Tout est né, il y a quelques années, de l’imagination fertile de Jean-Louis Baroux, à l'époque Président d’Air Promotion Group.
Au fil des ans, ce professionnel passionné a inventé et développé pour les compagnies aériennes de nouveaux outils et surtout constitué un vaste réseau, mondial, de représentants de compagnies aériennes.
Ils ont traversé le monde, cette fin de semaine, afin de se rassembler à Washington. Ils sont venus de plus de 85 pays pour se retrouver et évoquer ensemble les « nouvelles relations » entre transporteurs et distributeurs.
Et ils sont tous venus, quelque 371 personnes, du Pakistan, de la Mongolie, de l’Australie, de Chine, de l’Ouzbékistan et d’ailleurs.
Ceci afin d’évoquer et de tenter de résoudre les grands problèmes qui se posent entre, d’un côté les transporteurs, sûrs de leur suprématie, de l’autre les distributeurs, pour l’instant soumis aux contraintes des premiers.
Au fil des ans, ce professionnel passionné a inventé et développé pour les compagnies aériennes de nouveaux outils et surtout constitué un vaste réseau, mondial, de représentants de compagnies aériennes.
Ils ont traversé le monde, cette fin de semaine, afin de se rassembler à Washington. Ils sont venus de plus de 85 pays pour se retrouver et évoquer ensemble les « nouvelles relations » entre transporteurs et distributeurs.
Et ils sont tous venus, quelque 371 personnes, du Pakistan, de la Mongolie, de l’Australie, de Chine, de l’Ouzbékistan et d’ailleurs.
Ceci afin d’évoquer et de tenter de résoudre les grands problèmes qui se posent entre, d’un côté les transporteurs, sûrs de leur suprématie, de l’autre les distributeurs, pour l’instant soumis aux contraintes des premiers.
Le SNAV absent
Les uns et les autres sachant toutefois qu’il est difficilement possible de vivre séparés.
Il faut dire que c’était une bien belle, pour ne pas dire assez émouvante Assemblée qui s’est retrouvée au sein du Fairmont Hotel à Washington.
Dès le début, le ton était donné, d’abord par Jean-Louis Baroux, incontestable maître des lieux, épaulé par Sandrine de Saint Sauveur, sa fille dans la vraie vie, mais intransigeante Présidente d’APG Inc.
Nous reviendrons tout au long de la semaine sur les débats, de grande tenue, mais parfois un peu musclés.
A signaler que la France était représentée par Raoul Nabet, pour l’Apst. On peu d’ailleurs regretter que le Snav, invité, n’ait pas souhaité envoyer un représentant, surtout que le thème abordé concerne au premier chef les agences de voyages européennes. Une question de langage, parait-il. Il est vrai que tout se passe en anglais, mais c’est le monde d’aujourd’hui !
Il faut dire que c’était une bien belle, pour ne pas dire assez émouvante Assemblée qui s’est retrouvée au sein du Fairmont Hotel à Washington.
Dès le début, le ton était donné, d’abord par Jean-Louis Baroux, incontestable maître des lieux, épaulé par Sandrine de Saint Sauveur, sa fille dans la vraie vie, mais intransigeante Présidente d’APG Inc.
Nous reviendrons tout au long de la semaine sur les débats, de grande tenue, mais parfois un peu musclés.
A signaler que la France était représentée par Raoul Nabet, pour l’Apst. On peu d’ailleurs regretter que le Snav, invité, n’ait pas souhaité envoyer un représentant, surtout que le thème abordé concerne au premier chef les agences de voyages européennes. Une question de langage, parait-il. Il est vrai que tout se passe en anglais, mais c’est le monde d’aujourd’hui !
Les achats effectués sur internet représentent plus de 50% des réservations
Dans un brillante intervention, Pierre Janniot, un « vieux » professionnel de l’aérien, directeur général de IATA pendant plus de dix années, posait les vraies questions et tentait d’expliquer la « nouvelle donne », non seulement du transport aérien, mais de son mode de distribution.
Soulignant quasiment que les compagnies « traditionnelles » (legacy en anglais) contribué, à leur manière, à favoriser l’arrivée des compagnies low cost et, en quelque sorte, creuser leurs propres tombes dans le transport court et moyen courrier… en attendant la venue de low cost sur le long courrier.
Pierre Janniot ne manquait pas non plus de signaler également la ténacité et l’émergence des compagnies du Golfe, ainsi que l’émergence de certains pays asiatique dont le transport aérien va croissant.
Quant à la distribution, Pierre Jeanniot est clair : les achats effectués sur internet représentent plus de 50% des réservations ; De quoi réfléchir et surtout trouver de nouvelles conceptions de distribution ».
Soulignant quasiment que les compagnies « traditionnelles » (legacy en anglais) contribué, à leur manière, à favoriser l’arrivée des compagnies low cost et, en quelque sorte, creuser leurs propres tombes dans le transport court et moyen courrier… en attendant la venue de low cost sur le long courrier.
Pierre Janniot ne manquait pas non plus de signaler également la ténacité et l’émergence des compagnies du Golfe, ainsi que l’émergence de certains pays asiatique dont le transport aérien va croissant.
Quant à la distribution, Pierre Jeanniot est clair : les achats effectués sur internet représentent plus de 50% des réservations ; De quoi réfléchir et surtout trouver de nouvelles conceptions de distribution ».
"Le client doit être votre focus"
Car, explique-t-il, les clients ont changé la donne, mais ce n’est pas une question de prix. Le client veut des produits en rapport avec ses attentes. Et, pour cela, les distributeurs doivent avoir accès, via les GDS, à toute la gamme de produits offerts par les compagnies aériennes.
Ainsi, explique-t-il, le distributeur deviendra un véritable conseiller et prescripteur pour son client, au plus grand bénéfice de la compagnie aérienne qui aura offert l’accès à ses services ».
CQFD. Tout ceci d’ailleurs pour conclure à l’adresse des compagnies aériennes : « le client doit être votre focus ». Certes. Il était simplement temps de s’en apercevoir…
Mais restait le fin du fin. Dans sa conclusion et je cite, Pierre Jeanniot adresse un message clair: "Il est temps que les compagnies aériennes changent leur stratégie. Il est temps de se refocaliser sur les attentes du consmmateur. Et, peut-être que la quête des compagnies aérienne à la recherche d'un profit durable pourrait passer par une alliance forte avec les agents de voyages"?
Et pourquoi pas ?
DG depuis Washington DC
Ainsi, explique-t-il, le distributeur deviendra un véritable conseiller et prescripteur pour son client, au plus grand bénéfice de la compagnie aérienne qui aura offert l’accès à ses services ».
CQFD. Tout ceci d’ailleurs pour conclure à l’adresse des compagnies aériennes : « le client doit être votre focus ». Certes. Il était simplement temps de s’en apercevoir…
Mais restait le fin du fin. Dans sa conclusion et je cite, Pierre Jeanniot adresse un message clair: "Il est temps que les compagnies aériennes changent leur stratégie. Il est temps de se refocaliser sur les attentes du consmmateur. Et, peut-être que la quête des compagnies aérienne à la recherche d'un profit durable pourrait passer par une alliance forte avec les agents de voyages"?
Et pourquoi pas ?
DG depuis Washington DC