Après une première étude sur la faisabilité d'une aérogare low cost, la plate forme niçoise a changé son fusil d'épaule. « Cette solution nous est apparue préférable à celle de bâtir un terminal low cost alors que notre capacité en terminal a été augmentée il y a un an.
Ce service à la carte a été étudié en concertation avec les compagnies» précise Hervé de Place, directeur de l’aéroport niçois. Il s'agirait d'une tarification incitative pour des services moins élaborés, bien sûr, que pour les compagnies traditionnelles.
« Cette formule pourrait nous convenir, car elle respecte l’égalité de traitement auquel nous sommes tous attachés, répond Michel Pognonec, directeur régional d’Air France qui n’exclut pas que la compagnie l’utilise pour certains de ses vols et notamment les transversales pour lesquels la rentabilité n’est pas assurée.»
Destinations non desservies : réduction de la taxe d’atterrissage
L’approche de l’aéroport qui répond aux aspirations des low cost sans léser les autres compagnies semble donc être la bonne. Par ailleurs, afin de faciliter la création de nouvelles lignes au départ de Nice vers des destinations européennes non desservies (comme vers les pays de l’Est), l’aéroport proposera une réduction de la taxe d’atterrissage sur une période d’un à deux ans.
Une façon d’aider les compagnies à mettre en place une ligne nouvelle. Cette tarification sera également offerte aux compagnies qui mettront en service un aller retour dans la journée sur certaines destinations européennes
(*) plus de 3 millions sur les 9 millions de passagers qui y transitent chaque année
Ce service à la carte a été étudié en concertation avec les compagnies» précise Hervé de Place, directeur de l’aéroport niçois. Il s'agirait d'une tarification incitative pour des services moins élaborés, bien sûr, que pour les compagnies traditionnelles.
« Cette formule pourrait nous convenir, car elle respecte l’égalité de traitement auquel nous sommes tous attachés, répond Michel Pognonec, directeur régional d’Air France qui n’exclut pas que la compagnie l’utilise pour certains de ses vols et notamment les transversales pour lesquels la rentabilité n’est pas assurée.»
Destinations non desservies : réduction de la taxe d’atterrissage
L’approche de l’aéroport qui répond aux aspirations des low cost sans léser les autres compagnies semble donc être la bonne. Par ailleurs, afin de faciliter la création de nouvelles lignes au départ de Nice vers des destinations européennes non desservies (comme vers les pays de l’Est), l’aéroport proposera une réduction de la taxe d’atterrissage sur une période d’un à deux ans.
Une façon d’aider les compagnies à mettre en place une ligne nouvelle. Cette tarification sera également offerte aux compagnies qui mettront en service un aller retour dans la journée sur certaines destinations européennes
(*) plus de 3 millions sur les 9 millions de passagers qui y transitent chaque année