La décision du tribunal de commerce de Paris concernant l’offre de reprise de SeaFrance par la société coopérative et participative (SCOP) porté par la CFDT, syndicat majoritaire de la compagnie, est reportée au 3 janvier 2012.
Mais les salariés de l’entreprise ont rendez-vous mercredi 23 décembre 2011 à la cour d’appel de Paris afin de savoir si les bateaux vont pouvoir reprendre leur activité.
Les porteurs du projet de la SCOP ont envoyé un courrier au ministre chargé des transports, Thierry Mariani et aux parlementaires français.
Ils y indiquent que la société coopérative "réunit aujourd’hui 827 sociétaires dont 575 salariés, soit une base légitime incontestable."
Le texte précise également qu’il "ne manque à la Scop qu’une avance de 50 millions d’euros pour permettre une reprise de l’exploitation et l’assurer le temps que la société d’économie mixte qui rachètera un navire, se constitue et soit en mesure de rembourser cette avance."
Mais les salariés de l’entreprise ont rendez-vous mercredi 23 décembre 2011 à la cour d’appel de Paris afin de savoir si les bateaux vont pouvoir reprendre leur activité.
Les porteurs du projet de la SCOP ont envoyé un courrier au ministre chargé des transports, Thierry Mariani et aux parlementaires français.
Ils y indiquent que la société coopérative "réunit aujourd’hui 827 sociétaires dont 575 salariés, soit une base légitime incontestable."
Le texte précise également qu’il "ne manque à la Scop qu’une avance de 50 millions d’euros pour permettre une reprise de l’exploitation et l’assurer le temps que la société d’économie mixte qui rachètera un navire, se constitue et soit en mesure de rembourser cette avance."
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