Ce lundi 15 avril 2013, débutent les audiences préliminaires du procès du naufrage du Costa Concordia, échoué près des côtes de l'île italienne du Giglio en janvier 2012.
Les responsabilités de six personnes, dont le commandant du navire Francesco Schettino, doivent notamment y être établies devant le tribunal de Grosseto. Le procès devraient, quant à lui, se dérouler au cours de l'automne 2013.
Outre l'ex-capitaine du bateau, poursuivi pour homicides multiples, abandon de navire et dommages à l'environnement, la cour examinera les responsabilités de 5 autres membres d'équipages et dirigeants de la compagnie du groupe Carnival.
Parmi elle, le timonier indonésien, Rusli Bin, mis en cause par le capitaine qui lui reproche de ne pas avoir compris les ordres qu'il lui aurait adressés. Il reste, pour le moment, introuvable. Un avocat lui a été assigné d'office.
Par ailleurs Roberto Ferrarini, chef de la cellule de crise de Costa Croisières, est suspecté d'avoir ralenti les opérations de sauvetage.
Une quarantaine d'audiences préliminaires est prévue d'ici juillet 2013. Elles serviront à fixer les chefs d'accusation et déterminer la date du futur procès.
Des dizaine de rescapés du naufrage ont lancé des poursuites au civil contre la compagnie. Celle-ci a d'ailleurs été condamnée, mercredi 10 avril 2013 à une amende d'un million d'euros à l'issue d'une procédure négociée qui lui permet d'éviter un procès au pénal.
Les responsabilités de six personnes, dont le commandant du navire Francesco Schettino, doivent notamment y être établies devant le tribunal de Grosseto. Le procès devraient, quant à lui, se dérouler au cours de l'automne 2013.
Outre l'ex-capitaine du bateau, poursuivi pour homicides multiples, abandon de navire et dommages à l'environnement, la cour examinera les responsabilités de 5 autres membres d'équipages et dirigeants de la compagnie du groupe Carnival.
Parmi elle, le timonier indonésien, Rusli Bin, mis en cause par le capitaine qui lui reproche de ne pas avoir compris les ordres qu'il lui aurait adressés. Il reste, pour le moment, introuvable. Un avocat lui a été assigné d'office.
Par ailleurs Roberto Ferrarini, chef de la cellule de crise de Costa Croisières, est suspecté d'avoir ralenti les opérations de sauvetage.
Une quarantaine d'audiences préliminaires est prévue d'ici juillet 2013. Elles serviront à fixer les chefs d'accusation et déterminer la date du futur procès.
Des dizaine de rescapés du naufrage ont lancé des poursuites au civil contre la compagnie. Celle-ci a d'ailleurs été condamnée, mercredi 10 avril 2013 à une amende d'un million d'euros à l'issue d'une procédure négociée qui lui permet d'éviter un procès au pénal.
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