Vulcania vu du ciel © Jdamase
Niché au cœur des volcans d’Auvergne, le parc Vulcania sera ouvert du 24 mars au 15 novembre prochain.
Une centaine de personnes ont déjà été recrutées pour la totalité de cette saison, mais 90 personnes viendront en renfort pendant les vacances estivales.
Si les postes proposés restent classiques : accueil, restauration, vente en boutique, Vulcania a également besoin d’animateurs scientifiques.
«Se sont souvent des jeunes étudiants, dont certains ont fini leurs cursus et viennent d’arriver sur le marché du travail» explique Catherine Damesin, la directrice du parc.
Une première expérience qui leur permet de valoriser leurs compétences acquises à l’université.
«Mais il ne faut pas se voiler la face. Ceux qui reviennent les années suivantes sont ceux qui n’ont pas réussi à trouver un poste fixe sur le marché du travail. Etre saisonnier peut être un choix pour certains, mais pour d’autres, c’est un palliatif en attendant de trouver un CDI ».
En effet, le turn-over est très variable selon le type d’emploi. Dans la restauration par exemple, 100% des saisonniers retrouvent chaque saison les fourneaux du parc. Un taux beaucoup plus bas pour les animateurs scientifiques.
Une centaine de personnes ont déjà été recrutées pour la totalité de cette saison, mais 90 personnes viendront en renfort pendant les vacances estivales.
Si les postes proposés restent classiques : accueil, restauration, vente en boutique, Vulcania a également besoin d’animateurs scientifiques.
«Se sont souvent des jeunes étudiants, dont certains ont fini leurs cursus et viennent d’arriver sur le marché du travail» explique Catherine Damesin, la directrice du parc.
Une première expérience qui leur permet de valoriser leurs compétences acquises à l’université.
«Mais il ne faut pas se voiler la face. Ceux qui reviennent les années suivantes sont ceux qui n’ont pas réussi à trouver un poste fixe sur le marché du travail. Etre saisonnier peut être un choix pour certains, mais pour d’autres, c’est un palliatif en attendant de trouver un CDI ».
En effet, le turn-over est très variable selon le type d’emploi. Dans la restauration par exemple, 100% des saisonniers retrouvent chaque saison les fourneaux du parc. Un taux beaucoup plus bas pour les animateurs scientifiques.
Bien former pour bien accueillir
Pour recruter, Vulcania pioche dans les nombreuses candidatures envoyées sur son site web. « Nous avons trois à quatre fois plus de demandes que de postes, surtout dans les secteurs d’accueil » se réjouit Catherine Damesin.
Mais le parc se tourne aussi vers l’ANPE locale, afin de s’ouvrir à de nouveaux profits. Chaque candidat ainsi recruté devra suivre une formation de 15 jours afin de se familiariser avec les principes scientifiques du parc.
«Ce stage est très important. Tous les employés doivent être capables de répondre aux interrogations des visiteurs » assure Catherine Damesin.
Si 90% des saisonniers viennent de la région, 85% des visiteurs sont extérieurs à l’Auvergne. Vulcania, crée en 2002 pour développer la région, remplit donc bien sa mission.
Il accueille également 10% d’étrangers, notamment venus du nord de l’Europe. Un public particulièrement chouchouté. « Nous avons des guides bilingues en Néerlandais et tous les audio-guides sont traduits » explique Catherine Damesin.
Une politique d’excellence et de rigueur qui s’avère payante. D’après une étude nationale, Vulcania est l’un des parcs les mieux classés pour sa qualité d’accueil.
Mais le parc se tourne aussi vers l’ANPE locale, afin de s’ouvrir à de nouveaux profits. Chaque candidat ainsi recruté devra suivre une formation de 15 jours afin de se familiariser avec les principes scientifiques du parc.
«Ce stage est très important. Tous les employés doivent être capables de répondre aux interrogations des visiteurs » assure Catherine Damesin.
Si 90% des saisonniers viennent de la région, 85% des visiteurs sont extérieurs à l’Auvergne. Vulcania, crée en 2002 pour développer la région, remplit donc bien sa mission.
Il accueille également 10% d’étrangers, notamment venus du nord de l’Europe. Un public particulièrement chouchouté. « Nous avons des guides bilingues en Néerlandais et tous les audio-guides sont traduits » explique Catherine Damesin.
Une politique d’excellence et de rigueur qui s’avère payante. D’après une étude nationale, Vulcania est l’un des parcs les mieux classés pour sa qualité d’accueil.