A partir du 1er janvier 2020, Airbnb va devoir transmettre aux villes les données sur le montant de la taxe de séjour, ville par ville.
N'attendant pas la transmission détaillée de son activité, la plateforme publie déjà quelques résultats, allant dans le sens de sa bonne foi.
"Airbnb promeut un développement responsable et respectueux des règles locales pour les locations meublées touristiques," explique le communiqué de presse.
Si la communication du géant américain s'appuie justement sur cette vision du tourisme durable, contestée elle-même par l'UMIH.
"Airbnb a entraîné un nouveau système, car l'achat immobilier est devenu une opportunité de gagner, sauf que cela ne profite pas aux populations locales," précise Laurent Duc, le patron de la branche hôtelière de l'UMIH.
En effet, selon le responsable ce ne sont plus les habitants qui louent leurs appartements mais des SCI détenues par des capitaux parfois étrangers.
Voici l'exemple d'une guerre de lobby.
Toutefois selon Airbnb, les pratiques contestées par les autorités se résorbent.
N'attendant pas la transmission détaillée de son activité, la plateforme publie déjà quelques résultats, allant dans le sens de sa bonne foi.
"Airbnb promeut un développement responsable et respectueux des règles locales pour les locations meublées touristiques," explique le communiqué de presse.
Si la communication du géant américain s'appuie justement sur cette vision du tourisme durable, contestée elle-même par l'UMIH.
"Airbnb a entraîné un nouveau système, car l'achat immobilier est devenu une opportunité de gagner, sauf que cela ne profite pas aux populations locales," précise Laurent Duc, le patron de la branche hôtelière de l'UMIH.
En effet, selon le responsable ce ne sont plus les habitants qui louent leurs appartements mais des SCI détenues par des capitaux parfois étrangers.
Voici l'exemple d'une guerre de lobby.
Toutefois selon Airbnb, les pratiques contestées par les autorités se résorbent.
Ces logements hors la loi ne représenteraient que 0,3% du parc de logements parisiens
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Ainsi, les premières conclusions des données extraites par le géant américain démontrent que moins de 10% logement entier sur 10 sur Airbnb à Paris a été loué plus de 120 jours sur la plateforme.
Mieux "leur nombre a diminué de 40% à Paris depuis la mise en oeuvre du blocage automatique des nuitées début 2019," explique le communiqué de presse.
Ces logements hors la loi ne représenteraient que 0,3% du parc des logements parisiens et 75% de cette partie sont situés hors du centre de Paris.
En contradiction avec les arguments avancés par les anti-Airbnb.
Pire toujours à Paris, 2% des logements entiers loués sur Airbnb en 2019 ont été loués à l’année, soit une proportion équivalente à moins de 0,1% du parc de logements parisiens.
Emmanuel Marill, directeur d’Airbnb France, déclare :
« Nous souhaitons travailler avec les autorités afin de promouvoir une pratique responsable et durable de la location meublée touristique.
Les données que nous publions aujourd’hui illustrent les bons résultats de cette collaboration (avec les autorités françaises, ndlr), et nous souhaitons poursuivre ce travail fructueux avec l’ensemble des acteurs concernés ».
Pendant ce temps Paris, Bordeaux, Amsterdam, Vienne, Bruxelles, Berlin, Munich et Barcelone appellent l’Union européenne à réviser de toute urgence la réglementation relative aux locations de courte durée proposées par les plateformes sur internet.
Mieux "leur nombre a diminué de 40% à Paris depuis la mise en oeuvre du blocage automatique des nuitées début 2019," explique le communiqué de presse.
Ces logements hors la loi ne représenteraient que 0,3% du parc des logements parisiens et 75% de cette partie sont situés hors du centre de Paris.
En contradiction avec les arguments avancés par les anti-Airbnb.
Pire toujours à Paris, 2% des logements entiers loués sur Airbnb en 2019 ont été loués à l’année, soit une proportion équivalente à moins de 0,1% du parc de logements parisiens.
Emmanuel Marill, directeur d’Airbnb France, déclare :
« Nous souhaitons travailler avec les autorités afin de promouvoir une pratique responsable et durable de la location meublée touristique.
Les données que nous publions aujourd’hui illustrent les bons résultats de cette collaboration (avec les autorités françaises, ndlr), et nous souhaitons poursuivre ce travail fructueux avec l’ensemble des acteurs concernés ».
Pendant ce temps Paris, Bordeaux, Amsterdam, Vienne, Bruxelles, Berlin, Munich et Barcelone appellent l’Union européenne à réviser de toute urgence la réglementation relative aux locations de courte durée proposées par les plateformes sur internet.