Pascal de Izaguirre, président de TUI France est venu présenter les ambitions de son groupe lundi et mardi, à Fuerteventura et à Lanzarote, en compagnie de Sylvain Gaboriaud, directeur marketing, et de Christophe Fuss, directeur des clubs Marmara - Photo BM
Numéro un sur la quasi-totalité de ses destinations, y compris sur la Tunisie – où les annulations ont été peu nombreuses mais où les réservations sont, comme pour tout le monde, en chute libre – Marmara ne l’est pas encore sur l’Espagne en général et les Canaries en particulier, où la marque vient tout de même de passer du 3e au 2e rang, avec la volonté clairement affichée de conquérir très vite le premier.
C’est sans doute la raison du choix de Pascal de Izaguirre, président de TUI France, venu présenter les ambitions de son groupe lundi et mardi, à Fuerteventura et à Lanzarote, en compagnie de Sylvain Gaboriaud, directeur marketing, et de Christophe Fuss, directeur des clubs Marmara.
Pour se hisser sur la première marche du podium ibérique et poursuivre sa progression sur les Canaries, Marmara, qui a augmenté ses capacités de 41 % cette année, prévoit encore de les doubler l’an prochain.
Un volontarisme qui ne concerne évidemment pas que l’Espagne, puisque la famille Marmara, avec ses 42 unités actuelles, est appelée à s’agrandir, notamment avec l’ouverture annoncée de nouveaux clubs, à commencer, très prochainement par celui des Jardins d’Agadir, classé 4M.
De nouvelles destinations emboîteront le pas, toujours autour du bassin méditerranéen, seules les Antilles se démarquant de la détermination de Marmara à rester sur le moyen-courrier.
S’inscrivant dans l’axe de développement tracé par le Groupe TUI, Pascal de Izaguirre insiste sur les perspectives ouvertes par les nouveaux concepts dits internationaux qui élargissent le portefeuille des offres Marmara et s’annoncent comme de puissants moteurs de croissance.
C’est sans doute la raison du choix de Pascal de Izaguirre, président de TUI France, venu présenter les ambitions de son groupe lundi et mardi, à Fuerteventura et à Lanzarote, en compagnie de Sylvain Gaboriaud, directeur marketing, et de Christophe Fuss, directeur des clubs Marmara.
Pour se hisser sur la première marche du podium ibérique et poursuivre sa progression sur les Canaries, Marmara, qui a augmenté ses capacités de 41 % cette année, prévoit encore de les doubler l’an prochain.
Un volontarisme qui ne concerne évidemment pas que l’Espagne, puisque la famille Marmara, avec ses 42 unités actuelles, est appelée à s’agrandir, notamment avec l’ouverture annoncée de nouveaux clubs, à commencer, très prochainement par celui des Jardins d’Agadir, classé 4M.
De nouvelles destinations emboîteront le pas, toujours autour du bassin méditerranéen, seules les Antilles se démarquant de la détermination de Marmara à rester sur le moyen-courrier.
S’inscrivant dans l’axe de développement tracé par le Groupe TUI, Pascal de Izaguirre insiste sur les perspectives ouvertes par les nouveaux concepts dits internationaux qui élargissent le portefeuille des offres Marmara et s’annoncent comme de puissants moteurs de croissance.
Nouveaux concepts dits internationaux
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Il s’agit, par exemple, des Magic Life, clubs prioritairement dédiés aux sports sous toutes leurs formes. Ou encore des SplashWorld, hôtels avec parc aquatique illimité, deux formules qui font notamment florès aux Canaries, à Fuerteventura pour la première et à Lanzarote pour la seconde.
Celles-là et d’autres, comme les Suneo Clubs, appartiennent, bien entendu, à l’univers TUI et accueillent des vacanciers de différentes nationalités.
Des propositions, à l’évidence, riches de promesses puisqu’elles ont attiré 15.000 clients en 2013, le double l’année suivante et que ce chiffre pourrait dépasser les 50.000 dès cette année.
Preuve qu’au moins une frange de la clientèle française n’exige pas systématiquement un environnement francophone, ces clubs internationaux enregistrent d’appréciables taux de satisfaction et de fidélisation.
Marmara veut d’ailleurs, plus généralement, mieux percer les attentes de sa clientèle club afin d’y coller au plus près. C’est l’objet d’une étude menée par l’institut TNS, dont les premiers éléments bruts ont été présentés mardi, à Lanzarote, par Sylvain Gaboriaud.
Des enseignements en seront tirés lorsqu’elle aura été finement analysée.
D’ores et déjà, elle montre tout de même que la formule club, synonyme de convivialité, de liberté, de rencontres, d’échanges et d’activités, sportives ou autres, a toujours plus d’inconditionnels. Qu’ils partagent leurs vacances avec des compatriotes ou non.
Celles-là et d’autres, comme les Suneo Clubs, appartiennent, bien entendu, à l’univers TUI et accueillent des vacanciers de différentes nationalités.
Des propositions, à l’évidence, riches de promesses puisqu’elles ont attiré 15.000 clients en 2013, le double l’année suivante et que ce chiffre pourrait dépasser les 50.000 dès cette année.
Preuve qu’au moins une frange de la clientèle française n’exige pas systématiquement un environnement francophone, ces clubs internationaux enregistrent d’appréciables taux de satisfaction et de fidélisation.
Marmara veut d’ailleurs, plus généralement, mieux percer les attentes de sa clientèle club afin d’y coller au plus près. C’est l’objet d’une étude menée par l’institut TNS, dont les premiers éléments bruts ont été présentés mardi, à Lanzarote, par Sylvain Gaboriaud.
Des enseignements en seront tirés lorsqu’elle aura été finement analysée.
D’ores et déjà, elle montre tout de même que la formule club, synonyme de convivialité, de liberté, de rencontres, d’échanges et d’activités, sportives ou autres, a toujours plus d’inconditionnels. Qu’ils partagent leurs vacances avec des compatriotes ou non.