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Chez Beachcomber group, toujours des défis à relever

pionnier -et leader- de l’hôtellerie à l’île Maurice


Beachcomber group, pionnier de l’hôtellerie à l’île Maurice célèbre cette année 70 ans d’hospitalité et d’excellence du service, en réaffirmant sa promesse d’être « créateur de bonheur pour les familles en quête d’évasion» et son attachement profond au développement durable.


Rédigé par le Mercredi 21 Septembre 2022

Plusieurs défis attendent Beachcomber group : celui de la digitalisation et celui de s’engager encore davantage en faveur de l’inclusion sociale mais aussi de la préservation de l’environnement et du développement durable - DR
Plusieurs défis attendent Beachcomber group : celui de la digitalisation et celui de s’engager encore davantage en faveur de l’inclusion sociale mais aussi de la préservation de l’environnement et du développement durable - DR
Tout a commencé en 1952. Cette année-là, a ouvert le premier hôtel (40 chambres) à Curepipe sur l’île Maurice. Cet établissement accueillait alors surtout les équipages aériens en escale.

Depuis cette ouverture qui a aussi marqué la naissance de l’hôtellerie mauricienne, la marque Beachcomber a été créée et le groupe Beachcomber Resorts & Hotels a vu le jour : il possède désormais au nord, au sud-ouest et au sud-est de l’île, au bord des plus belles plages de Maurice, huit resorts qui peuvent s’enorgueillir d’afficher un total de 2000 chambres et de 120 000 clients par an.

A lire aussi : L’île Maurice accueillera le prochain congrès des Entreprises du Voyage

Le groupe s’est également étendu au Maroc et aux Seychelles « Nous avons aussi trois voyagistes à l’étranger, notamment Beachcomber Tours à Paris. C’est un de nos plus grands pourvoyeurs de clients sur Maurice », confie Nicolas Staub, directeur commercial de ce groupe. Et qui, dans les années à venir, compte bien se lancer dans la location d’appartements et de villas de luxe.

15% des ventes via la site, 60% via les agences et TO

« De ces soixante dix ans écoulés, tous les Mauriciens peuvent être fiers », assure encore Nicolas Staub. « Bien sûr, confie-t-il, nous nous avons traversé des crises mais nous avons évolué avec notre temps et nous nous sommes adaptés à toutes les tendances ».

Et de préciser : « Nous avons créé le premier palace à Maurice en 1985, le Royal Palm (membre de The Leading Hotels of the World) qui est une référence du luxe dans l’île. Nous avons également créé notre propre marque de voyages –Beachcomber Tours. Enfin, nous avons renforcé notre collaboration avec les principales compagnies aériennes, en priorité Air Mauritius et Air France ».

Logiquement, de nouveaux défis attendent ce groupe, à commencer par celui de la digitalisation. « Notre site Web nous apporte déjà 15 % de notre clientèle, mais les TO et agences de voyages sont toujours à plus de 60 % ».

Un autre défi sera aussi de s’engager encore davantage en faveur de l’inclusion sociale mais aussi de la préservation de l’environnement et du développement durable. Beachcomber Resorts &Hotels qui s’affiche comme un précurseur dans ce domaine à Maurice, a déjà défini une Charte de 52 engagements environnementaux et sociétaux.

Ils incluent aussi bien le traitement et le retraitement de l’eau, la réduction des déchets, le recours à l’énergie solaire ou l’installation de ruches sur ses sites hôteliers. « Nous voulons aller encore plus loin », assure Nicolas Staub, en nous s’associant avec les tours operators et le SETO, afin de « trouver des solutions pour diminuer les traces carbone de nos clients ».

"Il faut que les jeunes Mauriciens conservent ce goût de l’accueil"

Plus délicat pourrait-être de continuer à tenir la promesse d’être « créateur de bonheur pour les familles en quête d’évasion». Les habitants de l’île Maurice sont réputés d’un naturel prévenant, accueillant et optimiste . « Il faut, insiste Nicolas Staub, que les jeunes Mauriciens conservent ce goût de l’accueil et de l’hospitalité ».

Malheureusement, sur l’île Maurice comme partout ailleurs dans le monde, les hôteliers connaissent actuellement quelques difficultés pour attirer les jeunes. « C’est difficile de les convaincre de se lancer dans ce métier », admet Nicolas Staub, selon lequel « beaucoup de facteurs sont en cause » et notamment la crise du Covid pendant laquelle les gens ont retrouvé le goût de vivre davantage en famille.

Malgré s’il devient parfois compliqué de recruter, Nicolas Staub s’affiche « confiant » sur la capacité de Beachcomber Resorts & Hotels à relever ce défi : « Nous sommes un des plus gros employeurs de l’île Maurice et nous n’avons pas de difficultés à retenir les personnes », dit-il.

De la réussite de ce challenge dépend en tous cas le respect du mot d’ordre du groupe qui est l’excellence mais aussi la préservation de l’identité et de l’authenticité mauriciennes. En effet, comme le souligne Nicolas Staub, si les établissements du groupe sont des établissements d’exception, « ce sont les Mauriciens qui les font vivre. Il faut que ça continue ».


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