Bonne nouvelle, selon l’étude réalisée par le Cabinet Raffour Interactif, 89 % des agents de voyages sont satisfaits de travailler dans ce secteur.
Cette étude, la 7ème du genre, comportait 70 questions sur la perception que pouvaient avoir les agents de voyages sur les tendances de leur clientèle loisir et affaires.
Elle a été réalisée entre le 25 juillet et le 8 septembre dernier, auprès de 300 personnes, un nombre qu’il a fallu réduire à 200 pour obtenir un panel équilibré et indicatif.
« Pour autant, quelque soit le nombre des réponse analysées, 100, 200 300, nous nous sommes aperçus que les résultats ne variaient pas. » précisait toutefois Guy Raffour en présentant son étude sur Top Résa, en compagnie de ses commanditaires, Go Voyages, SNCF, Eurostar, Concur, Croisière de France et le groupe Transat France.
Cette étude, la 7ème du genre, comportait 70 questions sur la perception que pouvaient avoir les agents de voyages sur les tendances de leur clientèle loisir et affaires.
Elle a été réalisée entre le 25 juillet et le 8 septembre dernier, auprès de 300 personnes, un nombre qu’il a fallu réduire à 200 pour obtenir un panel équilibré et indicatif.
« Pour autant, quelque soit le nombre des réponse analysées, 100, 200 300, nous nous sommes aperçus que les résultats ne variaient pas. » précisait toutefois Guy Raffour en présentant son étude sur Top Résa, en compagnie de ses commanditaires, Go Voyages, SNCF, Eurostar, Concur, Croisière de France et le groupe Transat France.
Attentisme et cross canal
Autre bonne nouvelle parmi les conclusions de l’enquête, 54 % des agents de voyages sondés se déclarent satisfaits ou plutôt satisfaits de leurs ventes estivales. En province, ils ont été moins nombreux qu’à Paris, mais cette différence s’estompe quand ils évoquent le comportement des clients.
Ils estiment par exemple que le mois de juillet a été moins porteur que le mois d’août, et constatent un attentisme qui renforce encore les VDM chez des clients qui cherchent les promotions et comparent sérieusement les prix sur Internet avant d’aller en agence.
Manière de dire que le cross canal s’impose progressivement et que les fournisseurs vont devoir soutenir la course à l’investissement dans les nouvelles technologies.
De leur côté, les insatisfaits mettent plutôt l’accent sur une baisse des ventes, des budgets et de la fréquentation de leur agence pour expliquer la morosité de leur activité.
Ils pointent également des stocks insuffisants, une désaffection des destinations nord africaines et une France attractive mais qui leur échappe en grande partie.
Ils estiment par exemple que le mois de juillet a été moins porteur que le mois d’août, et constatent un attentisme qui renforce encore les VDM chez des clients qui cherchent les promotions et comparent sérieusement les prix sur Internet avant d’aller en agence.
Manière de dire que le cross canal s’impose progressivement et que les fournisseurs vont devoir soutenir la course à l’investissement dans les nouvelles technologies.
De leur côté, les insatisfaits mettent plutôt l’accent sur une baisse des ventes, des budgets et de la fréquentation de leur agence pour expliquer la morosité de leur activité.
Ils pointent également des stocks insuffisants, une désaffection des destinations nord africaines et une France attractive mais qui leur échappe en grande partie.
Un budget précis mais aussi un client prêt à aller plus loin
Satisfait et insatisfaits se retrouvent à 66 % pour constater que les clients ont désormais un budget précis.
Si son montant est en baisse, 74 % des agents de voyage pensent que le client reste quand même plus ou moins enclin à le dépasser.
« Les Français ne se laissent plus aller. » commente Guy Raffour, qui nuance aussitôt ce point précis en le rapprochant des taux de départ qui grimpent avec le niveau de revenu des clients :
« Alors que les CSP+ partent à 86 %, les employés, ouvriers et professions intermédiaires, par exemple, ne sont plus que 57 % à partir alors qu’ils représentent 44 % des partants. »
Dans le voyage d’affaires, même tendance à surveiller davantage ses dépenses.
Si 40 % des agences sondées considèrent que la politique voyage de l’entreprise s’applique systématiquement, près de 58 % estiment que le voyageur dispose d’un certaine latitude (44 %) ou d’une vraie liberté dans le budget qu’on leur a alloué (14 %) pour s’adapter aux spécificités de chaque déplacement.
Si son montant est en baisse, 74 % des agents de voyage pensent que le client reste quand même plus ou moins enclin à le dépasser.
« Les Français ne se laissent plus aller. » commente Guy Raffour, qui nuance aussitôt ce point précis en le rapprochant des taux de départ qui grimpent avec le niveau de revenu des clients :
« Alors que les CSP+ partent à 86 %, les employés, ouvriers et professions intermédiaires, par exemple, ne sont plus que 57 % à partir alors qu’ils représentent 44 % des partants. »
Dans le voyage d’affaires, même tendance à surveiller davantage ses dépenses.
Si 40 % des agences sondées considèrent que la politique voyage de l’entreprise s’applique systématiquement, près de 58 % estiment que le voyageur dispose d’un certaine latitude (44 %) ou d’une vraie liberté dans le budget qu’on leur a alloué (14 %) pour s’adapter aux spécificités de chaque déplacement.
Les outils mobiles ont le vent en poupe
Selon les agents de voyages, le client attend d’abord que son agence sache réorganiser vite son voyage en cas de perturbation (79 %) et qu’elle lui assure un après vente plus facile (64 %).
Quant aux outils de la mobilité, d’après les sondés, ils rassurent le client qui garde tout à portée de main (42 %), et lui permettent d’organiser davantage de choses en temps réel (50 %), quitte à modifier plus souvent ses projets pendant le voyage (22 %).
Enfin, que ce soit sur le marché affaires ou loisirs, les agents de voyage partagent des attentes relativement similaires vis-à-vis de leurs fournisseurs.
Devant un marché de VDM et de budget contraint ; devant des clients sur-informés et toujours plus équipés technologiquement, ils réclament des offres claires et proches de la demande, un accompagnement renforcé, de la souplesse dans le fonctionnement et la gestion, des prix évidemment plus compétitifs et une adaptation plus rapide aux nouvelles technologies.
Étonnant non ?
Quant aux outils de la mobilité, d’après les sondés, ils rassurent le client qui garde tout à portée de main (42 %), et lui permettent d’organiser davantage de choses en temps réel (50 %), quitte à modifier plus souvent ses projets pendant le voyage (22 %).
Enfin, que ce soit sur le marché affaires ou loisirs, les agents de voyage partagent des attentes relativement similaires vis-à-vis de leurs fournisseurs.
Devant un marché de VDM et de budget contraint ; devant des clients sur-informés et toujours plus équipés technologiquement, ils réclament des offres claires et proches de la demande, un accompagnement renforcé, de la souplesse dans le fonctionnement et la gestion, des prix évidemment plus compétitifs et une adaptation plus rapide aux nouvelles technologies.
Étonnant non ?