Le nouveau site de Bdv.fr
Nouveau look, nouveau design... la bourse des voyages vient de lancer une nouvelle version de son site Internet www.bdv.fr.
Et le premier changement porte, sur la charte graphique : "Nous avons effectué une refonte graphique, et modifié nos éléments de navigations avec un système d'onglets. Nous nous sommes adaptés au standard du web actuel" précise Fabrice Dariot, président directeur général et fondateur de l'agence de voyages en ligne.
Autre nouveauté : le moteur de recherche "séjours" a été amélioré avec la possibilité pour l'internaute de cibler mieux et plus vite les offres qui correspondent à sa recherche.
Mise en avant des départs de Province
Enfin, les voyages au départ de la Province ont été mis sur le devant de la scène : "Nous souhaitons développer cet aspect, car il ne faut pas oublier qu'une agence en ligne est visitée par des voyageurs de la France entière. Nous voulons ainsi donner une place plus grande aux départs de Province." souligne Fabrice Cariot.
Grâce à ce petit fifting, Bdv.fr compte bel et bien rester dans le coup. Après un tassement de son activité enregistré le 15 août dernier, le portail affiche quand même une activité en progression. "Même dans un environnement défavorable, avec un automne difficile qui a commencé avec la médiatisation des accidents aériens, nous restons sur une courbe ascendante" explique le PDG.
Toutefois, si la vente de vols secs n'a pas été freinée dans son élan, avec une croissance de 70 % au 3ème trimestre 2005 par rapport à la même période l'an passé, les voyages à forfaits, toujours en hausse, n'enregistrent pas la même croissance (+25%).
"Il nous faut fidéliser l'internaute"
"Les forfaits ont subi un plus gros ralentissement, mais affichent quand même une progression, preuve qu'Internet reste un média porteur" souligne encore Fabrice Dariot.
Pour poursuivre sur sa lancée le site doit rester compétitif. Avec 6 millions de pages vues en moyenne par mois et des pics à 9 millions, Bdv.fr peut se targuer d'une audience à la hausse. Mais comme le fait remarquer son PDG : "La fréquentation grimpe, mais le taux de transformation lui n'augmente pas, preuve que les internautes visitent et comparent les offres sur plusieurs sites avant de franchir le cap de l'achat."
Pour se différencier de ses concurrents, le portail souhaite mettre un grand coup d'accélérateur dans le développement des outils de CRM (gestion de la relation clients) en 2006. "Désormais la recherche d'un nouvel internaute coûte de plus en plus cher, il nous faut donc le fidéliser.. Nous souhaitons ainsi nous démarquer de la concurrence en qualifiant le contact. Il s'agit d'un élément de différenciation, en revenant vers le client et le service."
Internet : www.bdv.fr
Et le premier changement porte, sur la charte graphique : "Nous avons effectué une refonte graphique, et modifié nos éléments de navigations avec un système d'onglets. Nous nous sommes adaptés au standard du web actuel" précise Fabrice Dariot, président directeur général et fondateur de l'agence de voyages en ligne.
Autre nouveauté : le moteur de recherche "séjours" a été amélioré avec la possibilité pour l'internaute de cibler mieux et plus vite les offres qui correspondent à sa recherche.
Mise en avant des départs de Province
Enfin, les voyages au départ de la Province ont été mis sur le devant de la scène : "Nous souhaitons développer cet aspect, car il ne faut pas oublier qu'une agence en ligne est visitée par des voyageurs de la France entière. Nous voulons ainsi donner une place plus grande aux départs de Province." souligne Fabrice Cariot.
Grâce à ce petit fifting, Bdv.fr compte bel et bien rester dans le coup. Après un tassement de son activité enregistré le 15 août dernier, le portail affiche quand même une activité en progression. "Même dans un environnement défavorable, avec un automne difficile qui a commencé avec la médiatisation des accidents aériens, nous restons sur une courbe ascendante" explique le PDG.
Toutefois, si la vente de vols secs n'a pas été freinée dans son élan, avec une croissance de 70 % au 3ème trimestre 2005 par rapport à la même période l'an passé, les voyages à forfaits, toujours en hausse, n'enregistrent pas la même croissance (+25%).
"Il nous faut fidéliser l'internaute"
"Les forfaits ont subi un plus gros ralentissement, mais affichent quand même une progression, preuve qu'Internet reste un média porteur" souligne encore Fabrice Dariot.
Pour poursuivre sur sa lancée le site doit rester compétitif. Avec 6 millions de pages vues en moyenne par mois et des pics à 9 millions, Bdv.fr peut se targuer d'une audience à la hausse. Mais comme le fait remarquer son PDG : "La fréquentation grimpe, mais le taux de transformation lui n'augmente pas, preuve que les internautes visitent et comparent les offres sur plusieurs sites avant de franchir le cap de l'achat."
Pour se différencier de ses concurrents, le portail souhaite mettre un grand coup d'accélérateur dans le développement des outils de CRM (gestion de la relation clients) en 2006. "Désormais la recherche d'un nouvel internaute coûte de plus en plus cher, il nous faut donc le fidéliser.. Nous souhaitons ainsi nous démarquer de la concurrence en qualifiant le contact. Il s'agit d'un élément de différenciation, en revenant vers le client et le service."
Internet : www.bdv.fr
Forte demande sur les réveillons
En cette fête d'année, Bdv.fr constate une forte demande sur les réveillons. Les séjours dans le désert pour fêter la nouvelle année, ont notamment le vent en poupe. De gros points d'interrogations subsistent sur le Mexique.
Plus généralement Fabrice Cariot sent "une réticense globale des français à partir à l'étranger : ces derniers préfèrent globalement rester dans l'Hexagone. Il y a un certains attentisme des français. "
En cette fête d'année, Bdv.fr constate une forte demande sur les réveillons. Les séjours dans le désert pour fêter la nouvelle année, ont notamment le vent en poupe. De gros points d'interrogations subsistent sur le Mexique.
Plus généralement Fabrice Cariot sent "une réticense globale des français à partir à l'étranger : ces derniers préfèrent globalement rester dans l'Hexagone. Il y a un certains attentisme des français. "