Blanche de France, duchesse d’Orléans (1328 - 1393). Fille posthume du roi Charles IV le Bel. Sa naissance marque l’extinction des capétiens directs et l’arrivée sur le trône des Valois. Elle épouse en 1345 son cousin Philippe de Valois, duc d’Orléans, fils du roi Philippe VI. Cotte en blouson bleu, surcot en denim gris, gorgerin en dentelle dorée. Cape en jean bleu et poches-logo en décor. Photo MS.
Aux portes de Paris, à 100 mètres de la station de métro de la ligne 13, on est au cœur du quartier piétonnier de Saint-Denis, capitale du "neuf trois".
On est aussi à 100 mètres de l’un des joyaux français, la Basilique cathédrale de Saint-Denis.
Achevée sous Saint Louis au XIIIe siècle, elle est le premier chef-d’œuvre de l’art gothique au monde, unique par la richesse de ses vitraux et son ensemble de 70 gisants et tombeaux sculptés, ensevelis dans sa nécropole royale.
S’inspirant des gisants de reines et des princesses de France, l’artiste couturier Lamyne M. présente sa « collection » dans les chapelles de la crypte.
Hautes de trois mètres, composées de coupes, de tissus et de plissés venus d’ailleurs, les robes ont été réalisées par des élèves des métiers du spectacle (option techniques de l’habillage – DTMS), du lycée professionnel La Source à Nogent-sur-Marne, ainsi que par les femmes de la maison de quartier Floréal à Saint-Denis.
On est aussi à 100 mètres de l’un des joyaux français, la Basilique cathédrale de Saint-Denis.
Achevée sous Saint Louis au XIIIe siècle, elle est le premier chef-d’œuvre de l’art gothique au monde, unique par la richesse de ses vitraux et son ensemble de 70 gisants et tombeaux sculptés, ensevelis dans sa nécropole royale.
S’inspirant des gisants de reines et des princesses de France, l’artiste couturier Lamyne M. présente sa « collection » dans les chapelles de la crypte.
Hautes de trois mètres, composées de coupes, de tissus et de plissés venus d’ailleurs, les robes ont été réalisées par des élèves des métiers du spectacle (option techniques de l’habillage – DTMS), du lycée professionnel La Source à Nogent-sur-Marne, ainsi que par les femmes de la maison de quartier Floréal à Saint-Denis.
« Un hommage à la grandeur des femmes »
Lamyne M. aux côtés de Marguerite de Flandre (1309 – 1382). Fille du roi Philippe V. Elle épouse en 1320 Kiyus 1er de Flandre qui meurt en 1346 à la bataille de Crécy contre les Anglais. Elle devient alors une bienfaitrice de l’abbaye de Saint-Denis qu’elle couvre de cadeaux. Robe en wax de différents verts, plastron tricoté avec du ruban de chutes de wax. Photo MS.
« Ces robes sont un hommage à la beauté et à la grandeur des femmes », explique Lamyne M. qui vit et travaille à Saint-Denis et expose à travers le monde.
La taille gigantesque est pour lui l’expression de l’importance des femmes dans le monde en général, de sa ville d’adoption en particulier, ville aux 124 nationalités, « des coupes et des couleurs du monde entier portées dans ses rues dès les beaux jours ».
Dans une superbe scénographie, les « Grandes robes royales » mêlent le pagne africain à la robe d’apparat du Maghreb, le jean et la dentelle et prouvent que les vestiges de l’histoire la plus ancienne peuvent nourrir la création la plus contemporaine.
13 robes ont été créées. 8 sont présentées au sein de la basilique cathédrale.
Les 5 autres sont au musée d’art et d’histoire, dans la chapelle des Carmélites et dans le cloître (500 mètres de la basilique), dans le Théâtre Gérard Philippe Centre dramatique national de Saint-Denis (400 mètres de la basilique) et dans l’Office de Tourisme de Plaine Commune Grand Paris (face à la basilique).
L’exposition, qui était programmée jusqu’au 30 avril 1016, est prolongée jusqu’au 10 juin 2016.
La taille gigantesque est pour lui l’expression de l’importance des femmes dans le monde en général, de sa ville d’adoption en particulier, ville aux 124 nationalités, « des coupes et des couleurs du monde entier portées dans ses rues dès les beaux jours ».
Dans une superbe scénographie, les « Grandes robes royales » mêlent le pagne africain à la robe d’apparat du Maghreb, le jean et la dentelle et prouvent que les vestiges de l’histoire la plus ancienne peuvent nourrir la création la plus contemporaine.
13 robes ont été créées. 8 sont présentées au sein de la basilique cathédrale.
Les 5 autres sont au musée d’art et d’histoire, dans la chapelle des Carmélites et dans le cloître (500 mètres de la basilique), dans le Théâtre Gérard Philippe Centre dramatique national de Saint-Denis (400 mètres de la basilique) et dans l’Office de Tourisme de Plaine Commune Grand Paris (face à la basilique).
L’exposition, qui était programmée jusqu’au 30 avril 1016, est prolongée jusqu’au 10 juin 2016.
Spécial groupes : visites découverte de la basilique et de l’exposition
Réservations et informations : reservations.basilique@monuments-nationaux.fr
ou groupes@tourisme93.com
(Possibilité, à certaines dates, d'avoir l’artiste Lamyne M. comme guide).
Plus d’infos : www.tourisme93.com/circuits-groupes.html
ou groupes@tourisme93.com
(Possibilité, à certaines dates, d'avoir l’artiste Lamyne M. comme guide).
Plus d’infos : www.tourisme93.com/circuits-groupes.html
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