De gauche à droite : Franck Kilbourn, Président du CA de South African Tourism, Marthinus van Schalkwyk, le Ministre sud-africain du Tourisme, Linda Sangaret, directrice de l’OT à Paris, et Thulani Nzima, Pdg de South African Tourism - DR
L’Afrique du Sud semble plutôt satisfaite de son année sur le marché français.
Sur les 9 premiers mois de 2013, la destination a accueilli 91 300 Français, soit une hausse de 7,6% par rapport à la même période de 2012.
Et les 3 derniers mois de l’année devraient venir confirmer cette croissance en atteignant les 130 000 visiteurs hexagonaux, soit un nouveau record après les 122 200 clients enregistrés en 2012.
De quoi maintenir la France au 3ème rang des marchés émetteurs européens, derrière la Grande Bretagne et l’Allemagne.
Sur les 9 premiers mois de 2013, la destination a accueilli 91 300 Français, soit une hausse de 7,6% par rapport à la même période de 2012.
Et les 3 derniers mois de l’année devraient venir confirmer cette croissance en atteignant les 130 000 visiteurs hexagonaux, soit un nouveau record après les 122 200 clients enregistrés en 2012.
De quoi maintenir la France au 3ème rang des marchés émetteurs européens, derrière la Grande Bretagne et l’Allemagne.
L’Europe et la France restent des marchés importants
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Cela étant, pour le gouvernement sud-africain, le tourisme est un tel levier de développement économique, en terme de recettes financières, d’échanges commerciaux ou de création d’emplois, que le pays va redoubler d’efforts auprès de tous ces différents marchés sources, la France en particulier, pour développer davantage sa fréquentation internationale.
« Même si nous mettons l’accent sur les pays émergents et l’Afrique, où le potentiel à moyen terme est énorme, » rassure Marthinus van Schalkwyk, le Ministre sud-africain du Tourisme, de passage à Paris après avoir inauguré un bureau marketing à Lagos, au Nigéria, « nous n’avons pas l’intention de négliger l’Europe et nos marchés traditionnels, dont la France qui affiche une progression relativement régulière depuis plusieurs années. »
« Même si nous mettons l’accent sur les pays émergents et l’Afrique, où le potentiel à moyen terme est énorme, » rassure Marthinus van Schalkwyk, le Ministre sud-africain du Tourisme, de passage à Paris après avoir inauguré un bureau marketing à Lagos, au Nigéria, « nous n’avons pas l’intention de négliger l’Europe et nos marchés traditionnels, dont la France qui affiche une progression relativement régulière depuis plusieurs années. »
IFTM Top résa : réponse au mois d’avril
Après le succès de « La saison Sud-Africaine en France », une série d’événements culturels qui s’est achevée en décembre dernier, le pays espère avoir montré à nos compatriotes qu’il n’était pas seulement une destination de safari.
« Cette année, nous allons donc communiquer sur les cultures et les populations d’Afrique du Sud », précise ainsi Linda Sangaret, la directrice de l’OT à Paris, en évoquant des campagnes de promotion dans le métro ou le cinéma, notamment, où le public est plus réceptif qu’à la télévision.
Pour les professionnels, la directrice de l’OT envisage l’organisation d’éductours et de roadshows.
En revanche, il faudra attendre le début de son exercice 2014-2015, en avril prochain, pour savoir quelle sera la présence de l’Afrique du Sud dans les différentes manifestations touristiques, sur l’IFTM Top Résa par exemple…
« Cette année, nous allons donc communiquer sur les cultures et les populations d’Afrique du Sud », précise ainsi Linda Sangaret, la directrice de l’OT à Paris, en évoquant des campagnes de promotion dans le métro ou le cinéma, notamment, où le public est plus réceptif qu’à la télévision.
Pour les professionnels, la directrice de l’OT envisage l’organisation d’éductours et de roadshows.
En revanche, il faudra attendre le début de son exercice 2014-2015, en avril prochain, pour savoir quelle sera la présence de l’Afrique du Sud dans les différentes manifestations touristiques, sur l’IFTM Top Résa par exemple…