IATA craint une défaillance d’Air Madagascar depuis que les B-767 ont été placés sur liste noire par l’Union européenne. C’est ainsi que la compagnie ne fait plus partie du BSP France depuis vendredi dernier.
En application de la résolution 840 des textes IATA, la compagnie malgache est passée du niveau A au niveau B - ce qui techniquement nécessiterait qu’elle assure un deposit important pour continuer à adhérer au BSP.
Une précaution pour IATA qui ne verrait pas les paiements des agents de voyages bloqués par le SNAV, par exemple, comme cela a pu se passer avec d’autres compagnies défaillantes.
Air Madagascar contourne la difficulté en faisant passer les émissions des agences par l’étape écran de Hahn Air, la plate-forme d’émission européenne qui est également membre du BSP France.
En cas de défaillance d’Air Madagascar, ce serait alors Hahn Air qui serait redevable auprès d’IATA.
En application de la résolution 840 des textes IATA, la compagnie malgache est passée du niveau A au niveau B - ce qui techniquement nécessiterait qu’elle assure un deposit important pour continuer à adhérer au BSP.
Une précaution pour IATA qui ne verrait pas les paiements des agents de voyages bloqués par le SNAV, par exemple, comme cela a pu se passer avec d’autres compagnies défaillantes.
Air Madagascar contourne la difficulté en faisant passer les émissions des agences par l’étape écran de Hahn Air, la plate-forme d’émission européenne qui est également membre du BSP France.
En cas de défaillance d’Air Madagascar, ce serait alors Hahn Air qui serait redevable auprès d’IATA.