En gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne), un train a déraillé, ce vendredi 12 juillet 2013 à 17h15.
L'accident a fait au moins 6 victimes, 22 blessés graves et 17 blessés légers. Et, selon Manuel Valls, Ministre de l'Intérieur, le bilan va "sans doute s'alourdir". Les secours continuent d'intervenir sur place.
350 passagers se trouvaient à bord. Des habitués et des vacanciers. Le train Intercités venait de partir, à 16h53, de la gare d'Austerlitz, à Paris, en direction de Limoges.
François Hollande, Président de la République, vient d'arriver sur place "pour constater l'étendue du drame et apporter son soutien aux services de secours et de l'État qui travaillent sur place", dit un communiqué de l'Élysée.
Le président de la SNCF, Guillaume Pépy, évoque, en larmes "une catastrophe ferroviaire". Les raisons de l'accident ne sont pas encore connues. Mais "un choc" de nature indéterminée aurait pu provoquer le déraillement, annonce le Président de la République..
"Le train est arrivé à grande vitesse. Il a été séparé en deux pour une raison encore inconnue. Une partie du train a continué à rouler tandis qu'une autre s'est couchée sur le flanc sur le quai", indique une source policière citée par l'AFP.
"Trois enquêtes sont diligentés", ajoute François Hollande sur Europe 1. Une par la justice, une par la SNCF, une par le Ministère des Transports.
Le trafic est interrompu au départ et à l'arrivée de la gare d'Austerlitz à Paris. Sur la ligne, la circulation des trains sera fortement ralentie pendant trois jours au moins. De lourds travaux doivent y être menés.
L'accident a fait au moins 6 victimes, 22 blessés graves et 17 blessés légers. Et, selon Manuel Valls, Ministre de l'Intérieur, le bilan va "sans doute s'alourdir". Les secours continuent d'intervenir sur place.
350 passagers se trouvaient à bord. Des habitués et des vacanciers. Le train Intercités venait de partir, à 16h53, de la gare d'Austerlitz, à Paris, en direction de Limoges.
François Hollande, Président de la République, vient d'arriver sur place "pour constater l'étendue du drame et apporter son soutien aux services de secours et de l'État qui travaillent sur place", dit un communiqué de l'Élysée.
Le président de la SNCF, Guillaume Pépy, évoque, en larmes "une catastrophe ferroviaire". Les raisons de l'accident ne sont pas encore connues. Mais "un choc" de nature indéterminée aurait pu provoquer le déraillement, annonce le Président de la République..
"Le train est arrivé à grande vitesse. Il a été séparé en deux pour une raison encore inconnue. Une partie du train a continué à rouler tandis qu'une autre s'est couchée sur le flanc sur le quai", indique une source policière citée par l'AFP.
"Trois enquêtes sont diligentés", ajoute François Hollande sur Europe 1. Une par la justice, une par la SNCF, une par le Ministère des Transports.
Le trafic est interrompu au départ et à l'arrivée de la gare d'Austerlitz à Paris. Sur la ligne, la circulation des trains sera fortement ralentie pendant trois jours au moins. De lourds travaux doivent y être menés.