Quelles sont les conditions d'entrée en Chine?
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Faut-il un passeport pour se rendre en Chine ?
Les ressortissants français doivent être munis d’un passeport valide au moins six mois après la date de sortie du territoire.
Il est rappelé que les ressortissants étrangers sont tenus de présenter leur passeport muni d’un visa valide lors de tout contrôle.
Les étrangers sont tenus de s’enregistrer dans les 24 heures suivant leur arrivée au bureau de la police de leur zone de résidence. Les hôtels se chargent de cette formalité pour leurs clients.
En cas de voyage vers ou depuis la Thaïlande, le passeport doit être dans un état impeccable. Celui-ci ne doit pas être déchiré, abimé ou taché, au risque d'être refusé lors des contrôles aux frontières.
Il est rappelé que les ressortissants étrangers sont tenus de présenter leur passeport muni d’un visa valide lors de tout contrôle.
Les étrangers sont tenus de s’enregistrer dans les 24 heures suivant leur arrivée au bureau de la police de leur zone de résidence. Les hôtels se chargent de cette formalité pour leurs clients.
En cas de voyage vers ou depuis la Thaïlande, le passeport doit être dans un état impeccable. Celui-ci ne doit pas être déchiré, abimé ou taché, au risque d'être refusé lors des contrôles aux frontières.
Faut-il un visa pour se rendre en Chine ?
Du 1er décembre 2023 au 30 novembre 2024, la Chine supprime l'obligation de visa pour les voyageurs titulaires de passeports ordinaires de France, Allemagne, Italie, Pays-Bas et Espagne pendant une période de 1 an, comme l'indique RapideVisa.
Les voyageurs en provenance de ces destinations pourront séjourner jusqu'à 15 jours sans Visa pour des motifs de tourisme, d'affaires, des visites familiales ou des transits.
A partir du 14 mars 2024, les voyageurs de Belgique, de Suisse, du Luxembourg, d'Irlande, d'Autriche et de Hongrie pourront eux-aussi entrer dans en Chine sans visa pour les sajours de 15 jours maximum, et ce jusqu'au 30 novembre 2024
Les séjours de plus de 15 jours restent soumis à l'obligation de visa.
Il est important de prendre en compte le nombre d'entrées autorisées sur le territoire, en particulier si vous souhaitez vous rendre dans des destinations comme Hong Kong ou Macao par exemple.
Il est fortement conseillé aux voyageurs en provenance de France se rendant à Hong Kong puis en Chine continentale d'obtenir un visa pour la Chine avant leur départ, soit auprès de l'ambassade chinoise à Paris, soit dans les consulats chinois en France.
Attention : le visa chinois n'autorise pas l'entrée directe au Tibet, qui est soumis à une réglementation spécifique.
Certaines escales internationales ne nécessitent pas de visa. Il est donc possible de bénéficier d’un transit de 24h, 72h ou 144h sans visa dans certains aéroports.
Cette facilité est réservée aux passagers en transit vers un pays tiers en possession d’un billet confirmé et, s’il y a lieu, d’un visa pour ce pays.
Des conditions spécifiques concernent chacun de ces 3 cas qu’il convient de consulter sur le site de Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères.
Il existe une exemption de visa pour Hong-Kong, Taïwan et Macao : en ce qui concerne les visas, ces territoires ne sont pas considérés comme la Chine. Ils ne nécessitent donc pas de posséder un visa pour s'y rendre pour moins de 90 jours. Mais un aller-retour Chine > Hong-Kong > Chine nécessite de posséder un visa chinois à 2 entrées.
Le tarif du visa chinois a baissé le 11/12/23, et est actuellement affiché à un prix de 111€ (contre 126 auparavant).
Les demandeurs de visa touristique et d'affaires en France pour une année supplémentaire jusqu'au 31/12/2024 sont maintenant exemptés de prise d'empreinte. Cet assouplissement s'applique aux Français demandeurs de visa pour les séjours de plus de 15 jours, ou encore pour les Belges ou Suisses demandant leur visa en France.
Les voyageurs en provenance de ces destinations pourront séjourner jusqu'à 15 jours sans Visa pour des motifs de tourisme, d'affaires, des visites familiales ou des transits.
A partir du 14 mars 2024, les voyageurs de Belgique, de Suisse, du Luxembourg, d'Irlande, d'Autriche et de Hongrie pourront eux-aussi entrer dans en Chine sans visa pour les sajours de 15 jours maximum, et ce jusqu'au 30 novembre 2024
Les séjours de plus de 15 jours restent soumis à l'obligation de visa.
Il est important de prendre en compte le nombre d'entrées autorisées sur le territoire, en particulier si vous souhaitez vous rendre dans des destinations comme Hong Kong ou Macao par exemple.
Il est fortement conseillé aux voyageurs en provenance de France se rendant à Hong Kong puis en Chine continentale d'obtenir un visa pour la Chine avant leur départ, soit auprès de l'ambassade chinoise à Paris, soit dans les consulats chinois en France.
Attention : le visa chinois n'autorise pas l'entrée directe au Tibet, qui est soumis à une réglementation spécifique.
Certaines escales internationales ne nécessitent pas de visa. Il est donc possible de bénéficier d’un transit de 24h, 72h ou 144h sans visa dans certains aéroports.
Cette facilité est réservée aux passagers en transit vers un pays tiers en possession d’un billet confirmé et, s’il y a lieu, d’un visa pour ce pays.
Des conditions spécifiques concernent chacun de ces 3 cas qu’il convient de consulter sur le site de Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères.
Il existe une exemption de visa pour Hong-Kong, Taïwan et Macao : en ce qui concerne les visas, ces territoires ne sont pas considérés comme la Chine. Ils ne nécessitent donc pas de posséder un visa pour s'y rendre pour moins de 90 jours. Mais un aller-retour Chine > Hong-Kong > Chine nécessite de posséder un visa chinois à 2 entrées.
Le tarif du visa chinois a baissé le 11/12/23, et est actuellement affiché à un prix de 111€ (contre 126 auparavant).
Les demandeurs de visa touristique et d'affaires en France pour une année supplémentaire jusqu'au 31/12/2024 sont maintenant exemptés de prise d'empreinte. Cet assouplissement s'applique aux Français demandeurs de visa pour les séjours de plus de 15 jours, ou encore pour les Belges ou Suisses demandant leur visa en France.
En savoir plus sur la Chine
Sur le plan culturel, la Chine est une mosaïque de traditions, de philosophies et d'arts. La musique, la calligraphie, les arts martiaux et une cuisine variée sont des éléments essentiels de cette richesse. Le Nouvel An chinois, avec ses feux d'artifice et ses danses de dragons et de lions, est un reflet vibrant de ces traditions.
Économiquement, depuis les audacieuses réformes de Deng Xiaoping en 1978, la Chine s'est métamorphosée, évoluant d'une économie largement agraire à une puissance industrielle mondiale. Politiquement, bien que la Chine se définisse comme une république socialiste, c'est le Parti communiste chinois qui domine le paysage.
La langue dominante est le mandarin, mais la Chine est un carrefour de dialectes et de langues comme le cantonais et le shanghaïen. En matière de religion, même si l'athéisme est promu officiellement, le confucianisme, le taoïsme, le bouddhisme, le christianisme et l'islam trouvent leur place dans le tissu social chinois. Cependant, avec toutes ses réussites, la Chine est confrontée à des défis, notamment des tensions avec certains voisins, des préoccupations environnementales et des questions relatives aux droits de l'homme et à la gouvernance de régions comme Hong Kong, Taïwan et le Tibet.
Économiquement, depuis les audacieuses réformes de Deng Xiaoping en 1978, la Chine s'est métamorphosée, évoluant d'une économie largement agraire à une puissance industrielle mondiale. Politiquement, bien que la Chine se définisse comme une république socialiste, c'est le Parti communiste chinois qui domine le paysage.
La langue dominante est le mandarin, mais la Chine est un carrefour de dialectes et de langues comme le cantonais et le shanghaïen. En matière de religion, même si l'athéisme est promu officiellement, le confucianisme, le taoïsme, le bouddhisme, le christianisme et l'islam trouvent leur place dans le tissu social chinois. Cependant, avec toutes ses réussites, la Chine est confrontée à des défis, notamment des tensions avec certains voisins, des préoccupations environnementales et des questions relatives aux droits de l'homme et à la gouvernance de régions comme Hong Kong, Taïwan et le Tibet.