Dans son eco-hôtel spa La Grée des Landes, Yves Rocher s'engage à "respecter les grands équilibre de la planète". © Yves Rocher
Le resort-spa écologiquement parfait n'est pas encore né. Mais la tendance est là.
De plus en plus d'établissements bien-être s'inscrivent dans une démarche environnementale. Certains répondent à une demande de la clientèle, d'autres en font une véritable philosophie.
Pour jouer la carte écologique, les spas sont ainsi de plus en plus nombreux à préférer le recours aux produits bio, soit sur une partie de leur carte, soit sur la totalité.
Comme par exemple la gamme des thés aromatiques de Terraké, marque de produits cosmétiques et de rituels de soin pour le Spa haut de gamme.
Sans parler des marques de cosmétiques "écocertifiée" comme Melvita, Waleda, Clé des champs, Nohèm, etc. qui développent leur propre spa voir concept-spa.
La Maison Dr.Hauschka, dans le 11e arrondissement de Paris, a ainsi été développée dans le plus total respect de l’environnement via une architecture intérieure "éco-conçue", depuis la conception jusqu’à la réalisation : LED pour les lumière, fibre de bois et laine de chanvre pour l'isolation, jusqu'aux peintures qui sont naturelles.
De son côté Yves Rocher s'engage à "respecter les grands équilibre de la planète" dans son eco-hôtel spa La Grée des Landes : architecture bioclimatique, bâtiment à basse consommation énergétique, préservation de la biodiversité...
Car certains établissements ne se contentent pas uniquement de mettre du bio au menu. Ils vont désormais plus loin, s'impliquant dans une politique de développement durable globale. Même les centres de thalasso y viennent.
Carnac Thalassa & spa resort a ainsi fait sa révolution écologique au cours des cinq dernières années. Dès 2008, le centre s'est engagé dans le développement durable de l’environnement et l’ancrage à son patrimoine naturel.
De nombreuses mesures sont mises en place : rachat d’énergie verte, régulateur de débit d’eau pour en réduire la consommation, sensibilisation de la clientèle et des équipes aux enjeux environnementaux, etc.
De plus en plus d'établissements bien-être s'inscrivent dans une démarche environnementale. Certains répondent à une demande de la clientèle, d'autres en font une véritable philosophie.
Pour jouer la carte écologique, les spas sont ainsi de plus en plus nombreux à préférer le recours aux produits bio, soit sur une partie de leur carte, soit sur la totalité.
Comme par exemple la gamme des thés aromatiques de Terraké, marque de produits cosmétiques et de rituels de soin pour le Spa haut de gamme.
Sans parler des marques de cosmétiques "écocertifiée" comme Melvita, Waleda, Clé des champs, Nohèm, etc. qui développent leur propre spa voir concept-spa.
La Maison Dr.Hauschka, dans le 11e arrondissement de Paris, a ainsi été développée dans le plus total respect de l’environnement via une architecture intérieure "éco-conçue", depuis la conception jusqu’à la réalisation : LED pour les lumière, fibre de bois et laine de chanvre pour l'isolation, jusqu'aux peintures qui sont naturelles.
De son côté Yves Rocher s'engage à "respecter les grands équilibre de la planète" dans son eco-hôtel spa La Grée des Landes : architecture bioclimatique, bâtiment à basse consommation énergétique, préservation de la biodiversité...
Car certains établissements ne se contentent pas uniquement de mettre du bio au menu. Ils vont désormais plus loin, s'impliquant dans une politique de développement durable globale. Même les centres de thalasso y viennent.
Carnac Thalassa & spa resort a ainsi fait sa révolution écologique au cours des cinq dernières années. Dès 2008, le centre s'est engagé dans le développement durable de l’environnement et l’ancrage à son patrimoine naturel.
De nombreuses mesures sont mises en place : rachat d’énergie verte, régulateur de débit d’eau pour en réduire la consommation, sensibilisation de la clientèle et des équipes aux enjeux environnementaux, etc.
Casser des tabous
Deux ans plus tard, il lance BioCarnac, sa propre gamme de cosmétiques labellisée bio.
Composée aujourd'hui de 27 produits pour le visage, le corps, le bain et les cheveux, elle est élaborée avec 26% d'eau de mer et des algues bretonnes de l'île de Molène, site classé réserve mondiale de biosphère par l’UNESCO depuis 1988.
Les cures passent également le cap bio avec des formules là encore créées sur des bases biologiques naturelles, végétales, marines ou minérales.
Conclusion, en 2012, Carnac devient la première Thalasso 100% bio certification et label ad-hoc à la clef. Cette année, le Spa marin suit le sillage du resort et décroche le label BEING-niveau excellence (nouvelle version d''Ecocert).
Mais pour que l'industrie du bien-être - au même titre que celle de l'hôtellerie d'ailleurs - laisse une empreinte proche de zéro sur la planète, il reste encore à dépasser les cas d’école, puis à casser quelques tabous.
Pourra-t-on par exemple faire accepter aux clients de se plonger dans une piscine, un jacuzzi ou un hammam d'eaux usagées retraitées, voire de pédaler sur un vélo d’appartement relié à une dynamo pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement de son générateur de vapeur ?
Composée aujourd'hui de 27 produits pour le visage, le corps, le bain et les cheveux, elle est élaborée avec 26% d'eau de mer et des algues bretonnes de l'île de Molène, site classé réserve mondiale de biosphère par l’UNESCO depuis 1988.
Les cures passent également le cap bio avec des formules là encore créées sur des bases biologiques naturelles, végétales, marines ou minérales.
Conclusion, en 2012, Carnac devient la première Thalasso 100% bio certification et label ad-hoc à la clef. Cette année, le Spa marin suit le sillage du resort et décroche le label BEING-niveau excellence (nouvelle version d''Ecocert).
Mais pour que l'industrie du bien-être - au même titre que celle de l'hôtellerie d'ailleurs - laisse une empreinte proche de zéro sur la planète, il reste encore à dépasser les cas d’école, puis à casser quelques tabous.
Pourra-t-on par exemple faire accepter aux clients de se plonger dans une piscine, un jacuzzi ou un hammam d'eaux usagées retraitées, voire de pédaler sur un vélo d’appartement relié à une dynamo pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement de son générateur de vapeur ?