groupe Royal Caribbean au fonds d’investissement new-yorkais Sycamore Partners, compte une flotte de quatre navires identiques. L’Azamara Onward est le dernier à avoir bénéficié d’un lifting d’ampleur. Pour sortir « comme neuf » l’Azamara Onward des chantiers en 2022, 55 millions de dollars d’investissement auront été nécessaires, et le mettre au niveau de ses « sister ships », le Quest, le Journey et le Pursuit. Passer chaque navire, « en cale sèche tous les cinq ans à peu près, nous permet de maintenir nos standards de qualité et une vraie homogénéité au sein de la flotte, mais aussi de continuer à investir sur les enjeux les plus importants comme la protection de l’environnement » précise Emmanuel Joly.
Une flotte et des propositions qui séduisent une clientèle en provenance majoritairement d’Amérique du Nord, avec une part croissante d’européens. L’offre à bord, piscine, spa, salle de fitness, bars et cinq restaurants, séduit principalement « des baby-boomers toujours actifs », en quête de croisières « relax » mais toujours prêts à découvrir en profondeur les destinations proposées.
© Azamara Cruises
Des escales repensées
Azamara marque sa différence par sa spécialisation dans une expérience immersive. Azamara inclut dans chacune de ses offres les standards attendus par les voyageurs, comme la pension complète de qualité gastronomique, les boissons 24/7, les frais de service et pourboires, le service de blanchisserie, « mais tout cela n’est pas vraiment différenciant dans la croisière de luxe. Nous avons fait le choix de parier simplement sur l’immersion dans la destination comme attribut différentiel par rapport à la concurrence » précise Emmanuel Joly.
Cette dimension immersive fait donc la force du croisiériste, et c’est le premier critère de choix des voyageurs lorsqu’ils partent avec la compagnie, « personne ne travaille la destination comme Azamara ». Et, de poursuivre « l’offre d’itinéraires et expériences uniques est le point différentiel principal entre Azamara et ses principaux concurrents, et c’est pour cela que nous allons continuer à appuyer cette différentiation par la Destination ».
Des itinéraires sans cesse renouvelés, jamais identiques, des escales « dans des petits ports très peu prisés par le reste de l’industrie de la croisière, que nous choisissons minutieusement pour la beauté des sites, ou pour leur intérêt culturel et historique » sont ainsi les repères d’une croisière Azamara.
Autre axe stratégique pour se démarquer, le croisiériste mise sur « des temps d’escale allongés, des nuitées - « overnights », donc deux jours sur la même destination - et un nouveau concept d’escales à durée incrémentée (extended destination days). Les escales à durée incrémentée sont définies comme étant les escales avec plus de 10 heures au port ». Une stratégie qui fait écho aux attentes des voyageurs en quête de « slow travel ». Offrir plus de temps au sein d’une destination permet de rencontrer des locaux, de s’aventurer plus en profondeur lors d’une excursion ou de simplement flâner. Azamara propose enfin des croisières ciblées, « intensives », « où sur une même croisière, nous allons découvrir en profondeur un seul et même pays ». De nouveau une recette qui fait succès comme en témoignent les résultats sur les croisières intensives au Japon, en Afrique du Sud, ou plus près de chez nous, en Grèce où Azamara propose des escales dans des ports de toute beauté comme Spetses, Patmos, Paros, Chania ou Agios Nikolaos.
Cette dimension immersive fait donc la force du croisiériste, et c’est le premier critère de choix des voyageurs lorsqu’ils partent avec la compagnie, « personne ne travaille la destination comme Azamara ». Et, de poursuivre « l’offre d’itinéraires et expériences uniques est le point différentiel principal entre Azamara et ses principaux concurrents, et c’est pour cela que nous allons continuer à appuyer cette différentiation par la Destination ».
Des itinéraires sans cesse renouvelés, jamais identiques, des escales « dans des petits ports très peu prisés par le reste de l’industrie de la croisière, que nous choisissons minutieusement pour la beauté des sites, ou pour leur intérêt culturel et historique » sont ainsi les repères d’une croisière Azamara.
Autre axe stratégique pour se démarquer, le croisiériste mise sur « des temps d’escale allongés, des nuitées - « overnights », donc deux jours sur la même destination - et un nouveau concept d’escales à durée incrémentée (extended destination days). Les escales à durée incrémentée sont définies comme étant les escales avec plus de 10 heures au port ». Une stratégie qui fait écho aux attentes des voyageurs en quête de « slow travel ». Offrir plus de temps au sein d’une destination permet de rencontrer des locaux, de s’aventurer plus en profondeur lors d’une excursion ou de simplement flâner. Azamara propose enfin des croisières ciblées, « intensives », « où sur une même croisière, nous allons découvrir en profondeur un seul et même pays ». De nouveau une recette qui fait succès comme en témoignent les résultats sur les croisières intensives au Japon, en Afrique du Sud, ou plus près de chez nous, en Grèce où Azamara propose des escales dans des ports de toute beauté comme Spetses, Patmos, Paros, Chania ou Agios Nikolaos.
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Des voyages éducatifs et immersifs
À ces circuits différents et escales prolongées, Azamara ajoute des « évènements culturels exclusifs, Azamazing evenings » dans toutes ses croisières. Les voyageurs jouissent alors d’un privilège au cœur de la destination : « nous privatisons un musée, un site archéologique, un théâtre, etc., et nous y invitons tous nos passagers pour un spectacle inédit et toujours aux couleurs locales ». Par exemple cet été lors des croisières intensives en Méditerranée Orientale, « nous avons proposé des concerts philarmoniques privatisés pour nos passagers dans le Grand Théâtre Odéon de l’Ancienne Ephèse », seuls au coucher du soleil dans les ruines de ce magnifique site gréco-romain, certainement une expérience unique qu’Azamara marque de son sceau.
« Nous proposons une sélection d’excursions dessinées en exclusivité avec National Geographic, guidées par des professionnels formés par National Geographic et qui respectent les critères du Conseil mondial du tourisme durable » ajoute Emmanuel Joly. Un partenariat qui offre aux passagers en quête de sens.
« Par exemple, lors de notre escale à Cozumel au Mexique, un biologiste marin et partenaire fondateur du programme de restauration des coraux de Cozumel emmènera nos passagers dans une aventure éducative à travers les récifs coralliens et les mangroves de l'île. Les passagers feront de la plongée libre pour admirer la beauté des structures coralliennes colorées et auront l'occasion de contribuer à l'écosystème côtier en plantant des graines dans les bassins de marée de la mangrove.
L’éducation et la meilleure compréhension de la vie des communautés, la contribution pour un tourisme durable et respectueux, font partie de ces valeurs qu’Azamara veut véhiculer à ses clients au travers de croisières immersives » détaille le directeur.
« Nous proposons une sélection d’excursions dessinées en exclusivité avec National Geographic, guidées par des professionnels formés par National Geographic et qui respectent les critères du Conseil mondial du tourisme durable » ajoute Emmanuel Joly. Un partenariat qui offre aux passagers en quête de sens.
« Par exemple, lors de notre escale à Cozumel au Mexique, un biologiste marin et partenaire fondateur du programme de restauration des coraux de Cozumel emmènera nos passagers dans une aventure éducative à travers les récifs coralliens et les mangroves de l'île. Les passagers feront de la plongée libre pour admirer la beauté des structures coralliennes colorées et auront l'occasion de contribuer à l'écosystème côtier en plantant des graines dans les bassins de marée de la mangrove.
L’éducation et la meilleure compréhension de la vie des communautés, la contribution pour un tourisme durable et respectueux, font partie de ces valeurs qu’Azamara veut véhiculer à ses clients au travers de croisières immersives » détaille le directeur.
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