Privatisée et réorganisée depuis deux ans, la compagnie ukrainienne se concentre actuellement sur un réseau court et moyen courrier - DR : UIA
La compagnie privée Ukraine International Airlines mettra un second vol quotidien entre Paris CDG et Kiev à partir du 26 avril 2013, pour faire face à l'augmentation de la demande.
Un second vol qui devrait équilibrer l'offre puisque Air France opère déjà deux rotations quotidiennes. L'accord de code share entre les deux compagnies avec un système de blocs-sièges devrait perdurer.
Il est vrai qu'Air France a tout à y gagner puisque les passagers venant de l'Est connectent sur les vols longs courriers à CDG. Et ce, même si UIA n'appartient pas à l'alliance Skyteam - ni d'ailleurs à aucune autre alliance...
Un second vol qui devrait équilibrer l'offre puisque Air France opère déjà deux rotations quotidiennes. L'accord de code share entre les deux compagnies avec un système de blocs-sièges devrait perdurer.
Il est vrai qu'Air France a tout à y gagner puisque les passagers venant de l'Est connectent sur les vols longs courriers à CDG. Et ce, même si UIA n'appartient pas à l'alliance Skyteam - ni d'ailleurs à aucune autre alliance...
Vers un réveil de la clientèle française ?
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Privatisée et réorganisée depuis deux ans, la compagnie ukrainienne se concentre actuellement, avec sa flotte de B-737 et un Antonov, sur un réseau court et moyen courrier, desservant les destinations domestiques comme Odessa, Lviv, ou Donetsk, des destinations européennes mais aussi Moscou, l'Asie centrale avec Tbilissi, Astana, Almati, Samara et Israël.
Moscou, la Géorgie, le Kazakshtan avec connexion à Kiev sont d'ailleurs commercialisés par UIA sur le marché français.
Le second vol d'UIA qui partira de CDG à 13h10 facilitera particulièrement le transit à Kiev vers Israël. De quoi accueillir quelques groupes touristiques supplémentaires...
Mais Guillaume Arenas, le directeur commercial pour la France, table surtout sur un réveil de la clientèle française pour découvrir l'Ukraine encore trop méconnue.
Moscou, la Géorgie, le Kazakshtan avec connexion à Kiev sont d'ailleurs commercialisés par UIA sur le marché français.
Le second vol d'UIA qui partira de CDG à 13h10 facilitera particulièrement le transit à Kiev vers Israël. De quoi accueillir quelques groupes touristiques supplémentaires...
Mais Guillaume Arenas, le directeur commercial pour la France, table surtout sur un réveil de la clientèle française pour découvrir l'Ukraine encore trop méconnue.
Une augmentation des commandes
Et frémissement il y a, s'il en juge par les demandes de renseignements et de cotations que les agents de voyages lui ont fait parvenir après Top Resa, où la compagnie partageait un stand avec un hôtelier et un réceptif ukrainiens.
"La valeur sûre du tourisme ukrainien, c'est depuis longtemps la croisière Kiev-Odessa, mais il y a bien d'autres choses à faire. Un simple citybreak à Kiev qui est une ville merveilleuse. Assister au festival de musique électronique qui se tient en Crimée tous les ans.
Et, détail pratique, contrairement à la Russie, l'Ukraine ne demande pas de visa touristique, un simple passeport suffit.
Par ailleurs, la tenue de l'Euro de football a permis de moderniser l'hôtellerie. Et on peut trouver maintenant des réceptifs sérieux !".
Si les reportages télévisés autour de l’évènement n'ont pas créé, après-coup, un engouement touristique particulier, la capacité à organiser une telle manifestation ne peut qu'apporter une note positive à la destination.
La ruée vers l'Est, touristiquement parlant, met du temps à s'organiser mais Guillaume Arenas y croit, carnet de commandes à l'appui...
"La valeur sûre du tourisme ukrainien, c'est depuis longtemps la croisière Kiev-Odessa, mais il y a bien d'autres choses à faire. Un simple citybreak à Kiev qui est une ville merveilleuse. Assister au festival de musique électronique qui se tient en Crimée tous les ans.
Et, détail pratique, contrairement à la Russie, l'Ukraine ne demande pas de visa touristique, un simple passeport suffit.
Par ailleurs, la tenue de l'Euro de football a permis de moderniser l'hôtellerie. Et on peut trouver maintenant des réceptifs sérieux !".
Si les reportages télévisés autour de l’évènement n'ont pas créé, après-coup, un engouement touristique particulier, la capacité à organiser une telle manifestation ne peut qu'apporter une note positive à la destination.
La ruée vers l'Est, touristiquement parlant, met du temps à s'organiser mais Guillaume Arenas y croit, carnet de commandes à l'appui...