La Carte de Fidélité d’Afat Voyages tourne d’ores et déjà dans quelques agences test. Le principe est celui de tous les titres du même type : séduire, attirer et fidéliser le client en le récompensant.
Mais le concept va plus loin : en effet, il fonctionne aussi avec les prospects rencontrés lors de tel ou tel salon. « Vous pouvez l’offrir à vos clients mais en faire aussi un outil de marketing en l’offrant à vos prospects avant même leur premier achat… »
Comment ça marche ? Dès la souscription à l’offre de base qui coûte 200 euros (une fois pour toutes), on peut y importer ses adresses bien sûr mais aussi y introduire les nouveaux clients.
Ce forfait comprend la création de la base de données, l’hébergement, la maintenance et l’assistance, les mises à jour et l’impression de 200 cartes personnalisées au nom de l’agence. La carte supplémentaire sera facturée 0,70 c d’euro.
Aussitôt l’inscription acquise, le client va recevoir un courrier de bienvenue, lui annonçant son crédit de points de fidélité, avec son login et son mot de passe lui permettant ensuite de se connecter à son espace personnel, bientôt disponible sur le site B2C du réseau.
Dans le courriel figurera aussi l’adresse internet (le cas échéant) du mini site web de l’agence. Il pourra s’adresser directement à son agence et même lui formuler des demandes de voyages dans un formulaire spécifique.
Chaque euro dépensé rapporte 1 point
Lorsque le client achète un voyage, chaque euro dépensé lui rapportera 1 point. Avec 100 points il bénéficiera par conséquent de 2 euros de réduction. Il faut au minimum 3000 points accumulés pour pouvoir utiliser son crédit.
Dans les conditions générales, le Réseau toulousain à « bordé » un certain nombre de points : le système ne fonctionne que pour les achats dans les agences « physiques » et il n’est pas applicable à l’hôtellerie, aux vols secs et à des prestations achetées séparément.
Et on peut parfaitement imaginer des opérations de promotion avec des partenaires tels des loueurs auto qui offriraient des points à des clients qui les choisiraient plutôt qu’un autre dans le cadre d’un forfait.
Pour autant, le système n’est pas « propriétaire » comme rappelle R. Hérédia. « Les conditions générales n’excluent pas une certaine souplesse. En effet, l’agence reste maître d’une partie du jeu et peut parfaitement envisager, même dans le cadre d’un vol sec, de faire plaisir à un gros client en lui attribuant des points ».
L’intérêt de cette carte qui devrait être opérationnelle en janvier prochain, est de s’interfacer avec le système de CRM à venir d’autres prestataires qu’Afat choisira dans l’avenir pour abonder l’offre.
Mais le concept va plus loin : en effet, il fonctionne aussi avec les prospects rencontrés lors de tel ou tel salon. « Vous pouvez l’offrir à vos clients mais en faire aussi un outil de marketing en l’offrant à vos prospects avant même leur premier achat… »
Comment ça marche ? Dès la souscription à l’offre de base qui coûte 200 euros (une fois pour toutes), on peut y importer ses adresses bien sûr mais aussi y introduire les nouveaux clients.
Ce forfait comprend la création de la base de données, l’hébergement, la maintenance et l’assistance, les mises à jour et l’impression de 200 cartes personnalisées au nom de l’agence. La carte supplémentaire sera facturée 0,70 c d’euro.
Aussitôt l’inscription acquise, le client va recevoir un courrier de bienvenue, lui annonçant son crédit de points de fidélité, avec son login et son mot de passe lui permettant ensuite de se connecter à son espace personnel, bientôt disponible sur le site B2C du réseau.
Dans le courriel figurera aussi l’adresse internet (le cas échéant) du mini site web de l’agence. Il pourra s’adresser directement à son agence et même lui formuler des demandes de voyages dans un formulaire spécifique.
Chaque euro dépensé rapporte 1 point
Lorsque le client achète un voyage, chaque euro dépensé lui rapportera 1 point. Avec 100 points il bénéficiera par conséquent de 2 euros de réduction. Il faut au minimum 3000 points accumulés pour pouvoir utiliser son crédit.
Dans les conditions générales, le Réseau toulousain à « bordé » un certain nombre de points : le système ne fonctionne que pour les achats dans les agences « physiques » et il n’est pas applicable à l’hôtellerie, aux vols secs et à des prestations achetées séparément.
Et on peut parfaitement imaginer des opérations de promotion avec des partenaires tels des loueurs auto qui offriraient des points à des clients qui les choisiraient plutôt qu’un autre dans le cadre d’un forfait.
Pour autant, le système n’est pas « propriétaire » comme rappelle R. Hérédia. « Les conditions générales n’excluent pas une certaine souplesse. En effet, l’agence reste maître d’une partie du jeu et peut parfaitement envisager, même dans le cadre d’un vol sec, de faire plaisir à un gros client en lui attribuant des points ».
L’intérêt de cette carte qui devrait être opérationnelle en janvier prochain, est de s’interfacer avec le système de CRM à venir d’autres prestataires qu’Afat choisira dans l’avenir pour abonder l’offre.
Mille Voyages : « Faudrait en faire bénéficier les clients Internet »
Holguin (Cuba)
Gilles Portier, patron de Mille Voyages, accueille de manière très « positive » l’instauration d’une carte de fidélité. Cela représente un « coût négligeable » par rapport aux affaires que ça pourrait générer.
En revanche, il souhaiterait que l’on élargisse le concept à tous les clients y compris les Internautes. Quitte à ce que ce soit à un barême inférieur au niveau des points. « Si un client Internaute se manifeste il faut aussi avoir la possibilité de pouvoir le fidéliser. »
Par ailleurs, il plaide pour une globalisation de l’ensemble des coûts annexes engendrés par les différents services du Réseau dans une cotisation unique. « Je trouverait normal que le prix de la cotisation augmente de manière conséquente mais cela permettrait de faire bénéficier l’ensemble des adhérents de tous les services. A quoi servira une carte de fidélité si seulement une cinquantaine d’agences l’adoptent ? »
En revanche, il souhaiterait que l’on élargisse le concept à tous les clients y compris les Internautes. Quitte à ce que ce soit à un barême inférieur au niveau des points. « Si un client Internaute se manifeste il faut aussi avoir la possibilité de pouvoir le fidéliser. »
Par ailleurs, il plaide pour une globalisation de l’ensemble des coûts annexes engendrés par les différents services du Réseau dans une cotisation unique. « Je trouverait normal que le prix de la cotisation augmente de manière conséquente mais cela permettrait de faire bénéficier l’ensemble des adhérents de tous les services. A quoi servira une carte de fidélité si seulement une cinquantaine d’agences l’adoptent ? »