Les syndicats représentant les agents de sûreté aéroportuaire qui avait entamé des négociations avec le patronat suite à leur mouvement de grève de 11 jours en décembre 2011, ont estimé, mardi 27 mars 2012, que les discussions étaient dans "l’impasse", selon l'Agence France Presse (AFP).
Ils avaient signé un protocole de sortie de crise sur la base de propositions formulés par le syndicat des entreprises de sûreté aérienne et aéroportuaire (Sesa, représentant du patronat). Elles prévoyaient notamment l’augmentation de la prime annuelle.
Or selon la fédération FO, CFTC, CFDT et Unsa, le Sesa est revenu sur les conditions d’attribution de cette prime. "Le patronat se moque des salariés en reprenant d’une main ce qu’il a lâché de l’autre lorsqu’il se trouvait sous la pression", estime la CGT.
Si les patrons ne changent pas de ligne de conduite, les syndicats envisagent de déposer un recours en justice ou un nouvel appel à la grève.
Ils avaient signé un protocole de sortie de crise sur la base de propositions formulés par le syndicat des entreprises de sûreté aérienne et aéroportuaire (Sesa, représentant du patronat). Elles prévoyaient notamment l’augmentation de la prime annuelle.
Or selon la fédération FO, CFTC, CFDT et Unsa, le Sesa est revenu sur les conditions d’attribution de cette prime. "Le patronat se moque des salariés en reprenant d’une main ce qu’il a lâché de l’autre lorsqu’il se trouvait sous la pression", estime la CGT.
Si les patrons ne changent pas de ligne de conduite, les syndicats envisagent de déposer un recours en justice ou un nouvel appel à la grève.