C'est aujourd'hui, mercredi 30 novembre 2016, que s'ouvrent les discussions entre les comités d'entreprises (CE) de Transat France et TUI France et la direction du groupe autour de la constitution d'un comité central d'entreprise (CCE).
Elle fera suite à la création de l'unité économique et sociale (UES) validée mardi 22 novembre 2016 dans le cadre du rachat de Transat France par TUI.
Deux réunions sont d'ores et déjà programmées. La première se tiendra ce mercredi à partir de 15 heures au siège social de Transat France, à Ivry dans le Val-de-Marne (94).
Elle sera suivie par un autre rendez-vous prévu vendredi 2 décembre 2016 au siège social de TUI France, à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine (92).
"Nous souhaitons que les choses aillent vite pour que le CCE soit mis en place le plus rapidement possible. Car les groupes de travail du comité d'intégration, eux, sont déjà en place et avancent vite, explique Lazare Razkallah, délégué CGT et secrétaire général du CE de TUI France.
C'est pourquoi, nous espérons trouver un accord avec nos collègues du CE de Transat France pour que la représentativité de chaque syndicat soit respectée. Nous sommes confiants sur ce point."
Elle fera suite à la création de l'unité économique et sociale (UES) validée mardi 22 novembre 2016 dans le cadre du rachat de Transat France par TUI.
Deux réunions sont d'ores et déjà programmées. La première se tiendra ce mercredi à partir de 15 heures au siège social de Transat France, à Ivry dans le Val-de-Marne (94).
Elle sera suivie par un autre rendez-vous prévu vendredi 2 décembre 2016 au siège social de TUI France, à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine (92).
"Nous souhaitons que les choses aillent vite pour que le CCE soit mis en place le plus rapidement possible. Car les groupes de travail du comité d'intégration, eux, sont déjà en place et avancent vite, explique Lazare Razkallah, délégué CGT et secrétaire général du CE de TUI France.
C'est pourquoi, nous espérons trouver un accord avec nos collègues du CE de Transat France pour que la représentativité de chaque syndicat soit respectée. Nous sommes confiants sur ce point."
"La direction a tout intérêt à répondre à nos demandes"
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Du côté de Transat France, le discours est plus nuancé.
"Nous sommes d'accord pour négocier. Il est important d'aller vite pour les salariés qui sont dans une situation compliquée, reconnaît Stéphanie Dayan, déléguée CFDT.
Mais ne confondons pas vitesse et précipitation. Il faut, surtout, que les choses soient bien faites."
Elle rappelle que le CE de Transat France est toujours dans l'attente du rapport du cabinet d'experts-comptables Raisonnances sur le rachat.
Ces deux réunions seront également l'occasion pour les représentants du personnel de négocier avec la direction du groupe sur les moyens alloués au futur CCE, le nombre d'heures de délégation pour ses membres, la pris en charge des frais d'avocat et les déplacements.
"La direction a tout intérêt à répondre favorablement à nos demandes pour qu'un accord soit trouvé vendredi et qu'elle puisse ainsi suivre le calendrier qu'elle s'est fixée", prévient Lazare Razkallah.
Elle compte notamment mettre en place un plan de départs volontaires (PDV) qui doit être porté aux instances représentatives d'ici février 2017.
"Nous sommes d'accord pour négocier. Il est important d'aller vite pour les salariés qui sont dans une situation compliquée, reconnaît Stéphanie Dayan, déléguée CFDT.
Mais ne confondons pas vitesse et précipitation. Il faut, surtout, que les choses soient bien faites."
Elle rappelle que le CE de Transat France est toujours dans l'attente du rapport du cabinet d'experts-comptables Raisonnances sur le rachat.
Ces deux réunions seront également l'occasion pour les représentants du personnel de négocier avec la direction du groupe sur les moyens alloués au futur CCE, le nombre d'heures de délégation pour ses membres, la pris en charge des frais d'avocat et les déplacements.
"La direction a tout intérêt à répondre favorablement à nos demandes pour qu'un accord soit trouvé vendredi et qu'elle puisse ainsi suivre le calendrier qu'elle s'est fixée", prévient Lazare Razkallah.
Elle compte notamment mettre en place un plan de départs volontaires (PDV) qui doit être porté aux instances représentatives d'ici février 2017.