L’UNESCO a pris en compte les sites culturels majeurs d’Al Ain, ainsi que l’importance historique, géologique et archéologiques d’autres lieux à travers la ville, qui était au cœur des échanges commerciaux effectués entre la Mésopotamie et les Emirats, 3 000 ans avant notre ère.
Ces sites incluent le Jebel Hafit, dont les 1 249 mètres en font le plus haut sommet de l’émirat, depuis lequel on peut voir toute la ville. Ce site s’enorgueillit aussi de la présence dans ses contreforts de 500 tombes remontant à plus de 5 000 ans.
La liste comprend par ailleurs les sites de Al Hili, sortant de l’âge de bronze et de fer ; les tombes de la zone de Bida Bin Saud ; ainsi que les anciennes Oasis d’Al Ain dans lesquelles on retrouve le système traditionnel Al Falaj qui irriguait les palmeraies et les fermes.
« Al Ain témoigne de l’occupation humaine sédentarisée dans une région désertique depuis le néolithique, avec de nombreux vestiges des cultures préhistoriques », a déclaré l’UNESCO.
Ces sites incluent le Jebel Hafit, dont les 1 249 mètres en font le plus haut sommet de l’émirat, depuis lequel on peut voir toute la ville. Ce site s’enorgueillit aussi de la présence dans ses contreforts de 500 tombes remontant à plus de 5 000 ans.
La liste comprend par ailleurs les sites de Al Hili, sortant de l’âge de bronze et de fer ; les tombes de la zone de Bida Bin Saud ; ainsi que les anciennes Oasis d’Al Ain dans lesquelles on retrouve le système traditionnel Al Falaj qui irriguait les palmeraies et les fermes.
« Al Ain témoigne de l’occupation humaine sédentarisée dans une région désertique depuis le néolithique, avec de nombreux vestiges des cultures préhistoriques », a déclaré l’UNESCO.