Jean-Pierre Mas n'a pas réussi le pari de réformer le Réseau en ''60 jours''
En novembre dernier alors que débute la Convention d’Assouan en Egypte, Afat Voyages est au bord de l’implosion. Le réseau bruisse des plus folles rumeurs. Jean-Pierre Mas veut "tordre le cou" aux bruits de couloir sur la santé financière de la Cofat, les rémunérations des présidents des sociétés filiales et bien d’autres choses.
Il se donne « 60 jours » pour tout remettre à plat et engager le réseau sur une nouvelle voie. Le délai semble court mais le président d’Afat convaincu et convaincant. Le message passe et les participants repartent non seulement avec la promesse d’une « grande lessive » mais également d’une quasi garantie de « remboursement » puisque le président s’engage à mettre en jeu son mandat si d’aventure on s’avise de lui mettre des bâtons dans les roues.
Le chantier ne semble guère avoir avancé
Un audit interne valide les options annoncées : la lourdeur des sociétés filiales, les rémunérations de leurs dirigeants, etc. Il en prend acte et annonce parmi d'autres mesures la nomination d’un directeur général.
Jean-Pierre Mas a-t-il sous estimé l’ampleur de la tâche ? Toujours est-il que au fur et à mesure des semaines et des mois, le chantier ne semble guère avoir avancé. La dissolution des SAS a été abordée dernièrement dans le cadre de l’AG d’Afat Entreprises, ainsi que nous l’écrivions hier. Afat Ressources et Afat NT, qui afficheraient (surtout pour la dernière) des déficits conséquents, seraient absorbées par l’entité Afat Entreprises.
En revanche, le recrutement d’un directeur général n’est plus à l’ordre du jour depuis pas mal de temps déjà. Le réseau opterait plutôt pour une scission du poste en recrutant un directeur de réseau et un secrétaire général. L’appel à candidatures pour le premier arrivait d’ailleurs à échéance au 31 mars dernier.
L’heureux (se) élu (e) sera-t-il (elle) connu (e) aujourd’hui ? Difficile à dire. En revanche, une chose est certaine : le mécontentement de la base. Il reste à savoir comment se traduira-t-il au niveau des élections des délégations régionales.
Administrateurs régionaux : 16 sièges sur 22 en jeu
En effet, selon nos informations, lors de cette AG, seront réélus les administrateurs régionaux et un poste d'administrateur national sera également à pourvoir. Ce sont donc 16 sièges sur 22 qui seront en jeu.
Ensuite, lors de la proclamation des résultats, le nouveau Conseil d'Administration se réunira pour élire un Comité Exécutif composé de 8 membres qui procéderont à l'élection d'un président (et accessoirement de 2 vice-présidents, 1 trésorier et 1 secrétaire).
Cette élection comporte-t-elle un risque pour le président en exercice ? « Ce n’est pas impossible mais ça semble peu probable, estime un adhérent. Cela supposerait une organisation qui, à ma connaissance, n’a pas été mise en place… »
Réponse donc d’ici quelques heures.
Il se donne « 60 jours » pour tout remettre à plat et engager le réseau sur une nouvelle voie. Le délai semble court mais le président d’Afat convaincu et convaincant. Le message passe et les participants repartent non seulement avec la promesse d’une « grande lessive » mais également d’une quasi garantie de « remboursement » puisque le président s’engage à mettre en jeu son mandat si d’aventure on s’avise de lui mettre des bâtons dans les roues.
Le chantier ne semble guère avoir avancé
Un audit interne valide les options annoncées : la lourdeur des sociétés filiales, les rémunérations de leurs dirigeants, etc. Il en prend acte et annonce parmi d'autres mesures la nomination d’un directeur général.
Jean-Pierre Mas a-t-il sous estimé l’ampleur de la tâche ? Toujours est-il que au fur et à mesure des semaines et des mois, le chantier ne semble guère avoir avancé. La dissolution des SAS a été abordée dernièrement dans le cadre de l’AG d’Afat Entreprises, ainsi que nous l’écrivions hier. Afat Ressources et Afat NT, qui afficheraient (surtout pour la dernière) des déficits conséquents, seraient absorbées par l’entité Afat Entreprises.
En revanche, le recrutement d’un directeur général n’est plus à l’ordre du jour depuis pas mal de temps déjà. Le réseau opterait plutôt pour une scission du poste en recrutant un directeur de réseau et un secrétaire général. L’appel à candidatures pour le premier arrivait d’ailleurs à échéance au 31 mars dernier.
L’heureux (se) élu (e) sera-t-il (elle) connu (e) aujourd’hui ? Difficile à dire. En revanche, une chose est certaine : le mécontentement de la base. Il reste à savoir comment se traduira-t-il au niveau des élections des délégations régionales.
Administrateurs régionaux : 16 sièges sur 22 en jeu
En effet, selon nos informations, lors de cette AG, seront réélus les administrateurs régionaux et un poste d'administrateur national sera également à pourvoir. Ce sont donc 16 sièges sur 22 qui seront en jeu.
Ensuite, lors de la proclamation des résultats, le nouveau Conseil d'Administration se réunira pour élire un Comité Exécutif composé de 8 membres qui procéderont à l'élection d'un président (et accessoirement de 2 vice-présidents, 1 trésorier et 1 secrétaire).
Cette élection comporte-t-elle un risque pour le président en exercice ? « Ce n’est pas impossible mais ça semble peu probable, estime un adhérent. Cela supposerait une organisation qui, à ma connaissance, n’a pas été mise en place… »
Réponse donc d’ici quelques heures.