
Le tableau n’est pas réjouissant : la perte de la moitié de la valeur de l’action, un endettement trop important de 6 milliards d’euros, un premier trimestre dans le rouge...
« Nous avions demandé à la direction de nous prévenir quand les choses allaient mal. C’est ce qu’ils ont fait ce matin », commentait hier après-midi un représentant de l’UNAC, le syndicat des PNC.
« Mais », ajoutait-il, « nous n’avons rien appris que nous ne sachions déjà ».
Et le tableau n’est pas réjouissant : la perte de la moitié de la valeur de l’action, un endettement trop important de 6 milliards d’euros, un premier trimestre dans le rouge à -197 millions d’euros alors que les concurrents Lufthansa et IAG (BA/IB) sont restés bénéficiaires, une inquiétude sur l’impact de la crise économique mondiale sur le trafic à venir.
Dans ces conditions, il sera difficile de se passer de l’obligation de faire monter en puissance le plan d’économie en cours.
« Mais », ajoutait-il, « nous n’avons rien appris que nous ne sachions déjà ».
Et le tableau n’est pas réjouissant : la perte de la moitié de la valeur de l’action, un endettement trop important de 6 milliards d’euros, un premier trimestre dans le rouge à -197 millions d’euros alors que les concurrents Lufthansa et IAG (BA/IB) sont restés bénéficiaires, une inquiétude sur l’impact de la crise économique mondiale sur le trafic à venir.
Dans ces conditions, il sera difficile de se passer de l’obligation de faire monter en puissance le plan d’économie en cours.
Le tribunal de Bobigny, saisi par plusieurs syndicats
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Mais sur les éventuelles mesures pour redresser la situation, les indications sont restées vagues : le gel, autant que faire se peut, des recrutements, un contrôle plus strict de l’appel aux intérimaires, une réflexion sur le recours à la sous-traitance mais pas de plan de sauvegarde de l’emploi… pour l’instant.
Air France devrait également revoir à la baisse ses capacités et son offre sur l’hiver comme sur l’été 2012.
Le patron d’Air France doit également faire face à la pression des Hollandais de plus en plus impatients des contre-performances de son partenaire français.
Et il ne manquerait plus que le tribunal de Bobigny, saisi par plusieurs syndicats, rende une décision défavorable au démarrage de base de province de Marseille…
Air France devrait également revoir à la baisse ses capacités et son offre sur l’hiver comme sur l’été 2012.
Le patron d’Air France doit également faire face à la pression des Hollandais de plus en plus impatients des contre-performances de son partenaire français.
Et il ne manquerait plus que le tribunal de Bobigny, saisi par plusieurs syndicats, rende une décision défavorable au démarrage de base de province de Marseille…