Si le trafic global de l’aéroport de Nice a progressé de 8,5 % en 2011 avec 10 411 000 pax, celui traité par Air France n’évolue que de 1,7 % avec 2 874 132 pax.
Pire, l’écart se resserre avec son challenger Easyjet qui, grâce à un taux de croissance de +18,1%, a traité 2 304 398 pax.
Si la tendance se poursuit en 2012, la compagnie low cost pourrait bien devenir premier opérateur sur la première plate-forme de province.
Plus qu’une évolution ce serait une révolution.
Reste l’inconnu de l’impact de la création des bases d’Easyjet et d’Air France au printemps.
Pire, l’écart se resserre avec son challenger Easyjet qui, grâce à un taux de croissance de +18,1%, a traité 2 304 398 pax.
Si la tendance se poursuit en 2012, la compagnie low cost pourrait bien devenir premier opérateur sur la première plate-forme de province.
Plus qu’une évolution ce serait une révolution.
Reste l’inconnu de l’impact de la création des bases d’Easyjet et d’Air France au printemps.
Air France devrait ajuster son offre
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Pour l’instant, la base Air France n’annonce que 6 nouvelles lignes à raison de 3 fréquences par semaine (Barcelone, Athènes, Istanbul, Tel Aviv, Venise) ou 2 fréquences (Naples).
Mais la compagnie nationale - comme elle l’a fait à Marseille - adaptera son réseau au fur et à mesure que ses concurrents dévoileront leur programme été.
Sur Nice-Barcelone, Vueling, par exemple, a déjà annoncé la couleur en annonçant la mise en quotidien de son vol vers la capitale catalane dès juin alors qu’au départ il ne prévoyait que 3 ou 4 vols par semaine.
Air France ne propose pour l’instant que 22 destinations, contre 24 pour son challenger Easyjet qui met en service de nouvelles liaisons (Lille, Barcelone, Venise, Naples, Nantes, Bordeaux et Toulouse).
La compagnie low cost qui basera un appareil pourrait dévoiler au dernier moment d’autres ouvertures en s’appuyant sur ses multiples bases européennes.
Reste que cette offensive aérienne fera au moins des heureux, en l’occurrence les Azuréens qui pourront bénéficier de nouvelles destinations avec des tarifs très compétitifs.
Mais la compagnie nationale - comme elle l’a fait à Marseille - adaptera son réseau au fur et à mesure que ses concurrents dévoileront leur programme été.
Sur Nice-Barcelone, Vueling, par exemple, a déjà annoncé la couleur en annonçant la mise en quotidien de son vol vers la capitale catalane dès juin alors qu’au départ il ne prévoyait que 3 ou 4 vols par semaine.
Air France ne propose pour l’instant que 22 destinations, contre 24 pour son challenger Easyjet qui met en service de nouvelles liaisons (Lille, Barcelone, Venise, Naples, Nantes, Bordeaux et Toulouse).
La compagnie low cost qui basera un appareil pourrait dévoiler au dernier moment d’autres ouvertures en s’appuyant sur ses multiples bases européennes.
Reste que cette offensive aérienne fera au moins des heureux, en l’occurrence les Azuréens qui pourront bénéficier de nouvelles destinations avec des tarifs très compétitifs.