Après que l’acteur Benoît Poelvoorde a demandé que les hommes ne se rasent plus (le fameux "Appel au poil") tant que la Belgique sera sans gouvernement, la grève du sexe réclamée par la sénatrice Marleen Temmerman, élue flamande, fait jaser.
Une façon médiatique et humoristique de dire que trop c’est trop.
Rappel du contexte : après les élections législatives du 13 juin 2011, les partis flamands et francophones n'ont toujours pas réussi à former un nouveau gouvernement.
A l’origine de ce blocage, la réforme des institutions du royaume. La population en a ras-le-bol.
Voilà pourquoi, Marleen Temmerman, lance ce coitus interruptus… jusqu’à la grève du sexe. L’idée est on ne peut plus sérieuse. Il s’agit d’inciter les compagnes des négociateurs à refuser de faire l’amour tant qu’ils ne seront pas parvenus à un accord.
La sénatrice précise que c’est lors d’un voyage au Kenya que l’idée s'est imposée : les femmes kenyanes auraient en effet sorti leur pays d’une impasse politique grâce à une grève du sexe particulièrement suivie...
Toute autre initiative est la bienvenue, comme la grève des frites… Voilà qui est vraiment au poils !
Une façon médiatique et humoristique de dire que trop c’est trop.
Rappel du contexte : après les élections législatives du 13 juin 2011, les partis flamands et francophones n'ont toujours pas réussi à former un nouveau gouvernement.
A l’origine de ce blocage, la réforme des institutions du royaume. La population en a ras-le-bol.
Voilà pourquoi, Marleen Temmerman, lance ce coitus interruptus… jusqu’à la grève du sexe. L’idée est on ne peut plus sérieuse. Il s’agit d’inciter les compagnes des négociateurs à refuser de faire l’amour tant qu’ils ne seront pas parvenus à un accord.
La sénatrice précise que c’est lors d’un voyage au Kenya que l’idée s'est imposée : les femmes kenyanes auraient en effet sorti leur pays d’une impasse politique grâce à une grève du sexe particulièrement suivie...
Toute autre initiative est la bienvenue, comme la grève des frites… Voilà qui est vraiment au poils !