L'année commence mal pour le BSP qui enregistre 9,6 millions d’euros d'impayés © badahos - Fotolia.com
L'année commence plus mal que prévu pour le BSP.
La filiale de IATA vient tout juste de faire le point sur le montant de ses impayés pour l'année 2013, et l'ardoise s'avère beaucoup plus importante que prévue.
Au 24 février 2014, il manquait 9,6 millions d’euros dans les caisses, alors qu'elle en prévoyait entre 6,5 et 7 millions début janvier dernier.
Un chiffre qui accumule plusieurs petites sommes entre 100 000 et 200 00 euros, dont le BSP espère récupérer une partie dans les prochaines semaines.
Mais cette tendance haussière reste gênante et incite l'organisation à travailler sur le renforcement de la sévérité de ses critères.
Elle compte engager une réflexion avec le SNAV dans le courant de l'année.
La filiale de IATA vient tout juste de faire le point sur le montant de ses impayés pour l'année 2013, et l'ardoise s'avère beaucoup plus importante que prévue.
Au 24 février 2014, il manquait 9,6 millions d’euros dans les caisses, alors qu'elle en prévoyait entre 6,5 et 7 millions début janvier dernier.
Un chiffre qui accumule plusieurs petites sommes entre 100 000 et 200 00 euros, dont le BSP espère récupérer une partie dans les prochaines semaines.
Mais cette tendance haussière reste gênante et incite l'organisation à travailler sur le renforcement de la sévérité de ses critères.
Elle compte engager une réflexion avec le SNAV dans le courant de l'année.
Les ventes par carte de crédit en augmentation
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D'autant plus que les premières tendances en ce début 2014 sont loin d'être excellentes.
En janvier dernier, le chiffre d'affaires brut hors taxes (notamment la très controversée YQ) s'élève à 574 M€, soit une baisse de 2% par rapport à l'an dernier.
Le nombre de documents émis reste stable à 1,927 million, ce qui signifie que le prix moyen du ticket continue à chuter.
De plus, la part des ventes par cartes de crédit passée de 24% en janvier 2013 à 26% le mois dernier.
Les agences de voyages sont de plus en plus nombreuses à entrer directement le numéro de carte bleue de leur client afin qu'il soit directement débité et que l'argent ne transite pas par leurs caisses.
Un système qui leur permet d'éviter le versement de garanties bancaires trop élevées.
Cette tendance prouve également la meilleure tenue du trafic affaires, où les clients sont très nombreux à utiliser une carte de crédit, mais surtout leur carte logée.
En janvier dernier, le chiffre d'affaires brut hors taxes (notamment la très controversée YQ) s'élève à 574 M€, soit une baisse de 2% par rapport à l'an dernier.
Le nombre de documents émis reste stable à 1,927 million, ce qui signifie que le prix moyen du ticket continue à chuter.
De plus, la part des ventes par cartes de crédit passée de 24% en janvier 2013 à 26% le mois dernier.
Les agences de voyages sont de plus en plus nombreuses à entrer directement le numéro de carte bleue de leur client afin qu'il soit directement débité et que l'argent ne transite pas par leurs caisses.
Un système qui leur permet d'éviter le versement de garanties bancaires trop élevées.
Cette tendance prouve également la meilleure tenue du trafic affaires, où les clients sont très nombreux à utiliser une carte de crédit, mais surtout leur carte logée.