L'accident
Un couple de voyageurs de 75 ans avait planifié le plus beau voyage de leur vie en Polynésie, ils avaient réservé un hôtel de luxe à Bora Bora avec suite sur pilotis fin de ponton.
Selon, le descriptif de l'hôtel ; " cette suite dispose d'un accès direct au lagon et d'une terrasse privée offrant une vue sur le lever du soleil et sur l'île de Taha'a ". Ces vacances de rêve auraient dû être l’un des meilleurs moments de leur vie, malheureusement le 3ème jour, après une baignade dans les eaux cristallines du lagon, alors que le mari escaladait l’échelle de bois pour remonter sur le ponton, sa jambe glissa et il chuta violemment sur ses parties intimes.
La blessure était grave, le personnel de l'hôtel appela immédiatement les secours et il fut conduit à l'hôpital pour être soigné en urgence. Sa femme déclencha l’assurance voyage à laquelle ils avaient souscrit lors de leur réservation pour couvrir les dépenses liées aux frais médicaux. Le compte rendu était sans appel, le traumatisme avait causé des lésions et en raison de l’âge du patient, les conséquences seraient irréversibles.
Le couple ne pouvant continuer leur séjour, ils furent rapatriés et ils demandèrent le remboursement des prestations non consommées à leur assurance voyage qui les indemnisa au prorata des jours qui leur restait sur place.
Selon, le descriptif de l'hôtel ; " cette suite dispose d'un accès direct au lagon et d'une terrasse privée offrant une vue sur le lever du soleil et sur l'île de Taha'a ". Ces vacances de rêve auraient dû être l’un des meilleurs moments de leur vie, malheureusement le 3ème jour, après une baignade dans les eaux cristallines du lagon, alors que le mari escaladait l’échelle de bois pour remonter sur le ponton, sa jambe glissa et il chuta violemment sur ses parties intimes.
La blessure était grave, le personnel de l'hôtel appela immédiatement les secours et il fut conduit à l'hôpital pour être soigné en urgence. Sa femme déclencha l’assurance voyage à laquelle ils avaient souscrit lors de leur réservation pour couvrir les dépenses liées aux frais médicaux. Le compte rendu était sans appel, le traumatisme avait causé des lésions et en raison de l’âge du patient, les conséquences seraient irréversibles.
Le couple ne pouvant continuer leur séjour, ils furent rapatriés et ils demandèrent le remboursement des prestations non consommées à leur assurance voyage qui les indemnisa au prorata des jours qui leur restait sur place.
Le procès
A leur retour, le couple attaqua l'agence de voyage en responsabilité à la suite de l'accident.
Les faits reprochés étaient que l'agence de voyages avait vendu un programme sans s'assurer de la sécurité des voyageurs. Les préjudices du client étaient lourds, avec des conséquences physiques, psychologiques et morales. Ils réclamaient des dommages et intérêts pour plus d'un million d'euro...
Quant à l’agence qui avait produit le voyage, elle se retrouva en responsabilité de plein droit. Le juge la déclara responsable.
Le juge déclara l'agence responsable. L'indemnisation reçue par les plaignants s'éleva à environ 200 000 € : l'assurance professionnelle de l'agence paya le montant réclamé.
La responsabilité civile se retourna par la suite sur l'assurance de l'hôtel qui la remboursa à la suite du recours.
Les faits reprochés étaient que l'agence de voyages avait vendu un programme sans s'assurer de la sécurité des voyageurs. Les préjudices du client étaient lourds, avec des conséquences physiques, psychologiques et morales. Ils réclamaient des dommages et intérêts pour plus d'un million d'euro...
Quant à l’agence qui avait produit le voyage, elle se retrouva en responsabilité de plein droit. Le juge la déclara responsable.
Le juge déclara l'agence responsable. L'indemnisation reçue par les plaignants s'éleva à environ 200 000 € : l'assurance professionnelle de l'agence paya le montant réclamé.
La responsabilité civile se retourna par la suite sur l'assurance de l'hôtel qui la remboursa à la suite du recours.